La différence avec un Sat non géostationnaire avec une orbite circulaire à 300 km au-dessus de la surface de la Terre, orbite de la plus part des satellites espions, c'est qu'il reste bien plus longtemps sur la zone à "pomper", en orbit circulaire, c''est quelques minutes. les photos sont de bien meilleur qualité du coup également.
Quant aux géostationnaires à 37000 kms, c'est trop loin.
"…Le dirigeable contient "un équipement de communication sophistiqué", a déclaré un officiel. "Mais nous ne savons pas ce qu'il fait réellement".
Avant la destruction de samedi, les responsables américains pensaient que le ballon, équipé d'hélices à sa base, était capable de dériver avec les courants d'air et d'être dirigé. Il a changé de cap à plusieurs reprises, ont-ils dit."
https://www.washingtonpost.com/national-security/2023/02/04/chinese-balloon-shoot-down/
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Un fait interessant:
Le 17 mai 2019, un « ballon espion propulsé à très haute altitude », d'origine étrangère, a pénétré dans l'espace aérien du sud de la Chine. Un Chengdu J-10C de la force aérienne chinoise l'a abattu à l'aide d'un missile courte portée le jour même. Les débris ont été récupérés.
Li Xiaobo, Zhou Hang et He Fei, « 人民空军70年 | 30秒击落目标,空军航空兵某旅在实战中锤炼打赢本领 » [archive], sur China National Radio, 12 novembre 2019.
"Ce n'est que lorsque l'entraînement habituel est proche du combat réel que nous pouvons remporter la victoire au moment critique. Le 17 mai de cette année, le pilote Wu Hui est entré dans le cockpit comme d'habitude et a conduit le J-10C pour effectuer des missions de patrouille de police. Après être arrivé dans l'espace aérien désigné, Wu Hui a trouvé un objet flottant sphérique blanc à quelques kilomètres au-dessus de l'avion de chasse. L'organisation de commandement de niveau supérieur a estimé qu'il s'agissait très probablement d'un ballon de reconnaissance à très haute altitude, qui menacerait la sécurité de la défense aérienne, et a ordonné à Wu Hui de l'abattre. A ce moment, la montgolfière se trouvait à une très haute altitude, qui avait dépassé le plafond de l'avion de chasse.
Wu Hui a fait plonger l'avion de chasse d'abord pour accélérer, puis a tiré sur le manche pour attaquer.
Avec le lancement précis d'un missile à courte portée depuis l'aile gauche de l'avion de chasse, l'objet flottant sphérique blanc a explosé instantanément et les objets ont été rapidement dispersés dans les airs. Dans cette bataille, il n'a fallu que 30 secondes entre le verrouillage et l'abattage de la cible.
https://mp.weixin.qq.com/s/jmv6M3781caevn7PqOvJgQ
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Les Robots sous-marins de la marine et plongeurs à la recherche des restes d'un ballon espion chinois.
Un navire de guerre amphibie américain, des plongeurs spécialisés dans la neutralisation des explosifs et des munitions et des robots sous-marins se trouvent au large des côtes de la Caroline du Sud et examinent environ un mille carré de l'océan Atlantique à la recherche des restes d'un ballon espion chinois à haute altitude qu'un chasseur américain a abattu samedi, ont déclaré des responsables de la défense à la presse lundi.
L'USS Carter Hall (LSD-50), le groupe de neutralisation des explosifs et munitions (EODGRU) 2, l'USNS Pathfinder (T-AGS-60) et un remorqueur non identifié se trouvent au large de Myrtle Beach pour examiner les restes du ballon et de sa charge utile de surveillance, a déclaré lundi à la presse le commandant du Commandement du Nord des États-Unis, le général d'armée aérienne Glen VanHerck.
Samedi, un chasseur F-22 Raptor de l'armée de l'air a tiré un missile anti-aérien AIM-9X Sidewinder à partir de 58 000 pieds pour toucher le ballon, qui volait à environ 62 000 pieds au-dessus des eaux territoriales américaines, ont indiqué des responsables samedi. La mission a été en partie conçue pour minimiser le risque pour les personnes au sol et maintenir les débris dans les eaux territoriales américaines. En outre, le destroyer à missiles guidés USS Oscar Austin (DDG-79) et le croiseur à missiles guidés USS Philippine Sea (CG-58) opéraient à proximité du site du crash. Les deux navires sont équipés du puissant radar de recherche aérienne AN/SPY-1.
