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Le BISMARCK coté Anglais

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+6
Christian Le Normand
BROMURE
AD'HOC
didier
orionv
surcouf
10 participants

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l'avant dernier déjà, super ton récit chaque weekend tu nous replonge dans l'action cela va nous manquer encore merci pour cette relation sunny

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pascal 94 a écrit:
l'avant dernier déjà, super ton récit chaque weekend tu nous replonge dans l'action cela va nous manquer encore merci pour cette relation sunny

De rien Pascal, merci à toi et à tous pour vos encouragements.
A+
cheers

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bien le bonjour

on va s'ennuyer quand ce sera fini encore bravo pour le recit

_________________
/>
LE BON DIAMETTRE POUR LE PASSAGE DE LA GODILLE ( ENGOUJURE ) 
DANS LE TABLEAU ARRIERE  C'EST LE DIAMETTRE D'UNE BOUTEILLE DE VIN 
( 75 mm )

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Allons, Surcouf ; tu va bien nous détailler la scène finale en deux morceaux sans rien bâcler même si on comprend que t'as hâte de finir !
Après, tu nous fais "Cerbère" ou le destin sans gloire du cuirassé Tirpitz ?

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Oui tout à fait - Bismarck 7.1 avant le 7.2

_________________
Sévissant aussi sur ce forum sous les alias de "Desiderius", "le sous-marinier belge" Suspect ou encore "l'ophtalmo sadique" :twisted:
Prétendu descendant d'un volontaire du 7ème (*) rgt de Hussards de Napoléon Le BISMARCK coté Anglais  - Page 6 Monter10
Le BISMARCK coté Anglais  - Page 6 004510
Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères (Voltaire) cheers
(*) pourquoi le 7ème ? Pardi c'est le seul à s'être battu à Waterloo !

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:pirat: Merci à tous, La fin sera comme le reste, quant au Tirpitz on verra (trop de doc!)
A+

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:pirat: LA FIN DU BISMARCK (en 2 fois)
Le BISMARCK coté Anglais  - Page 6 1yt65e8b0u
Documents très rares, le Rodney tirant sur le Bismarck et plus bas les salves entourant le cuirassé allemand (collection personnelle Surcouf)
Le BISMARCK coté Anglais  - Page 6 4esy4ehih1
3h35 :
Le Cossack s’approche sous les salves pour lancer sa dernière torpille, sans résultats.
4h :
Les destroyers perdent le contact avec le Bismarck.
A bord du Rodney, le capitaine de corvette Wellings est au comble de l’excitation à l’idée d’affronter le Bismarck, sans toutefois être sûr de revoir sa femme car Dieu seul sait comment ça va se terminer.
Soudain les hauts parleurs du bord grésillent. Le capitaine Dalrymple Hamilton s’adresse à l’équipage :
—A tous, nous allons affronter le Bismarck à l’aube. Je vous demande d’être digne de votre uniforme. Je vous souhaite bonne chance. L’aumônier va réciter une courte prière.
Ce qui est fait dans la minute :
—« Dans le besoin qui est le notre, nous t’implorons Seigneur de bien vouloir prendre en main notre destin pour juger de nous et de nos ennemis ».
Depuis des siècles on récite cette prière dans la marine anglaise.
Ensuite la tête basse, chacun regagne son poste de combat avec l’angoisse de finir comme le Hood.
A bord du King Georges V le lieutenant de vaisseau Hugh Guernsey observe l’amiral Tovey au milieu de ses officiers :
—« Regardez, ils sont debout ou adossés, comme une troupe de fantômes » chuchote t-il à son voisin.
Il faut dire que l’atmosphère est lugubre, chacun mesurant le poids du destin et se demandant quel navire va affronter en premier le feu meurtrier du Bismarck.
—On attend l’aube pour attaquer. Confirme Tovey.
Guernsey communique en permanence avec la salle de radio et transmet les messages à l’amiral.
Dans la nuit du chocolat chaud est servi. Chaque homme le boit sans conviction.
—On aurait pu nous servir du vinaigre que personne n’aurait remarqué. Dit Guernsey.
L’angoisse de l’équipage est palpable. Certains regardent comme pour la dernière fois les photos de famille.
4h :
Le Dorsetshire sous le commandement du capitaine Benjamin Martin abandonne l’escorte de son convoi pour participer à la chasse au Bismarck.
Martin s’adresse à ses hommes :
—« Messieurs, nous avons reçu l’ordre d’intercepter et couler le Bismarck. Nous attaquerons avec notre artillerie principale et lorsque nous serons suffisamment près, nous nous mettrons en position pour le torpiller avant de l’éperonner par le travers ».
Ce discours pour le moins irréaliste produit un effet catastrophique sur l’équipage traumatisé par le naufrage du Hood.
Ainsi le quartier maitre Joe Brooks se tourne vers un camarade et lui demande :
—« Combien de temps faut-il pour rejoindre Brest à la nage » ?.
6h :
L’Atlantique se déchaine. Au vu des vagues gigantesques et du vent « à décorner les bœufs » selon l’expression d’Hugh Guernsey, Tovey décide de reporter l’attaque.
Il se tient sur le pont du King Georges V au grand affolement de ses officiers :
—Je ne veux pas que le Bismarck s’échappe. Tenez-vous à distance et attendez mes ordres.
L’amiral fait manœuvrer séparément le KGV et le Rodney afin d’éviter la mésaventure du Hood. S’adressant à ses officiers, il leur dit :
—Le King et le Rodney doivent s’approcher par vent arrière et déboucher à l’ouest face aux Allemands. A contre jour, le Bismarck sera une cible parfaite. Les Swordfishs de l’Ark Royal doivent également participer à l’attaque.
La suite très bientôt!

