son hypothèse se tien une pression trop rapide a pu modifier la structure
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MISE À JOUR 0530 UTC 29 juillet Mikhail VoytenkoNewsJuly 29, 2023 5:50 am
MISE A JOUR 0530 UTC 29 juillet :
Dans l'après-midi du 28 juillet, les sauveteurs ont réussi à établir un nouveau câble de remorquage plus robuste, fixé quelque part dans les structures supérieures ou sur le pont supérieur, en utilisant la grue du navire déployé dans le cadre de l'opération de sauvetage. Selon les derniers rapports, l'incendie a diminué et le navire semble être stable, avec peu ou pas de risque de chavirement. Les sociétés de sauvetage impliquées, en collaboration avec les autorités maritimes néerlandaises, prévoient de remorquer le FREMANTLE HIGHWAY jusqu'à une position située à environ 8-9 nm au nord de l'île de Schiermonnikoog, et de l'y ancrer. Plus tard, lorsque la situation s'améliorera, le navire sera remorqué jusqu'au port approprié le plus proche.
La situation dépendra en grande partie des conditions météorologiques. Un cyclone sévit au large du nord-ouest du Royaume-Uni et de l'Irlande, de sorte que les conditions météorologiques pourraient se détériorer au point de mettre en danger le navire en état de naviguer, qu'il soit au mouillage ou remorqué.
Entre-temps, on a appris que le FREMANTLE HIGHWAY n'avait pas 25, mais quelque 500 VE à bord, de sorte que personne ne doute désormais de la cause de l'incendie, à l'exception des producteurs et des annonceurs de VE. Parmi les autres voitures, on compte plusieurs centaines de BMW et de Mercedes.
MISE À JOUR 0400 UTC 28 juillet : Depuis l'après-midi et la soirée du 27 juillet, la lutte contre l'incendie par l'eau a été suspendue afin de ne pas compromettre la stabilité du navire. Dans l'après-midi du 27 juillet, le câble de remorquage a été connecté, mais pas encore pour le remorquage. Le FREMANTLE HIGHWAY reste stable et contrôlé, afin d'éviter qu'il ne s'échoue ou ne dérive dans les couloirs de navigation. La tâche principale reste la même : attendre le pire de l'incendie, tout en maintenant le navire stable pour éviter le chavirement.
MISE À JOUR 0530 UTC 27 juillet : Les garde-côtes néerlandais ont une nouvelle fois souligné les craintes suscitées par la pratique habituelle de lutte contre l'incendie consistant à déverser des quantités massives d'eau sur un objet en feu - cela pourrait entraîner une perte de stabilité et un chavirement, ainsi qu'une pollution à grande échelle. Les sauveteurs ne savent pas si le feu est concentré sur les ponts au-dessus de la ligne de flottaison ou s'il s'est propagé aux ponts sous la ligne de flottaison. Les sauveteurs s'en tiennent au seul plan raisonnable et sûr, compte tenu des circonstances - faire tout ce qui est possible pour maintenir le navire stable, essayer d'atténuer l'incendie dans la mesure du possible, et surveiller la situation, en premier lieu l'état et la stabilité du navire.
MISE À JOUR 1500 UTC 26 juillet : L'objectif principal des sauveteurs est de sauver le navire du naufrage, afin d'éviter une pollution massive, ont déclaré les autorités néerlandaises. En d'autres termes, ils ne peuvent pas verser trop d'eau sur le navire, car cela entraînerait une perte de stabilité. Ou bien ils pourront le faire après avoir réussi à contrôler la stabilité du navire. Sinon, ils devront attendre et contrôler ce qu'ils peuvent, jusqu'à ce que tout ce qui est en feu s'éteigne. Le navire est à la dérive, AIS éteint depuis environ 1100 UTC.
MISE À JOUR 0555 UTC 26 juillet : 1 membre d'équipage est décédé, 16 membres d'équipage sont soignés à l'hôpital pour des problèmes respiratoires.