Les navires ont été "stationnés à proximité du lieu de l'amerrissage et ont collecté des débris [et] les ont classés par catégorie depuis leur arrivée", a déclaré M. VanHerck.
"Le Pathfinder est un navire qui effectue des relevés à l'aide de sonars et d'autres moyens pour cartographier le champ de débris. Il est capable d'effectuer des relevés océanographiques, hydrographiques et bathymétriques du fond de l'océan pour ce faire et ils finiront par nous produire une carte."
Les efforts de récupération des débris ont été interrompus dimanche en raison de l'état de la mer, mais dès lundi, des marins de l'équipe NEDEX embarqués sur des bateaux pneumatiques à coque rigide (RHIB) étaient en route pour examiner les restes. Des robots de surveillance sous-marine équipés d'un sonar à balayage latéral étaient en station pour évaluer un champ de débris carré de 1 500 mètres sur 1 500 mètres.
L'USS Carter Hall avec la 24e unité expéditionnaire des Marines (MEU) et le groupe de préparation amphibie (ARG) d'Iwo Jima après le déchargement d'une embarcation de débarquement utilitaire (LCU) au petit matin, au début d'un assaut amphibie pendant l'exercice d'entraînement de l'unité composite (COMPTUEX) à Camp Lejeune, N.C., le 15 mars 2021. Photo US Navy
"Le FBI est intégré à nos opérations de sauvetage lorsque nous collectons ces [débris]", a déclaré VanHerck. "Je ne sais pas où les débris vont aller pour l'analyse finale. Mais je peux vous dire que les services de renseignement et les forces de l'ordre qui travaillent dans le domaine du contre-espionnage vont certainement les examiner de près."
Les garde-côtes ont également envoyé les garde-côtes USCGC Venturous (WMEC-625), USCGC Richard Snyder (WPC-1127) et USCGC Nathan B. Bruckenthal (WPC-1128) pour participer aux opérations de recherche et de récupération.
La Marine prépare un autre navire de soutien offshore commercial sous contrat à la base expéditionnaire conjointe de Little Creek-Fort Story, en Virginie, pour participer à l'effort de récupération, a appris USNI News. L'OSV HOS Rosebud était amarré à la JEB Little Creek-Fort Story dès lundi matin, selon le système d'identification automatique.
Lundi, VanHerck a donné plus de détails sur la taille du ballon espion. Le ballon lui-même mesurait 200 pieds de haut. Il a estimé que la charge utile de surveillance avait la taille d'un avion commercial régional et pesait environ 2 000 livres.
La taille et le poids de l'aéronef ont pesé dans la décision de faire abattre le ballon au-dessus de l'eau, a-t-il ajouté.
"Du point de vue de la sécurité, imaginez-vous sous de gros débris pesant des centaines, voire des milliers de livres, tombant du ciel", a-t-il déclaré.
"Cela vous donnerait une idée de la perspective... et du processus de décision en cours de route."
En outre, il y avait des risques de dommages dus à la chute de panneaux solaires et de batteries qui faisaient partie de la charge utile de surveillance. Il y avait également un risque que des explosifs se trouvent à bord, a précisé M. VanHerck.
Le ballon et la charge utile se sont écrasés dans des eaux relativement peu profondes - environ 15 mètres - au large de la Caroline du Sud. Cette faible profondeur augmentera la vitesse de l'enquête et de la récupération, a déclaré Sal Mercogliano, historien maritime à l'Université Campbell, à USNI News.
L'accent sera mis sur les véhicules sous-marins sans pilote pour étudier et localiser les pièces du crash et les ramener à la surface, a-t-il ajouté.
Le ballon est entré dans la zone d'identification de la défense aérienne américaine près de l'Alaska le 28 janvier et a traversé le Canada le 30 janvier. Le 31 janvier, le ballon est passé du Canada à l'Idaho. M. VanHerck a déclaré que le ballon a survolé des sites militaires sensibles, mais n'a pas voulu préciser où. Il a été repéré au-dessus des silos de missiles balistiques intercontinentaux de la base aérienne de Malmstrom, dans le Montana.
