C'est l'histoire de Mohamet. Un matin, il téléphone à son employeur.
"Chif, ji peux pas v'nir aujourdi. Ca va pas, ji mal tout partout, ji mal la tit, ji mal la gorge, ji mal li dos, ji mal les jampes"
Le chef lui répond :
"Ecoute Mohamet, je comprends cela moi aussi ça m'arrive le matin d'avoir mal partout en me levant mais j'ai un remède excellent je demande à ma femme de me faire une pipe et après, tout rentre dans l'ordre. Tu devrais aussi essayer"
Mohamet: "OK chif, j'issaie et ji ti rappel"
Deux heures plus tard, il rappelle son chef:
"Ti m'a donné bon conseil, moi, plus mal li têt, plus mal partout, j'arrive.
A propos chif, ti a une très belle maison"
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Un type, pour faire une surprise à sa blonde décide de se faire couper la barbe qu'il a toujours portée, mais que sa femme n'aime pas trop.
En arrivant chez lui, sa blonde lui saute au cou et l'embrasse passionnément...
- Tu aimes ? demande-t-il alors, une fois repris son souffle.
- Ah c'est toi !? fait la blonde.
Je t'avais pas reconnu !
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Un navire de croisière heurte un iceberg et laisse six survivants, cinq hommes et une jeune femme superbe, à bord d'un canot de sauvetage. Le lendemain du naufrage, après une nuit de panique et d'angoisse, les six rescapés reprennent espoir en débarquant sur une île déserte. Au bout de quelques semaines, la nature commandant, certains des rescapés mâles expriment le besoin d'avoir des relations physiques. La compétition et la jalousie représentant deux obstacles délicats, ils se mettent d'accord, avec l'approbation de la principale intéressée, sur un système de roulement. Ils auront le droit de profiter des charmes de la jeune femme une soirée chacun à tour de rôle. Tout se passe bien pendant deux ans mais, victime d'une fièvre inconnue et incurable, la femme meurt subitement. La première semaine est à peu près supportable mais dès la seconde, la situation empire. La troisième semaine, cela devient réellement pénible et les cinq hommes s'accordent à prendre une décision. Mais la quatrième semaine, c'est devenu tellement insupportable qu'ils décident finalement… de l'enterrer.
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Un avion long courrier traverse une terrible tempête. Voilà plusieurs fois qu'il tombe dans des trous d'air. Et alors qu'il perd dangereusement de l'altitude, les passagers sont totalement paniqués et crient de frayeur. Tout le monde pense que cette fois, c'est la fin…
Au coeur de cette scène de cauchemar, une jeune femme s'écrie soudain :
- Je ne peux plus supporter ça… Nous allons donc tous mourir comme du bétail enfermé dans une cage. Y a t'il un homme dans cet avion qui me fera me sentir une vraie femme une dernière fois ?
Dans le fond de l'appareil, un bras se lève. Un jeune homme viril et bien bronzé s'avance dans le couloir central de l'avion et commence à ôter sa chemise qui laisse apparaître son torse musclé. Il tend alors la chemise à la jeune femme et lui dit :
- Tiens, repasse ça.
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C'est un gars qui roule en voiture sur l'autoroute et qui se fait flasher à 180 par un radar planqué sous un pont. Cinq kilomètres plus loin, il est arrêté au péage, et un C.R.S. vient lui rappeler le code de la route :
- Vous venez de vous faire flasher à 180 km/h… Vous savez que sur les autoroutes françaises, la vitesse est limitée à 130 km/h je suppose. Allez ranger votre voiture sur l'aire de stationnement et vous me suivrez pour que je vous dresse le procès-verbal. Une fois dans le car, le C.R.S. commence à remplir le P.V. Il pose les questions rituelles, identité, permis de conduire, profession… Arrivé là, l'automobiliste en infraction répond :
- Mon boulot ? Je suis réaléseur de trou-du-cul !
- Pardon ?! RÈpond le C.R.S., vous êtes QUOI ?
- Je suis réaléseur de trou-du-cul !
- Et ça consiste en quoi ?
- Eh bien, les gens m'appellent, et ils me disent qu'ils voudraient avoir un trou-du-cul plus large, alors j'arrive, et je commence : un doigt, puis deux, puis toute la main, puis les deux mains, puis je pose des étais et des crics et finalement je m'arrête quand j'obtiens un trou-du-cul de 1,80 mètres.
Le C.R.S. a le regard dans le vague et la bouche ouverte : mentalement, il essaie de se représenter les scènes que le type vient de lui décrire. Finalement il reprend ses esprits :
- Mais qu'est-ce qu'on peut bien faire avec un trou-du-cul de 1,8 mètres ?
Alors l'automobiliste répond avec une grimace :
- On lui donne un radar et on lui dit d'aller se planquer sous un pont !