Ça commence à être propre, même si deux moteurs en rideaux encore cette fois.
Je vois sur quelques discussions que certains s'étonnent qu'ils ne fassent pas de test à 100% ( en plus sans le starship dessus ) sans réfléchir que le truc risque de s'arracher avec la table orbitale vu le rapport poids/puissance
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SpaceX a reçu l'ordre de mettre en œuvre 63 mesures correctives pour reprendre les essais en vol de son système de lancement Starship Super Heavy à la suite d'un premier accident au décollage qui a fait voler en éclats les fondations de la plate-forme de lancement.
Le propulseur Super Heavy s'est également brisé en vol, déclenchant le système automatisé d'arrêt de vol de la fusée, qui ne s'est pas déclenché immédiatement pour briser le véhicule qui s'était égaré. Le lancement a eu lieu le 20 avril à la base d'opérations Starship de SpaceX à Boca Chica Beach, au Texas.
La FAA, qui supervise les vols spatiaux commerciaux effectués par des entreprises américaines, a déclaré le 8 septembre qu'elle avait terminé son examen de l'enquête sur l'accident menée par SpaceX et qu'elle avait ordonné 63 mesures correctives.
"Il s'agit notamment de revoir la conception du matériel du véhicule pour éviter les fuites et les incendies, de revoir la conception de la rampe de lancement pour accroître sa robustesse, d'incorporer des examens supplémentaires dans le processus de conception, d'effectuer des analyses et des tests supplémentaires des systèmes et des composants critiques pour la sécurité, y compris le système de sécurité de vol autonome (AFSS), et d'appliquer des pratiques supplémentaires de contrôle des changements", indique la FAA dans une lettre à SpaceX datée du 7 septembre.
Outre le respect des exigences de la FAA, SpaceX doit faire face à une action en justice intentée par des groupes de défense de l'environnement après que de nombreux débris ont recouvert certaines des communautés environnantes lors du lancement.
"La clôture de l'enquête sur l'accident par la FAA ne préjuge pas des résultats des études environnementales en cours ou à venir concernant les opérations de Starship à Boca Chica", écrit Marcus Ward, responsable de la division Assurance de la sécurité de la FAA, dans la lettre adressée à SpaceX.
Dans une mise à jour publiée le 8 septembre sur son site web, SpaceX explique qu'au cours de l'ascension, le véhicule a subi des incendies dus à des fuites de propergol à l'arrière du propulseur Super Heavy, ce qui a fini par rompre la connexion avec l'ordinateur de vol principal du véhicule.
"Cela a conduit à une perte de communication avec la majorité des moteurs d'appoint et, en fin de compte, à une perte de contrôle du véhicule. Depuis, SpaceX a mis en œuvre des mesures d'atténuation des fuites et a amélioré les tests sur le matériel des moteurs et des boosters. Comme mesure corrective supplémentaire, SpaceX a considérablement élargi le système d'extinction d'incendie préexistant de Super Heavy afin d'atténuer les risques d'incendies futurs dans la baie des moteurs", indique la société.
Pour remédier au retard de l'AFSS, SpaceX affirme avoir amélioré et requalifié le système afin d'en améliorer la fiabilité.
Sans rapport avec les problèmes rencontrés lors du premier vol, la société indique qu'elle met en œuvre des améliorations des performances du système, telles qu'un système de séparation des étages chauds. Ce système est conçu pour que les moteurs du deuxième étage du Starship s'allument alors que l'étage central Super Heavy est encore en feu, afin d'éloigner le vaisseau du propulseur.
L'entreprise introduit également un système de contrôle du vecteur de poussée entièrement électrique pour les moteurs Raptor Super Heavy. Ce système présente "moins de points de défaillance potentiels et est nettement plus économe en énergie que les systèmes hydrauliques traditionnels", explique SpaceX.
SpaceX a déjà reconstruit et testé un système amélioré de montage et de plate-forme de lancement orbital qui comprend des renforcements de la fondation de la plate-forme et l'ajout d'un déflecteur de flammes.
"Nous avons beaucoup appris sur le véhicule et les systèmes au sol au cours du premier essai en vol de Starship", explique SpaceX. "L'amélioration récurrente est essentielle alors que nous travaillons à la construction d'un système de lancement entièrement réutilisable capable de transporter des satellites, des charges utiles, des équipages et du fret vers une variété d'orbites et de sites d'atterrissage terrestres, lunaires ou martiens."
_________________ Hi Bob! C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases Si Vis Pacem Parafilmum La sous-couche, c'est un apprêt que l'on met avant Si on bricolait plus souvent on aurait moins la tête aux bêtises Omnes stulti, et deliberationes non utentes, omnia tentant Une journée au cours de laquelle on n'a pas ri est une journée perdue Espérons que le fond de la mer est étanche Oh, ça c'est le Quacta qui se moque du Stifling Telle est la Voie !