Le ballon de surveillance chinois est l'un des nombreux à avoir transité au-dessus de l'espace aérien américain au cours des dernières années, ont déclaré dimanche des responsables du Pentagone.
"Des ballons de surveillance du gouvernement de la RPC ont brièvement transité par le territoire continental des États-Unis au moins trois fois au cours de l'administration précédente et une fois, à notre connaissance, au début de cette administration, mais jamais pendant une telle durée", a déclaré dimanche un responsable de la défense américaine.
https://news.usni.org/2023/02/06/navy-underwater-robots-divers-searching-for-remains-of-chinese-spy-balloon-salvage-ship-set-to-deploy-from-little-creek-for-recovery
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Des avions espions U-2 ont espionné un ballon de surveillance chinois.
U-2 Dragon Ladies avait la capacité de voler au-dessus du ballon et de recueillir plusieurs types de renseignements à son sujet depuis son perchoir.
PAR JOSEPH TREVITHICK , TYLER ROGOWAY
PUBLIÉ LE 6 FÉVRIER 2023 À 15:12.
https://www.thedrive.com/the-war-zone/u-2-spy-planes-snooped-on-chinese-surveillance-balloon
Les avions espions U-2S Dragon Lady de l'US Air Force faisaient partie des moyens utilisés pour surveiller et collecter des renseignements sur un ballon de surveillance du gouvernement chinois lors de son récent voyage dans certaines parties des États-Unis continentaux et du Canada. Un chasseur furtif F-22 Raptor a finalement abattu le ballon avec un missile AIM-9X Sidewinder au large de la Caroline du Sud samedi, et des efforts sont actuellement en cours pour récupérer l'épave de l'océan Atlantique. Les lecteurs de The War Zone peuvent d'abord se mettre au courant de ce que nous savons déjà de cet incident et de sa conclusion, dans nos précédents reportages ici .
Un responsable américain de la défense a confirmé aujourd'hui l'utilisation du U-2S dans le cadre de la réponse plus large au ballon espion chinois dans la zone de guerre . Il n'est pas immédiatement clair à tous les points du voyage du ballon que des U-2 étaient présents.
Le Pentagone a déclaré au cours du week-end que le ballon était entré pour la première fois dans l'espace aérien national américain au-dessus des îles Aléoutiennes le 28 janvier. Il est ensuite passé dans l'espace aérien canadien deux jours plus tard et est revenu dans l'espace aérien américain, au-dessus du nord de l'Idaho, le 31 janvier. Le ballon a ensuite suivi une piste largement orientée vers le sud-est à travers les États-Unis contigus avant de se déplacer au-dessus de l'Atlantique au large de la Caroline du Sud, où il a finalement été abattu.
On a appris séparément qu'au moins deux U-2S ont aidé à surveiller le ballon alors qu'il était au-dessus du Midwest , en utilisant les indicatifs d'appel Dragon 01 et Dragon 99. Au moins une Dragon Lady était également en contact à certains moments avec l' Eastern Air de l'Air Force. Defence Sector (EADS), également désigné par l'indicatif d'appel Huntress. EADS fait partie du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) américano-canadienne et est responsable de la protection de l'espace aérien sur à peu près la moitié est des États-Unis contigus.
Bien que nous ne puissions pas dire avec certitude exactement quels étaient les rôles des U-2S dans la surveillance du ballon, leur emploi est logique. Le Dragon Lady est le seul avion de l'inventaire militaire américain, du moins que nous sachions, qui peut voler de manière persistante à des altitudes encore plus élevées que celles où le ballon planait, qui se situait entre environ 60 000 et 70 000 pieds tout au long de son voyage à travers les États-Unis et le Canada.
