Andy a écrit:Ne cherche pas d'ambiguîté dans mes blagues à trois sous, Christian. J'ai écrit Dupuy de Dôme et pas Dupuy de Lôme.
Salut,
J'ai pas tilté à la blague sur le coup. Simplement, j'ai cru à une faute de saisie ; maintenant, il n'est pas obligatoire d'être du bord de mer pour être ingénieur naval et élu à Clermont-Ferrand !
didier a écrit:Salut Christian,
je ne connaissais pas cette photo du Dupuy de Lome (et non pas De Dome parce qu'alors j'aurais écris : "Chalut Christian, je ne connaichais pas..." bon j'arrête c'est nul ). Il est impressionnant ainsi "full steam ahead" et je crois que je comprends aussi ainsi que l'étrave permet de casser la vague et d'améliorer les qualités nautiques ??
Chalut Didier,
Même si che chuis né en bord de mer, che chui pas aufergnat.
Je persiste à penser que l'éperonnage était revenu en vogue à cette époque (Cf. L'épisode d'Hampton Road en 1862) car le tir au canon était inefficace et, après tout, l'abordage n'était pas si lointain dans le temps. Quand l'Autriche-Hongrie (pas l'autruchon gris, perle de potache) a été en guerre avec la jeune Italie, l'amiral autrichien Teghettof, a déclaré : "Si vous n'avez pas de canons, donnez-moi des bateaux" ; il pensait à l'abordage, évidemment !
D'ailleurs, un des noms donnés à ces bateaux était "ram" soit "bélier" comme pour enfoncer les portes des châteaux au Moyen-Âge.
Si l'idée d'améliorer la stabilité et diminuer le tangage, d'une part, d'accroître cette stabilité avec un "bulge" facilitant la pénétration dans l'eau avait été d'actualité sur le Dupuy De Lôme, pourquoi aurait-elle été abandonnée pendant la WW I, pour renaître sur le Yamato (entre-autres) puis sur la plupart des navires postérieurs à 1960 ?