SpaceX a présenté les grandes étapes qui attendent sa nouvelle fusée, le Starship, lors du vol attendu le 17 novembre. Si tout se passe bien, le Starship volera pendant 90 minutes. On a donc une date potentielle pour le décollage du Starship : le 17 novembre. C’est le calendrier provisoire partagé par SpaceX le 11 novembre, alors que l’autorisation de vol octroyée par l’administration de l’aviation civile aux États-Unis reste en attente. De son côté, SpaceX poursuit ses activités en imaginant bien faire voler sa nouvelle fusée à la fin de la semaine.
Que ce décollage ait bien lieu le 17 novembre ou à une autre date, on connaît les grandes lignes de l’essai — le second depuis celui d’avril, qui s’était conclu prématurément avec une explosion de l’engin quelques minutes après son départ. Le vol lui-même doit durer 90 minutes. L’engin, qui partira du Texas, doit finir sa course dans l’océan Pacifique.
Sur une page dédiée au lancement, l’entreprise américaine a communiqué sur les grandes étapes qui aboutiront au départ du Starship — et sur ce qui se passera ensuite. La fusée, qui a reçu de nombreuses corrections depuis son échec ce printemps, doit procéder à certaines manœuvres aériennes, incluant la séparation de la fusée et la réorientation de chaque étage.
Les grandes étapes du second vol du Starship -2 heures : le directeur des vols de SpaceX effectue un sondage auprès des différents secteurs du centre de contrôle de mission et vérifie les feux verts pour charger le propergol ; -1 heure 37 : chargement de l’oxygène liquide et du méthane liquide pour le booster principal (Super Heavy) ; -1 heure 17 : chargement du méthane liquide pour le Starship ; -1 heure 13 : chargement de l’oxygène liquide pour le Starship ; – 19 minutes et 40 secondes : refroidissement de la propulsion des moteurs Raptor sur le Super Heavy et le Starship ; -10 secondes : activation du déflecteur de flammes ; -3 secondes : début de la séquence d’allumage de la motorisation Raptor ; +2 secondes : décollage ; +52 secondes : moment de la contrainte mécanique maximale sur la fusée (Max Q) ; +2 minutes 39 : coupure de la plupart des moteurs (« Booster MECO ») ; +2 minutes 41 : séparation des deux étages et allumage de la propulsion du Starship ; +2 minutes 53 : début de l’allumage de la propulsion du Super Heavy pour le faire rentrer sur Terre ; +3 minutes 47 : fin de la séquence ; +6 minutes 18 : le booster est transsonique ; +6 minutes 30 : démarrage des moteurs pour faire atterrir le Super Heavy ; +6 minutes 48 : arrêt de la séquence ; +8 minutes 33 : extinction de la propulsion du Starship ; +1h17m21s : rentrée du Starship vers la Terre ; +1h28m43s : le Starship est transsonique ; +1h30m : amerrissage du Starship.
Cette fois, j'ai pris mon temps pour ajouter des détails précis sur le booster et le vaisseau. La seule chose qui pourrait ne pas être exacte, ce sont les statistiques, car j'ai essayé d'utiliser certains canaux arrière pour obtenir des informations plus récentes, mais j'ai échoué, donc la plupart des statistiques datent d'avant IFT-1.
Vous pouvez voir la pleine résolution de cette infographie sur un site Easyzoom, lien dans les commentaires ci-dessous !
Quelques notes: - La masse sèche du B9 ajoute également les 9t du Hot Staging Ring
De plus, vous pouvez utiliser cette infographie dans n'importe quelle vidéo Youtube, avec un crédit :3
Si vous aimez cette infographie et que vous aimeriez en voir davantage à l'avenir et potentiellement faire d'autres fusées aussi (et m'aider à payer mon loyer mdr), n'hésitez pas à faire un don sur mon paypaI en guise de remerciement. Le lien sera dans les commentaires ci-dessous."
Ce n'est pas de bol.... cela fait un mois et demi que l'ensemble est en place.... l'air marin !
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Le jet W57 de la Nasa est en vol pour filmer l'évènement en haute altitude.
https://scifli.larc.nasa.gov/wb-57/
Le NASA Johnson Space Center (JSC) à Houston, au Texas, abrite le programme de recherche à haute altitude WB-57 de la NASA. Trois avions WB-57 pleinement opérationnels sont basés près de JSC à Ellington Field. Ces avions effectuent des missions de recherche depuis le début des années 1970 et continuent d'être un atout pour la communauté scientifique grâce à un service professionnel, fiable et orienté client, conçu pour répondre à tous les objectifs scientifiques.