Les garde-côtes et les services d'urgence ont été alertés vers minuit le 26 juillet d'un incendie majeur à bord du transporteur de voitures FREMANTLE HIGHWAY en mer du Nord, au large des côtes néerlandaises. Le navire avec 2857 voitures à bord, dont 25 EV, a quitté Bremerhaven vers 1430 UTC le 25 juillet, à destination de l'Egypte. L'incendie s'est déclaré vers 2130 UTC le 25 juillet. Le FREMANTLE HIGHWAY est passé en NUC et dérive depuis, avec l'AIS toujours activé. Le feu s'est déclaré sur le pont de chargement et s'est probablement propagé à d'autres ponts. 23 membres d'équipage ont été secourus, certains d'entre eux ayant dû sauter dans l'eau pour se sauver du feu. Des remorqueurs et des navires de recherche et de sauvetage se seraient rassemblés autour du transporteur, évitant d'utiliser de l'eau pour lutter contre l'incendie, par crainte, évidemment, d'une perte de stabilité. Le navire aurait déjà développé une gîte.
Car carrier FREMANTLE HIGHWAY, IMO 9667344, GT 59525, construit en 2013, pavillon Panama, gestionnaire SHOEI KISEN KK, assureur Japan Ship Owners' P&I Association.
AMSTERDAM, 28 juillet (Reuters) - Le cargos qui brûle au large des côtes néerlandaises depuis mardi soir transporte près de 500 véhicules électriques, a déclaré vendredi la compagnie d'affrètement de navires "K" Line, soit beaucoup plus que les 25 initialement signalés par les garde-côtes.
L'incendie du Fremantle Highway, immatriculé au Panama, qui transportait des voitures neuves, a provoqué la mort d'un membre d'équipage indien et blessé sept autres personnes qui ont sauté par-dessus bord pour échapper aux flammes.
Il y avait 3 783 véhicules à bord, dont 498 véhicules électriques à batterie, a déclaré un porte-parole de K Line (Kawasaki Kisen Kaisha), qui avait affrété le navire, basé à Tokyo. Il a refusé de préciser les marques des véhicules, notamment s'il y avait ou non des voitures de constructeurs japonais à bord.
Bref retour sur les récents incendies de cargos
Les garde-côtes ont indiqué jeudi sur leur site web que la cause de l'incendie était inconnue, mais on entend un secouriste déclarer dans un enregistrement diffusé par la chaîne néerlandaise RTL que "le feu a pris dans la batterie d'une voiture électrique".
Les batteries lithium-ion des véhicules électriques brûlent avec deux fois plus d'énergie qu'un incendie normal. Les autorités maritimes et les assureurs affirment que l'industrie n'a pas pris la mesure des risques.
Une enquête a été ouverte par l'autorité maritime du Panama et les Pays-Bas y contribuent, a déclaré le conseil de sécurité néerlandais.
Le Fremantle, un navire de 199 mètres (653 pieds) toujours en feu, dérive à environ 17 km de la côte néerlandaise la plus septentrionale, selon les garde-côtes. Il était en route de l'Allemagne vers l'Égypte.
Les îles se trouvent à l'extrême nord des Pays-Bas et font partie de la mer des Wadden, une vaste zone d'estrans et de marais qui s'étend le long de l'Allemagne et du Danemark et qui figure sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
(Reportage de Miranda Murry et Daniel Leussink ; Rédaction de Marine Strauss et Anthony Deutsch ; Montage de Tassilo Hummel et Philippa Fletcher)
Bonsoir Pascal, Je suis avec intérêt et craintes cet accident qui pourrait avoir de sérieuses répercutions sur la Waddenzee classée au Patrimoine Mondial par l’Unesco, près de 10.000 espèces de tous genres y sont recensées. Le navire n’émet plus via son AIS mais tous les bateaux qui sont autour forment un amas sur la carte de MarineTraffic, leurs photos et caractéristiques ne sont pas sans intérêts. Le contrôle de la dérive du Fremantle est actuellement plus ou moins assuré par une remorque provisoire et il y a un espoir de pouvoir passer un câble de remorquage plus sérieux dans les heures à venir afin de le mener plus à l’est, plus loin des côtes. Mais pour en faire quoi après cela reste bien confus... quel port va accepter d’accueillir ce brasier flottant, bien que la température diminue à l’intérieur actuellement. Hormis quatre hommes déposés à bord un minimum de temps personne ne sait ce qu’il s’y passe réellement. Plus d’infos en néerlandais sur les sites www.kustwacht.nl ou encore le site du Rijkwaterstaat. Affaire à suivre de près...
