aline13000 a écrit: […]le voila terminé ,mais c'est meme pas sur que je le monte, je n'ai pas assez de certitude que les vospers en avait un […] et voila c'est bete car il fait bien sur le pont […]
Je trouve ça tout simplement
!
!
Travail superbe et remarquable ! Mais probablement superflu. Il fait
bien, en effet, mais assez disproportionné. Et comme le soutient mutti avec juste raison, on imagine mal d’avoir surchargé les MTB avec un accastillage inutile (la main d’œuvre, à l’époque, était rustique, solide et musclée (rêvons un peu, Line, hihihi ! Bon, il en a encore quelques uns ; aujourd’hui — des musclés,
).
Cependant les chaumards sont peut-être un peu plus utiles.
aline13000 a écrit: […]au sujet de l’aussière en permanence […] On compte ainsi, qu’une flottille de huit vedettes aura en moyenne un navire sur slip en permanence // c'est edifiant sur la fiabilité des moteurs
Pour ce qui est du chaumard axial et de son emploi : je ne suis pas sûre qu’il faille aller chercher si loin des justifications au gréement (permanent ?) de la plage avant.
* Sur le plan matériel et mécanique, l’entretien, la maintenance et la réparation des moteurs sont des contraintes qui pèsent évidemment sur la disponibilité (et les finances). Mais qui exigent simplement une prise en compte réfléchie. Au final,
une MTB indisponible sur
huit, ça fait une disponibilité de
7/8, et c’est un excellent taux — probablement optimiste, car il ne doit pas tenir compte du reste de la maintenance (armes, coque…). Même aujourd’hui, le taux moyen correspondant du matériel militaire doit être de l’ordre de
5/8 (… pour rester dans la référence
octale).
* Si la fiabilité des moteurs pouvait légitimement procurer des soucis et susciter des craintes, il convient de se souvenir qu’il y avait tout de même
trois moteurs. La loi de Murphy aurait été bien impitoyable (pour les MTB) si elle avait (systématiquement) abouti à l’avarie totale et simultanée des trois moteurs !!
Un en panne, d’accord !
Deux, ce n'est vraiment pas de chance ! Mais
trois !!
!!
De plus, même si cette occurrence (des trois pannes simultanées) était avérée, il y a
toujours un peu de temps pour sortir la remorque, la disposer sur le pont (via le chaumard) et la frapper sur une bitte. Ne serait-ce que pendant le temps de la manœuvre du remorqueur de secours (une autre MTB, ou un bâtiment d’une autre catégorie). Même en conditions de
remorquage de combat.
Il est donc inutile d’encombrer le pont avec une remorque prédisposée.
* À la mer (mais par petits fonds), on ne voit pas bien l’intérêt de garder sur le pont, en permanence, la chaîne (ou le cordage…) de mouillage. Le mouillage, même d’urgence, ne s’impose pas dans des délais si courts que l’équipage n’ait pas le temps de les sortir de la soute et de les disposer sur la plage avant. De plus, l’ancre étant solidement arrimée au pont (saisie, et boulonnée), elle n’est de toute façon pas utilisable dans l’instant. Ce qui est cohérent avec le temps nécessaire pour la gréer avec le cordage/chaîne.
On voit bien sur le plan, qu'il n'y a pas de guindeau. À vrai écrire, il n'y a pas non plus de chaumard sur le bordé de coque. Mais pas non plus d'axial.
Le plan n'est peut-être pas complet ni exhaustif.
Oufff !! J’ai fini mon baratin ! et mes
aline13000 a écrit: […] moments de faiblesse […]
… vont essayer de se rattraper par ça :
pour toi, Line !!
Dernière édition par DahliaBleue le Sam 27 Oct 2012 - 19:50, édité 2 fois