En plus de cela, chaque U-2S peut être configuré pour collecter plusieurs types de renseignements simultanément, comme vous pouvez en savoir plus ici . Un chargement de capteur commun pour le Dragon Lady consiste en la suite de renseignements sur les signaux Senior Glass, dont les composants sont répartis entre les baies du fuselage et deux `` Super Pods '' sous les ailes lorsqu'il est installé, ainsi que le système de reconnaissance électro-optique Senior Year- 2 (SYERS-2) ou Advanced Synthetic Aperture Radar System-2 (ASARS-2) dans le nez. SYERS-2 est un système de caméra multispectrale capable de produire des images haute résolution d'une cible, même la nuit. ASARS-2 produit également des images, mais en utilisant un radar fonctionnant en mode d'ouverture synthétique, ce qui lui confère une capacité tout temps.
Avec n'importe quel réseau de capteurs comme celui-ci, un U-2S pourrait recueillir des visuels de haute qualité du ballon, ainsi qu'absorber toutes les émissions électroniques qu'il aurait pu émettre. Le Dragon Lady peut en outre transporter des liaisons de données robustes qui permettent de partager les informations qu'il recueille avec le personnel sur le terrain en temps quasi réel.
La capacité du U-2 à passer au-dessus du ballon est essentielle pour un certain nombre de raisons. Le simple fait de le surveiller d'un point de vue descendant à l'aide de divers capteurs pourrait fournir des informations supplémentaires sur sa conception et ses capacités. Même ce qui aurait pu être caché dans son enveloppe aurait été important à découvrir. Mais plus important encore, cela fournirait un moyen d'intercepter les communications satellites directionnelles du ballon avec une plus grande fiabilité. Il s'agit d'une forme critique de collecte de renseignements sur un appareil aussi long et chargé de capteurs comme celui-ci.
Enfin, le U-2 possède une suite de guerre électronique hautement performante. Volant à proximité relativement proche du ballon, et surtout au-dessus de celui-ci, il est possible qu'il ait pu brouiller toutes les communications envoyées aux satellites au-dessus.
Encore une fois, aucun avion divulgué dans l'inventaire de l'Air Force n'est capable de ces opérations de haut vol et de long rôdeur.
Les émissions électroniques qu'ils auraient pu collecter à partir des ballons restent floues, tout comme les capacités de collecte de renseignements qu'ils auraient pu avoir. Il ne serait pas difficile pour une plate-forme aussi légère que l'air d'emporter ses propres caméras, radars et surtout des charges utiles de renseignement électromagnétique.
Hier, Politico a rapporté que la communauté américaine du renseignement avait précédemment évalué que des ballons plus petits détectés au large des côtes de la Virginie en 2020 transportaient une sorte de charge utile de brouillage radar.
En 2019, The War Zone a présenté un cas détaillé de la façon dont les rapports précédents d'observations de cubes avec des sphères à l'intérieur au large de la côte est des États-Unis auraient pu être des ballons avec des réflecteurs radar et des charges utiles de surveillance électronique qui pourraient être utilisées pour recueillir des renseignements critiques sur capacités militaires américaines. Il existe un précédent historique à cela, comme vous pouvez en savoir plus ici .
À cette époque, les observations de "cube dans la sphère" avaient été qualifiées de phénomènes aériens non identifiés (UAP), plus familièrement connus sous le nom d'objets volants non identifiés (OVNI). Le ballon de surveillance chinois survolant les États-Unis et la révélation que de multiples incidents se sont déjà produits sur le territoire américain, y compris sur la partie continentale des États-Unis, ont suscité de nouvelles questions quant à savoir si d'autres observations d'objets ressemblant à des ballons pouvaient également avoir été des ressources de renseignement étrangères. . La zone de guerre a présenté une analyse approfondie dans le passé de la façon dont certaines observations d'UAP de divers types sont des cas probables où des personnes ont repéré des plates-formes de collecte de renseignements appartenant à des adversaires étrangers, opérant généralement dans des zones de test et d'entraînement très sensibles.
En janvier, le bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines (AARO) du Pentagone et le directeur du renseignement national du directeur du renseignement national (ODNI) pour l'aviation (NIM-A) ont publié conjointement un rapport annuel non classifié sur les activités liées à l'UAP dans 2022. Cela comprenait la mention de 366 incidents UAP nouvellement répertoriés, y compris des incidents plus anciens qui n'étaient pas connus auparavant d'AARO ou de NIM-A. Parmi ces « nouveaux » incidents, 163 ont été évalués comme étant des « ballons ou des entités ressemblant à des ballons ».