Bonjour, Les nouvelles du jour concernant le Fremantle, toujours en feu et toujours à la dérive "contrôlée" à seulement dix miles de l’île de Terchelling. Cette nuit le vent de SO a forcit à 5-6 Bf rendant toute opération de remorquage vers ce mystérieux point d’ancrage au large des côtes hollandaises impossible actuellement et ce pour plusieurs jours. Raison invoquée : le vent rabattrait les fumées toxiques sur le remorqueur mettant ainsi en danger les membres de l’équipage... A suivre... Il faut être conscient d’une chose, c’est que les incendies et naufrages de ce type de RoRo se multiplient ces dernières années et que l’augmentation du transport par mer de véhicules électriques ira immanquablement de l’avant également...
Bonsoir, Suite... Contre toute attente, le Rijkswaterstaat a décidé de commencer les opérations de remorquage vers 17.00 en direction du point où sera mis en attente le Fremantle. Deux remorqueurs sont à la tâche dans un vent de 25 kn et une mer qui, je vous l’assure, ne doit pas être facile. Vitesse des remorqueurs 2 kn d’après MarineTraffic. ( Multratug 20 et Fairplay 30 et Guardian qui surveille, le tout suivit par une meute d’auxiliaires). A suivre à présent sur www.rijkswaterstaat.nl .
Ça pose quand même quelques questions ces batteries légèrement capricieuses ... qui s'emballent éventuellement sans être particulièrement sollicitées ( voiture à l'arrêt la conso est minime ).
A ce propos si d'aventure vous faites tomber votre téléphone, il faut savoir que suite à un choc, une batterie lithium peut prendre quelques heures de réflexion avant de piquer sa crise....
En transport maritime, les batteries ( tout type confondus ) sont classées "légèrement" dangereuses et sont mises dans la classe 9 ( ça n'implique finalement que des contraintes économiques car une seule batterie dans un container rend ce container "matières dangereuses" globalement donc une tarification spéciale, du coup les batteries voyagent ..dans des containers remplis de batteries, pour ne pas pénaliser le cout de fret d'autres marchandises standards.
Ça risque de changer.... ou pas, de là à ce que les batteries de véhicules soient démontées et stockées à part ( mais où, et vu que les porte containers n'ont pas la capacité de balancer un container à la baille... )
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Projets en cours :
- Colbert CLM kit transfo base Heller - ER 50 "Le Corse" et "Le Brestois" Heller + 3D à finir - Le Marceau Heller + 3D à finir - Pleins de trucs noirs..
c'est sur que le transport de ces batteries pose des problèmes
pour l'instant on ne connait pas l'origine de l'incendie
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On vous dit pourquoi un bateau rouillé est positionné devant le bassin du porte-avions à Toulon Le fait qu’une vieille coque se trouve devant les bassins Vauban et l’étrave du porte-avions Charles de Gaulle intrigue. Dans le port militaire de Toulon, la manœuvre n’est pourtant pas inédite. Explications.
23/07/2023.
Chaque jour, dans les navettes maritimes qui transportent leur flot de touristes à travers la rade de Toulon, la question revient. "Dis papa, c’est quoi cette épave toute rouillée qui cache le porte-avions?" La plupart du temps, papa n’en sait fichtrement rien. Tout juste reconnaît-il cette silhouette caractéristique d’un ancien pétrolier-ravitailleur de la Marine nationale.
Souvent ancrées dans le fameux "cimetière marin" de Brégaillon, les vieilles coques se font en général discrètes dans la base navale. Les puissants navires de guerre et autres bâtiments militaires ultra-modernes occupent les appontements et les yeux des curieux. Pas cette fois, donc: la présence à l’entrée du port de l’ex-Meuse – puisqu’il s’agit d’elle – interpelle depuis quelques semaines déjà.
Se protéger des menaces asymétriques Que fait ce bateau en piètre état, retiré du service actif en 2015, juste devant la proue du Charles de Gaulle? Pour le comprendre, il faut savoir déjà que le porte-avions n’est pas en ce moment à sa place habituelle (quai Milhaud 6), mais qu’il se trouve au bassin Vauban pour un arrêt technique prévu pour s’achever mi-novembre. D’ici là, le "Charles" est contraint à l’immobilité.
