... et c'est Dalhia Bleue qui gagne sans hésitation 
.
Jusque dans les années quarante les PA américains étaient conçus aussi pour lancer leurs avions vers la poupe, au cas ou une partie du pont serait endommagée à l'avant.
Ici l'Enterprise navigue en arrière toute et contre le vent. Les avions de l'époque, très légers, n'avaient besoin que de quelques dizaines de mètres pour décoller. Les lourds bombardier et torpilleurs en étaient exclus. Avec le passage aux Hellcat, Avenger et Helldiver la procédure fut abandonnée car ces machines étaient trop lourdes.
Cela supposait aussi des turbines de marche arrière assez puissantes, pas vraiment conçues pour cela et qui souffraient pas mal.
Les mieux adaptés à ce concept étaient les Lexington et Saratoga : ancien croiseurs de bataille dotés d'une propulsion turbo-électrique, celle-ci pouvait donner la même pleine puissance dans les deux sens. Il suffisait d'inverser la polarité des gigantesque moteurs électriques à cage d'écureuil qui étaient en prise directe sur les arbres d'hélice. Les performances étaient facilitées par leur poupe très effilée.
_Bruno
_________________
Hi Bob!
C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases
Si Vis Pacem Parafilmum
La sous-couche, c'est un apprêt que l'on met avant
Si on bricolait plus souvent on aurait moins la tête aux bêtises
Omnes stulti, et deliberationes non utentes, omnia tentant
Une journée au cours de laquelle on n'a pas ri est une journée perdue
Espérons que le fond de la mer est étanche
Oh, ça c'est le Quacta qui se moque du Stifling
Telle est la Voie !
.Jusque dans les années quarante les PA américains étaient conçus aussi pour lancer leurs avions vers la poupe, au cas ou une partie du pont serait endommagée à l'avant.
Ici l'Enterprise navigue en arrière toute et contre le vent. Les avions de l'époque, très légers, n'avaient besoin que de quelques dizaines de mètres pour décoller. Les lourds bombardier et torpilleurs en étaient exclus. Avec le passage aux Hellcat, Avenger et Helldiver la procédure fut abandonnée car ces machines étaient trop lourdes.
Cela supposait aussi des turbines de marche arrière assez puissantes, pas vraiment conçues pour cela et qui souffraient pas mal.
Les mieux adaptés à ce concept étaient les Lexington et Saratoga : ancien croiseurs de bataille dotés d'une propulsion turbo-électrique, celle-ci pouvait donner la même pleine puissance dans les deux sens. Il suffisait d'inverser la polarité des gigantesque moteurs électriques à cage d'écureuil qui étaient en prise directe sur les arbres d'hélice. Les performances étaient facilitées par leur poupe très effilée.
_Bruno
_________________
Hi Bob!
C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases
Si Vis Pacem Parafilmum
La sous-couche, c'est un apprêt que l'on met avant
Si on bricolait plus souvent on aurait moins la tête aux bêtises
Omnes stulti, et deliberationes non utentes, omnia tentant
Une journée au cours de laquelle on n'a pas ri est une journée perdue
Espérons que le fond de la mer est étanche
Oh, ça c'est le Quacta qui se moque du Stifling
Telle est la Voie !
, voici une vidéo faite par Claus TUXEN sur le porte-conteneurs SKAGEN MAERSK qui permet de voir la flexibilité d'un navire et heureusement qu'ils sont souples !