cheers

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merci pour la suite de ce récit et pour les 2 photos pour moi inédites et spectaculaires avec les gerbes d'obus entourant le Bismarck

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surcouf a écrit:

—A tous, nous allons affronter le Bismarck à l’aube. Je vous demande d’être digne de votre uniforme. Je vous souhaite bonne chance. L’aumônier va réciter une courte prière.
Ce qui est fait dans la minute :
—« Dans le besoin qui est le notre, nous t’implorons Seigneur de bien vouloir prendre en main notre destin pour juger de nous et de nos ennemis ».
Depuis des siècles on récite cette prière dans la marine anglaise.

Pour tes fidèles lecteurs, Surcouf, c'est : "donnez-nous notre pain à peu près quotidien et notre récit du Bismarck tout à fait hebdomadaire ! "

surcouf a écrit:
4h :
Le Dorsetshire sous le commandement du capitaine Benjamin Martin abandonne l’escorte de son convoi pour participer à la chasse au Bismarck.
Martin s’adresse à ses hommes :
—« Messieurs, nous avons reçu l’ordre d’intercepter et couler le Bismarck. Nous attaquerons avec notre artillerie principale et lorsque nous serons suffisamment près, nous nous mettrons en position pour le torpiller avant de l’éperonner par le travers ».
Ce discours pour le moins irréaliste produit un effet catastrophique sur l’équipage traumatisé par le naufrage du Hood.
Ainsi le quartier maitre Joe Brooks se tourne vers un camarade et lui demande :
—« Combien de temps faut-il pour rejoindre Brest à la nage » ?.

Cet épisode a été longtemps occulté vu la suite des événements mais effectivement, le croiseur lourd Dorsetshire a reçu cet ordre quasi incroyable, venu de "très haut" mais il n'était pas question de laisser le Bismarck à flot et devant les incertitudes sur le combat à venir, la "Navy" était prête à sacrifier le croiseur lourd pour neutraliser définitivement le Bismarck. Côté, anglais, depuis l'affaire du Hood, le mythe du Bismarck insubmersible s'était propagé comme une traînée de poudre à tous les échelons.