D’ici là aussi, les "42.000 tonnes de diplomatie" du bateau amiral de la flotte française nécessitent d’être protégées. "La mise en place d’une coque de navire désarmé permet d’apporter une protection physique supplémentaire, et ainsi préserver le bassin et sa porte en cas d’accident d’origine extérieure, en particulier en cas de collision ou abordage par un navire", explique la Marine nationale.
En d’autres termes, les 157mètres de long de l’ex-Meuse forment un formidable bouclier d’acier contre d’éventuelles "menaces asymétriques" venues de la mer. Personne n’a oublié, par exemple, l’attaque menée par Al-Qaida à Aden (Yémen), le 12 octobre 2000. Ce jour-là, une embarcation légère bourrée d’explosifs avait fortement endommagé le destroyer américain USS Cole en lui fonçant dessus.
Une opération récurrente Mettre en place une telle barrière n’est d’ailleurs pas une opération inédite. En 2008, lors du premier arrêt technique majeur du Charles de Gaulle, c’est l’ex-frégate Suffren et l’ancien bâtiment de soutien santé Rance qui avaient servi de rempart. En 2013, le passage en cale sèche du porte-avions avait été accompagné par l’ex-Bougainville, tout comme en 2017, où avait été ajouté – déjà – l’ancien pétrolier-ravitailleur Meuse.
Six ans plus tard, cette vieille coque n’est pas la seule mesure de sécurité mise en place par les militaires "pour préserver l’intégrité des bâtiments en carénage au bassin". Les autorités évoquent le dispositif permanent de surveillance et de patrouille mené par les fusiliers marins et la gendarmerie maritime pour assurer la protection du port militaire de Toulon, voire les règlements d’usage du plan d’eau, avec les zones interdites à la navigation civile.
La présence d’un barrage de bouées Autre mesure existante, devant la vieille coque: un chapelet de bouées reliées entre elles par des câbles qui doit pouvoir stopper net une vedette d’une vingtaine de mètres lancée à pleine vitesse, qui aurait échappé aux moyens d’interception. Dans une base où sont concentrés 70% de la flotte de guerre française, autant assurer ses arrières.
Mais au final, rien ne remplace une bonne vieille épave. Surtout s’il s’agit d’"une solution économique qui permet de valoriser ces coques en attendant leur déconstruction", comme l’explique la Marine. Et si ça peut faire causer papa sur la riche histoire de la Meuse, navire lancé en 1978, après tout, autant ne pas se priver!...
bref ça évite le style d'opération comme celle de l'opération CHARRIOT contre la forme JOUBERT à St NAZAIRE
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Yémen : Vidéo d'un média pro-Houti qui montre l'opération de pompage du pétrole contenu dans le pétrolier délabré Safer, au large des côtes yéménites.
https://youtu.be/UpbVEOh1g_M
Iceman29 a écrit le 9 Mar 2023 a écrit:
Yémen : Les Nations unies ont acheté un navire pour vider le pétrole et éviter un déversement potentiellement catastrophique du FSO Safern un pétrolier en décomposition depuis des années au large des côtes du Yémen, ravagé par la guerre.
Nations Unies (États-Unis) (AFP) - Les Nations Unies ont acheté un navire pour enlever le pétrole et éviter un déversement potentiellement catastrophique d'un pétrolier en décomposition depuis des années au large des côtes du Yémen ravagé par la guerre, ont indiqué jeudi des responsables.
Dans une démarche inhabituelle pour une agence de l'ONU, le Programme des Nations Unies pour le développement a déclaré avoir signé un contrat pour l'achat d'un transporteur de brut auprès de la grande compagnie de pétroliers Euronav qui se rendra au Yémen pour retirer le pétrole du FSO Safer en difficulté.
Le navire, âgé de 47 ans, n'a pas été entretenu depuis que la guerre civile dévastatrice du Yémen a éclaté en 2015 et a été laissé à l'abandon au large du port de Hodeida, tenu par les rebelles, une porte d'entrée essentielle pour les expéditions vers le pays qui dépend fortement de l'aide étrangère d'urgence.
Le chef du PNUD, Achim Steiner, a qualifié l'accord de "percée majeure".
Cet effort permettra "d'éviter le risque d'une catastrophe environnementale et humanitaire de grande ampleur", a-t-il déclaré à la presse au siège des Nations unies.
M. Steiner a indiqué que le navire prendrait la mer dans le courant du mois prochain, après avoir subi un entretien de routine en Chine.