En outre, alors que le Pentagone affirme que les précédents incidents de ballons chinois remontent au mandat du président Donald Trump , les responsables américains n'ont déterminé qu'au cours des deux dernières années environ qu'ils étaient liés au gouvernement chinois. Les détails sur la façon dont ces évaluations ont été faites restent flous, mais cela semble corroborer les déclarations de divers responsables de l'administration Trump selon lesquels ils n'étaient pas au courant de cela pendant leur mandat.
"Je vais vous dire que nous n'avons pas détecté ces menaces. Et c'est une lacune de connaissance du domaine que nous devons comprendre, mais je ne veux pas entrer dans les détails", a déclaré le général de l'Air Force Glen VanHerck, le chef du NORAD. et US Northern Command (NORTHCOM), a déclaré à The War Zone et à d'autres médias lors d'une conférence de presse plus tôt dans la journée. "La communauté du renseignement, après coup, je crois, comme cela a déjà été informé, a évalué ces menaces pour des moyens de collecte supplémentaires à partir de moyens supplémentaires, et nous a informés de ces ballons qui s'approchaient auparavant de l'Amérique du Nord ou transitaient par l'Amérique du Nord."
Le président Joe Biden et son administration sont vivement critiqués dans de nombreux coins pour la réponse à ce ballon et pourquoi il n'a pas été abattu plus tôt. L'administration Biden a répliqué en soulignant les risques potentiels de le faire alors que le ballon était terrestre et la capacité de recueillir des renseignements supplémentaires sur le ballon une fois les risques posés par ses propres capacités atténués. Ces données pourraient être exploitées pour en savoir plus sur le ballon et ses capacités, ainsi que pour fournir des preuves supplémentaires pour le connecter au gouvernement chinois.
Il y avait donc une opportunité potentielle pour nous de collecter Intel là où nous avions des lacunes sur les ballons précédents. Et donc je m'en remettrais à la communauté Intel, mais cela nous a donné l'opportunité d'évaluer ce qu'ils faisaient réellement, quel type de capacités existaient sur le ballon, quel type de capacité de transmission existait », a souligné le général VanHerck lui-même lors de la conférence de presse d'aujourd'hui. "Et je pense que vous verrez à l'avenir que ce délai valait bien sa valeur à collecter."
"Je voudrais souligner, et je pense qu'il est important d'en parler, que nous n'avons pas le pouvoir de collecter des renseignements au quotidien aux États-Unis d'Amérique", a ajouté VanHerck. "Dans ce cas, des autorités spécifiques ont été accordées pour collecter spécifiquement des renseignements contre le ballon et nous avons utilisé des capacités spécifiques pour le faire."
Dans l'ensemble, cela souligne la valeur de l'utilisation des U-2S, parmi les nombreuses plates-formes qui ont probablement été impliquées dans la surveillance et l'exploitation du renseignement du ballon lors de son passage au-dessus des États-Unis.
Si rien d'autre, avec cette révélation maintenant que les U-2S ont aidé à répondre à la présence du ballon, il sera intéressant de voir quels autres détails sur les efforts de surveillance de l'armée américaine pourraient être publiés.
Howard Altman a contribué à cet article.
Note de l'auteur : L'incroyable image en haut de cet article a été prise par le photographe Tyler Schlitt de LiveStormChasers.com . Assurez-vous de consulter son travail, y compris sur sa superbe page Facebook liée ici.
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La France étudie un dirigeable espion volants à 20000 m du même type. De là a accusé le "Louis Baudin chinois" d'avoir perdu son ballon météo..
https://www.sudouest.fr/politique/l-039-armee-francaise-s-039-interesse-aux-dirigeables-de-surveillance-a-haute-altitude-2094662.php
".....Surveiller en permanence la Méditerranée
Positionné à 20 kilomètres d'altitude, hors de portée de la plupart des systèmes de défense anti-aérienne et au-dessus des couloirs de circulation aérienne, il est conçu pour pouvoir rester un an en vol.
Sept appareils de type Stratobus suffiraient à surveiller en permanence la Méditerranée, selon Thales Alenia Space."