descriptionLe BISMARCK coté Anglais  - Page 6 EmptyRe: Le BISMARCK coté Anglais

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:pirat: LA FIN DU BISMARCK SUITE ET FIN
Je vous fais un doublé à la corsaire!
Le BISMARCK coté Anglais  - Page 6 Ble5pds8tk
Hitler à bord du Bismarck. Il s'était personnellement investi dans l'histoire et la vie du cuirassé, sa perte fera qu'il se détachera du destin de la marine allemande.
(collection personnelle Surcouf)
7h37 :
Le Norfolk et le Dorsetshire arrivent du sud à toute vitesse.
7h53 :
—Lancez l’attaque. Ordonne Tovey.
Le Norfolk aperçoit le Bismarck, mais le confond avec le Rodney . Utilisant ses projecteurs, il s’évertue à lui envoyer des signaux !.
—Pourquoi il ne répond pas ?.Demande l’amiral Wake-Walker.
—C’est le Bismarck !. Crie un officier.
Le Norfolk à juste le temps de se mettre à l’abri avant la réaction du géant. Il signale la position du cuirassé allemand au King Georges V et Rodney qui s’approchent.
Tovey met son casque de combat resté dehors et se retrouve douché par l’eau accumulée. Les témoins le voient sourire de sa mésaventure.
8h43 :
La silhouette du Bismarck apparaît à l’horizon. Pour tous c’est le monstre tant redouté, il représente la terreur d’un obus bien placé décidant du sort de leur navire.
8h47 :
Le Rodney ouvre le feu. A bord, on a l’impression que le blindage va se désintégrer. Le navire tremble de toutes ses membrures. Puis le King Georges V tire à son tour.
Le Bismarck demeure silencieux malgré les colonnes d’eau se rapprochant de sa coque.
—Pourquoi ne riposte t-il pas ? se demande Tovey.
A cet instant on distingue des lueurs sur les tourelles avant du Bismarck. Il ouvre le feu sur le Rodney, les salves tombent assez loin du cuirassé anglais.
—« Dieu merci, ils tirent sur le Rodney !» lançe égoïstement Guernsey.
L’Allemand envoie un déluge d’obus, mais comme le Bismarck manœuvre mal ses tirs sont désorientés. Le Norfolk vient se joindre à la curée et tire avec ses canons de 150 mm. C’est loin de ralentir le feu du géant.
Le Rodney est légèrement touché sur ses dispositifs de visées anti-aériennes, mais il n’y a pas de blessés.
— « 20 mètres plus en arrière et le Rodney n’avait plus de passerelle et de commandant ». Constate le capitaine de corvette Wellings.
9h :
Le Dorsetshire arrive et entre en action.
Sur le Rodney, le capitaine Dalrymple-Hamilton décide :
—Cap au nord, nous allons reprendre l’attaque dans une meilleure position.
Pendant ce temps le Bismarck tire sur le King Georges V qui le lui rend bien. Le cuirassé allemand a le pont parsemé d’éclairs et se retrouve cerné par des geysers hauts comme des maisons.
Le Rodney revenu par derrière et le KGV s’approchent du Bismarck pour utiliser leur artillerie secondaire et anti-aérienne.
—Feu à volonté avec toutes les pièces. Il faut le couler !. Ordonne Tovey.
Le décor est surréaliste. Contrastant avec la grisaille des navires et de l’océan, les éclairs des tirs illuminent la scène de fresques multicolores, comme un gigantesque feu d’artifice.
Guernsey note dans son carnet :
—« Les obus trouent la coque blindée du Bismarck comme un morceau de gruyère ».
Tovey lui constate :
—« Sur le Bismarck des incendies se déclarent en plusieurs endroits et le navire semble ingouvernable ».
Cependant l’Allemand tire toujours. Le Rodney et le KGV sont si près que leurs canons sont au maximum du pointage négatif.
C’est l’enfer pour le Bismarck. On voit des pans entiers de superstructures éclater et voler dans des tourbillons de feu. Ses canons pendent comme des arbres abattus.
Tovey observe le résultat aux jumelles :
—« Ca tourne à l’exercice de tir ».
9h31 ;
Le Bismarck cesse de tirer, mais Tovey continue de le bombarder malgré le fait qu’il ne soit plus qu’une épave en flammes. Des silhouettes se mettent à courir sur le pont du cuirassé et se jettent à la mer.
10h15 :
Craignant les sous-marins, Tovey ordonne :
—Cessez le tir, je me retire à l’écart. Que le Rodney me suive. Tout navire ayant encore des torpilles doit entrer en action.
Un officier précise :
—Tous les destroyers sont rentrés pour ravitailler sir, il ne reste que le Maori sans torpilles.
—Alors que le Dorsetshire finisse le travail.
Le capitaine Martin ne se fait pas prier. Il s’approche avec son navire à 1,5 milles par le travers tribord, lance 2 torpilles qui explosent contre le cuirassé sans le faire bouger d’un pouce.
— Ce satané allemand résistera jusqu’au bout ! Lance Martin.
Cette fois le Dorsetshire lance une troisième torpille sur le flanc bâbord du Bismarck.
Coïncidence avec le sabordage du cuirassé ? (selon les témoignages allemands), toujours est-il que le Bismarck s’enfonce par l’arrière et coule. Son étrave pointe vers le ciel avant de s’enfoncer majestueusement.
Reste des centaines de silhouettes se débattant dans l’océan.
A bord du Dorsetshire, le quartier maitre Joe Brooks observe la fin du Bismarck :
—« Je ressens toute l’horreur de la guerre en voyant ces hommes sauter et nager ».
Sur le King Georges V qui s’éloigne l’amiral Tovey observe aussi la scène aux jumelles. Il prend à témoin ses officiers :
—« Messieurs le Bismarck s’est battu avec courage contre un sort implacable et s’est montré digne des heures de gloire de la marine impériale allemande ».
Au dessus de cette scène dramatique tournent 12 Sworfishs. Ils n’ont pas pu intervenir au risque d’être massacrés par la pluie d’obus échangés de part et d’autre.
Dans l’un d’entre eux, l’observateur Edmond Carver commente à la radio :
— Vous avez vu ça les gars, le Bismarck, on aurait dit un chaudron de feu !.
Mais maintenant, reste les centaines de survivants se débattant dans l’eau glacée et le mazout. On entend les cris de ces hommes désespérés.
A bord du King Georges V et du Rodney on constate les dégâts des tirs longue durée. De nombreux canons sont tombés en panne, il ya des fuites d’eau partout. Sur le Rodney les plaques de blindages ont travaillé et perdu des rivets. Les meubles sont brisés.
Tovey décide de rentrer pour ravitailler :
—Que le Dorsetshire et le Maori restent sur place recueillir les survivants.
—Bien Sir.
Les 2 navires s’approchent lentement.
Dans l’eau à 13° un millier d’hommes surnagent.
—La mer est trop forte pour les embarcations, lancez des filins. Ordonne Martin.
Le Dorsetshire et le Maori se rapprochent lentement de la masse humaine surnageant dans cet océan recouvert de mazout. Instinctivement tous nagent le long du flanc abrité du vent et s’agrippent aux filins. Mais ces derniers sont rendus glissants par le mazout.
Certains naufragés ont l’idée de faire une boucle autour d’un bras et peuvent être hissés à bord. Les marins anglais les aident au mieux.
Un naufragé dont les bras ont étés sectionnés lutte désespérément accroché à un filin avec ses dents.
—Il faut le sauver !. Crie Joe Brooks.
Il se laisse glisser par dessus bord pour passer une boucle autour de son corps.
A cet instant le capitaine Martin reçoit une alerte aux sous marins et décide de partir.
Brooks voit avec horreur le Dorsetshire avancer au milieu des cris et supplications des naufragés. Il s’agrippe au filin destiné à l’Allemand qu’il n’a pas eu le temps de sécuriser. Malheureusement, ce dernier coule à pic.
Brooks progressivement hissé à bord, voit des centaines de naufragés lâcher prise au milieu des cris et supplications, certains même cherchant encore à s’agripper avec leurs ongles à cette coque sombre, dernier espoir avant leur tombeau liquide.
Aussitôt Brooks à bord, Martin le consigne immédiatement dans sa cabine (il échappera tout de même à la mesure disciplinaire).
Il y a en tout 110 survivants. Tous enduits de mazout et noir comme du charbon.
85 sur le Dorsetshire et 25 sur le Maori. On les soigne et on leur donne du Rhum. La plupart vomissent immédiatement se purgeant du mazout ingurgité.
Aux Chequers, Apprenant la nouvelle Churchill aborde un large sourire, il décide de ne pas allumer son cigare, mais plutôt de préparer son discours au parlement. Sa plus grande victoire sera d’annoncer indirectement à Hitler la perte de son cuirassé, personne n’ayant osé le faire.
Le Führer ne pardonnera jamais à Raeder cette humiliation.
Et voilà les amis!