"Nous espérons, si tout se passe comme prévu, que l'opération de transfert de navire à navire commencera effectivement au début du mois de mai", a-t-il déclaré.
Les responsables de l'ONU ont exprimé la crainte que le navire ne s'effondre et ne provoque une marée noire qui nuirait gravement à l'aide étrangère et dont le nettoyage coûterait quelque 20 milliards de dollars.
Le Safer contient 1,1 million de barils de pétrole, soit quatre fois plus que la quantité déversée lors de la catastrophe de l'Exxon Valdez en 1989, l'une des pires catastrophes écologiques au monde, selon les Nations unies.
Une catastrophe écologique pourrait également obstruer le détroit de Bab al-Mandab entre l'Afrique et la péninsule arabique, ce qui aurait un impact majeur sur l'économie mondiale en bloquant le canal de Suez.
Pas le choix Les Nations unies cherchaient depuis des années une solution et ont lancé un appel au don ou à la location d'un navire.
Elles ont finalement décidé d'acheter le navire, décrit comme le seul disponible sur le marché, après avoir échoué à trouver une autre option, les prix dans l'industrie du transport maritime ayant grimpé en flèche l'année dernière en raison de l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
"Nous n'avions pas d'autre choix que d'acheter un navire", a déclaré David Gressly, qui coordonne l'aide humanitaire des Nations unies au Yémen, par liaison vidéo depuis Aden.
"Le fait que nous soyons parvenus à cette étape apporte déjà un sentiment de soulagement ici au Yémen", a-t-il déclaré.
Le coût de l'opération de sauvetage est estimé à 129 millions de dollars, dont 75 millions ont été reçus et 20 millions promis, selon les Nations unies.
M. Steiner a averti que les Nations unies pourraient encore suspendre l'opération si elles ne trouvaient pas les fonds restants.
"Je dois dire que je suis surpris d'être assis devant vous aujourd'hui, a-t-il déclaré, et de devoir encore mendier ces fonds.
Il a décrit le plan comme comportant des "risques très importants" et allant au-delà des activités habituelles du PNUD.
Il a ajouté que les Nations unies n'avaient pas encore déterminé où irait le pétrole.
"Permettez-moi d'être très clair : il s'agit d'une opération risquée et les choses pourraient mal tourner", a déclaré M. Steiner.
"Nous avons fait tout ce que nous croyons pouvoir faire pour atténuer ces risques. Mais en fin de compte, tant que le pétrole n'est pas retiré, nous opérons dans un environnement extrêmement complexe.
Depuis 2014, le Yémen est en proie à une guerre dévastatrice qui a déclenché l'une des pires crises humanitaires au monde.
Les rebelles huthis soutenus par l'Iran ont balayé une grande partie du pays, luttant contre un gouvernement internationalement reconnu soutenu par une campagne militaire meurtrière menée par l'Arabie saoudite.
Selon M. Gressly, les deux parties ne s'entendent pas sur la propriété du pétrole, ce qui complique la tâche pour l'extraire.
"En fin de compte, il nous a semblé plus opportun, en termes de temps, d'évacuer le pétrole et de traiter ensuite la question de la vente du pétrole, qui est toujours très souhaitable, plus tard", a-t-il déclaré.
Depuis 15 ans, ces deux frères flamands veulent restaurer le voilier de Jacques Brel.
Par Matthieu Demeestere/AFP Le 31 juillet 2023 à 17h03.
Dans le port de Zeebruges, sur la côte belge, deux frères passionnés par le célèbre chanteur Jacques Brel veulent offrir une seconde vie à son voilier, l’Askoy II, récupéré à l’état d’épave, il y a quinze ans, sur une plage néo-zélandaise.
Après de nombreux retards, les frères Wittevrongel (ici Piet) espèrent remettre l’Askoy II à l’eau en septembre.
