Aujourd'hui j'ai mis un bon coup de fouet...
j'ai poncé, meulé (meule plastique pour ne pas attaquer la coque) et poli les joints que j'avais fait à l'epoxy, d'une part pour renforcer les soudures les plus fragiles et d'autres part pour corriger l'aspect de la coque.
Mais sans pour autant lui donner le lisse d'une carrosserie de voiture. Alain ne concevait pas l'idée d'une coque lisse et parfaite. Donc j'ai laissé quelques imperfections.
j'ai remis en place les 2 stabilisateurs de roulis. positionnés par quelques points à la cyano puis, soudés à l'epoxy sur toute leur longueur. Une fois sèche, je n'avais plus qu'à retirer les excédants, toujours à l'aide d'une meule plastique, pour ne pas endommager ces 2 fines bandes de métal, ainsi que la coque. le but est de juste retirer l’excédant de colle et d'uniformiser les soudures, pour qu'elles soient régulières et d'une épaisseur raisonnable.
Les hublots ont été repercés ainsi que les passages de la chaine d'ancre. ils avaient été recouvert en partie par l'Epoxy d'un côté et par la fibre de verre de l'autre.
j'ai aussi remis en place les 2 échelles située à la poupe. Tout comme précédemment, elles ont été positionnées à la cyano avant d'être soudées à l'Epoxy.
Dernière manip de la journée : le pulvérisation d'un antirouille. sur l'intégralité de la coque (j'ai pris soin de protéger les hélices, qui elles sont en plastique et qui ne nécessitaient pas de traitement spécial, du moins, pas en rapport avec le métal).. c'est un antirouille en bombe acheté dans un magasin de bricolage qui porte le nom d'un célèbre enchanteur.
bon, y'a plus qu'à attendre que cela sèche avant d'appliquer une couche d'apprêt.