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merci Surcouf pour cette longue relation qui nous a tenu en haleine et si bien racontée donc facile et agréable à lire ainsi que ces souvent inédites pour moi cela va me manquer et je ne serais pas tout seul à le dire

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Super récit !!
Bravo et merci

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Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères (Voltaire) cheers
(*) pourquoi le 7ème ? Pardi c'est le seul à s'être battu à Waterloo !

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:pirat: cheers Merci à vous tous pour vos encouragements et fidélité
Pascal, Christian,Mike,Yuth,didier,janbauduen,AD’HOC,kitou,orionv,Bromure, et j’en oublie sans doute (Fabien L qui ne doit pas être loin), merci pour les commentaires, précisions et photos (AD’HOC et Christian notamment)
A+ Maintenant je dois me consacrer à une maquette, mais peut être le Tirpitz aura t-il un jour son histoire ?......

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le Tirpitz très bonne idée..............

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pascal 94 a écrit:
le Tirpitz très bonne idée..............

Soufflée par un Normand Wink :pirat: Very Happy

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[quote]Soufflée par un Normand Wink pirat Very Happy

[quote]
tant pis on va faire avec et c'est une très bonne idée!!

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:pirat: Quand même content d'avoir terminé cette histoire!, j'avoue que par moments sans vos encouragements j'aurai sonné la retraite!
A+

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il est vrai que tu as accompli un boulot monstre pour préparer ton récit et on s'est régalé avec ton récit

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bonsoir mercipour ce recits amitiés

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Si tu m'y autorises, Surcouf, je me me permettrais quelques compléments à la fin de ton récit.
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merci encore pour ce recit, dont personnellement je ne connaissais que les grandes lignes ça va manquer et j'avoue que j'attendais chaque fois la suite avec impatience

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LE BON DIAMETTRE POUR LE PASSAGE DE LA GODILLE ( ENGOUJURE ) 
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Au sujet du radar en effet au début de la guerre les Allemands avaient en cette
matière une technologie plus avancée que les alliés

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(*) pourquoi le 7ème ? Pardi c'est le seul à s'être battu à Waterloo !

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:pirat: Merci AD'HOC et à tous, Christian autorisation accordée!

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