Après de nombreux retards, les frères Wittevrongel (ici Piet) espèrent remettre l’Askoy II à l’eau en septembre. (Photo Simon Wohlfahrt/AFP) À en croire Gustaaf et Piet Wittevrongel, leur projet « inouï » n’a jamais été aussi près de son but. Depuis juin, l’Askoy II a été sorti de son hangar pour les derniers travaux dans la cabine, l’aménagement d’une cuisine. La coque rouge et bleue de ce bateau de 20 mètres et 40 tonnes semble comme neuve et sa première remise à l’eau, maintes fois retardée par les aléas d’un chantier très coûteux, est désormais programmée pour septembre, assurent les deux frères. Le mât est encore à l’horizontale. Il reste quelques interventions « techniques », explique Gustaaf, l’aîné. « Et puis le feu vert de l’inspection maritime, sans lequel on ne peut avoir de police d’assurance pour aller en mer. »
Gustaaf et Piet Wittevrongel, aujourd’hui âgés de 84 et 75 ans, sont intimement liés à l’histoire de l’Askoy II, et de la traversée de deux océans - jusqu’aux îles Marquises - que Brel entreprend en 1974, avec ce yacht alors considéré comme l’un des plus beaux du monde.
Les frères Wittevrongel, Piet (à gauche) et Gustaaf (à droite), près d’une maquette de l’Askoy II et en compagnie de Carl Decaluwé, gouverneur de la province de Flandre-Occidentale.
Avant de lever l’ancre à Anvers, c’est dans le commerce de voiles et de gréements tenu par le père Wittevrongel, à Blankenberge, entre Ostende et Zeebruges, que le chanteur-aventurier (1929-1978) vient s’équiper. Gustaaf y travaille alors comme apprenti. Il raconte qu’il ne reconnaît pas Brel quand ce dernier passe la porte du magasin familial, « à l’improviste, sans s’annoncer ». « Je ne savais pas qui me parlait. Je lui dis que son achat va se chiffrer en centaines de milliers de francs belges… Quand il me dit son nom, je comprends qu’il a les moyens de s’offrir un jeu de voiles, poursuit l’octogénaire dans un éclat de rire. Alors on a fait les voiles pour lui. »…..
J’ai connu le père Wittevrongel et probablement le fils aîné à Blankenkerge, j'étais haut comme trois pommes, mais visualise encore l’atelier du voilier et son emplacement. Il a réalisé un foc pour le voilier de mes parents à cette époque et c’était pour moi une pénitence que ces conversations sans fin en néerlandais ... Plus tard, j’ai eu l’occasion de voir l’Askoy de passage à Breskens et même avoir été invité à monter bord pour avoir passé une haussière vers le "banc de carénage " avec notre petite annexe. Ces malins s’étaient pris une amarre dans l’hélice, mais Brel n’était pas à bord. Diantre tous ces souvenirs datent de bien longtemps... Je n’ai qu’un souhait, c'est que celui des deux frères se réalise !
Pour revenir au Fremantle Highway, resté plusieurs jours comme une araignée au milieu de sa toile de remorques au fameux point d’attente à 10 miles au large d’Ameland, éloigné du trafftic maritime. Le navire a été inspecté et le feux semble éteint, le Rijkswaterstaat a donc décidé de procéder à son remorquage vers le port de Ems, petit port industriel hollandais, éloigné de 35 miles pour le mettre en sécurité. Je constate sur les cartes AIS que le remorquage a déjà commencé ce matin, accompagné d’une Armada de navires en tous genres en plus de ses remorqueurs.
Ce que je me demande c’est la suite des événements dans ledit port de Ems constitué de quelques darses... Enfin les waddenzee seront sauvées d’une catastrophe écologique majeure une fois les opérations menées à bien dans les heures à venir, le sort de la carcasse sera une autre histoire.
je pense que ça va prendre des années avant de savoir ce qu'il devient
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Le cargo « Fremantle Highway », qui avait pris feu au large des Pays-Bas, remorqué jusqu’au port d’Eemshaven.
Les autorités craignaient une catastrophe environnementale, le cargo ayant pris feu à proximité d’une zone écologiquement sensible.
Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 20h28
Le cargo qui avait pris feu au large des Pays-Bas dans la nuit du 25 au 26 juillet, avec des centaines de voitures électriques à son bord, a été remorqué jeudi 3 août jusqu’à un port néerlandais. Le remorquage a pu démarrer vers 5 heures (heure locale) et s’est « déroulé sans aucun problème », a confirmé l’Institut national néerlandais pour la gestion des eaux, le Rijkswaterstaat. Au moins sept marins avaient sauté par-dessus bord lorsque leur cargo avait été sinistré, et l’un d’eux est mort. Sous les regards des curieux, la carcasse noircie du Fremantle Highway est arrivée au port d’Eemshaven tirée par deux remorqueurs, et accompagnée d’un bateau capable de récupérer d’éventuels déversements d’hydrocarbures en mer. Les employés du port ont ensuite empilé un mur de conteneurs jaunes autour du navire amarré, le cachant à la vue du public, a observé un journaliste de l’Agence France-Presse. Selon les médias locaux, le navire pourra rester sur place jusqu’au 14 octobre.
Près de 500 véhicules électriques à bord
Le cargo de 18 500 tonnes, battant pavillon panaméen, était parti du port allemand de Bremerhaven pour rejoindre Port-Saïd en Egypte avant de reprendre la route pour Singapour, sa destination finale. Il transportait 3 783 voitures neuves, dont 498 véhicules électriques, selon la compagnie K Line qui affrétait le navire. Parmi ces dernières se trouvaient des BMW, Mercedes, Volkswagen, Porsche, Audi et Lamborghini – une perte totale susceptible de dépasser 300 millions d’euros, selon l’agence de presse néerlandaise (ANP). Une des voitures électriques pourrait être à l’origine de l’incendie.
Les autorités craignaient une catastrophe environnementale, le cargo ayant pris feu à proximité d’une zone écologiquement sensible. « Nous avons veillé à ce que la mer des Wadden et les îles des Wadden ne soient pas polluées et nous en sommes fiers », s’est félicité auprès de l’ANP le capitaine du port Pieter van der Wal. La situation semblait largement sous contrôle depuis plusieurs jours, mais le mauvais temps en mer du Nord avait suscité de nouvelles inquiétudes. « Rien n’indique qu’un incendie fasse encore rage » et il n’est pas non plus question d’un « quelconque écoulement de liquides ou d’autres matières », a précisé dans une lettre au Parlement jeudi le ministre des infrastructures et de la gestion des eaux Mark Harbers.
Riche biodiversité
La mer des Wadden, qui longe une région côtière s’étendant des Pays-Bas au Danemark, a été déclarée patrimoine mondial de l’Unesco et possède une riche biodiversité de plus de 10 000 espèces aquatiques et terrestres. « La mer des Wadden a échappé à une catastrophe environnementale majeure », a salué la Waddenvereniging, une organisation de protection de l’environnement locale. « Cependant, nous continuons d’être très préoccupés par la navigation qui a lieu au nord des îles Wadden », a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Au début de 2019, quelque 340 conteneurs d’un des plus gros porte-conteneurs au monde, touché par une tempête, étaient tombés à l’eau dans la région, jonchant de plastique et de polystyrène des kilomètres de littoral vierge.
un truc que je ne comprend pas il y a bien des cloisons coupe feu sur ces navires il semble un manque d'éfficaté dans la propagation de l'incendie
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Personnellement, j’admire la dextérité et le professionnalisme des différents remorqueurs et bateaux d’assistance. Certains sont de la même compagnie, d’autres pas, pas même du même pays. Dans le cas présent NL et D. L’entrée du port avec vent et courant violents d’une pareille boîte à conserve dépourvue de propulsion et de gouvernail, probablement pas à zéro, semble se faire avec une facilité déconcertante, ainsi que son amarrage dans la darse qui lui est réservée. Ce matin, la majorité des bateaux d’assistance étaient toujours présents à ses côtés. Je suppose que dans les jours à venir une masse d’experts en tous genre seront à bord de ce bateau plongé dans l’obscurité complète et les pièges des débris calcinés de la cargaison et des ponts mobiles. Le pompage de tous les fuides potentiellement inflammables et polluants ne devrait pas tarder. Et puis, après le 14 octobre ?
Je pense que le danger des dispositifs anti-incendie est d’alourdir le bateau avec une masse d’eau incontrôlable et de risquer de le faire chavirer. Durant les premiers jours, les remorqueurs présents sur place se sont contentés de refroidir l’extérieur de la coque en prenant soin de ne pas tenter d’éteindre le feu en laissant des quantités d’eau importantes envahir les fonds pour cette raison.
il existe des dispositifs anti incendies autre que l'eau (sprinkler) - à gaz ils font chuter l'oxygène de l'air le feu meurt par étouffement - à mousse eau + additif noie le feu avec très peut d'eau utilisé notamment pour éteindre les hydrocarbures utilisations dans les feux d'avions et de raffineries entre autres - et enfin à poudre
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