Le WB-57 est un avion à aile moyenne et à long rayon d'action capable de fonctionner pendant de longues périodes depuis le niveau de la mer jusqu'à des altitudes supérieures à 60 000 pieds. Deux membres d'équipage sont positionnés à des stations tandem distinctes dans la partie avant du fuselage. La station de pilotage contient tous les équipements essentiels au pilotage de l'avion tandis que la station d'opérateur d'équipement de capteur (SEO) contient à la fois l'équipement de navigation et les commandes pour le fonctionnement des charges utiles situées dans tout l'avion. Le WB-57 peut voler pendant environ 6,5 heures, a une autonomie d’environ 2 500 milles et peut transporter jusqu’à 8 800 livres de charge utile.
Opérateur propriétaire: Centre spatial Johnson de la NASA Type: Avions conventionnels Durée: 6,5 heures (charge utile et météo en fonction) Charge utile utile : 8 800 livres Masse brute au décollage : 72 000 livres Opérateurs embarqués : 2 (Pilote et SEO) Altitude maximale : 60 000 pieds et plus (en fonction de la charge utile) Vitesse de l'air : 410 nœuds Gamme: 2 500 milles marins
Le lancement de Starshipdevrait se produire au début de la fenêtre.
Décollage nominal, et impressionnant, le reste effectivement... peut mieux faire ! Le retour en douceur n'est pas pour cette fois, il va encore falloir sortir un petit billet...
Reste à savoir si le pas de tir a résisté cette fois, ce qui permettra d'enchainer les essais.
Ils sont quand même très forts.
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C'est ne n'est pas un échec, c'est sûr. SpaceX a toujours fonctionné comme ça. On regarde que qui ne va pas et on modifie. La méthode inverse de la Nasa.
Très belle vidéo filmée par les drones de SpaceX:
On voit l'onde de choc à l'allumage des moteurs.
5000 tonnes qui décolle. Soit le poids de 5 corvettes Flower...
Oui le pas de tir semble n'avoir pas trop souffert, une très bonne chose.
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Y'a une chose qui m'interpelle : La loi de la physique veut que pour s'échapper de la gravitation terrestre, il faut une vitesse minimum (7.7km/s je crois, soit ~28000km/h) La fusée atteint la vitesse de 24000km/h (à T~+8mn); or, son altitude diminue...Elle atteint à son apogée 149km quelques dizaines de secondes avant, puis, tout en accélérant, elle perd de l'altitude ! (148km quelques secondes avant l'explosion). Normalement l'accélération aurait dû la faire s'éloigner, donc augmenter son altitude...(>149km La seule (humble) explication que je trouve, est que la poussée vectorielle s'est faite vers la terre, au lieu d'être, au minimum, horizontale, et optimum, avec quelques degré vers "l’extérieur". Mais Pascal trouvera certainement une meilleure explication...
_________________ Depuis que j'ai volé, je sais pourquoi les oiseaux chantent...
D'après SpaceX avant le lancement, ce n'était pas prévu que la Starship S25 atteigne une orbite basse, d'ailleurs pas prévu non plus qu'il fasse un tour de la terre en orbite. Plutôt un demi-tour à une altitude 250 kms, puis qu'il amorce sa descente, pour tester le bouclier thermique, vers Hawaii et s'écraser en mer en tentant un amerrissage verticale comme il l'a déjà fait à Boca Chica.
L'étage supérieur du Starship a continué à voler pendant une courte période après la séparation de l'étage. SpaceX espérait établir une acquisition de signal avec le vaisseau spatial à son altitude cible d'environ 150 miles (250 kilomètres). Mais la télémétrie du véhicule a été perdue environ huit minutes après le décollage, vers la fin de sa propre combustion après la séparation de l'étage, alors que les responsables de la mission de SpaceX, dont le PDG et fondateur Elon Musk, attendaient avec impatience des mises à jour lors d'une retransmission en direct sur le web.
Il n'était pas prévu que le vaisseau spatial atteigne une orbite complète autour de la Terre, mais plutôt qu'il vole sur une trajectoire suborbitale pour s'écraser dans l'océan Pacifique, au large des côtes d'Hawaï. "Nous ne visons pas l'orbite aujourd'hui ; nous visons presque l'orbite", a déclaré Siva Bharadvaj, ingénieur d'exploitation chez SpaceX, ajoutant que l'objectif était "d'obtenir un profil de poussée similaire à celui dont nous aurions besoin pour l'orbite, mais aussi un niveau d'énergie que le vaisseau aurait besoin de dissiper pour la rentrée dans l'atmosphère".
Il ne faut pas oublier que la deuxième mission d'essai de Starship a volé plus longtemps et plus haut que son premier vol d'essai du 20 avril, qui a échoué lors de la séparation des étages et a explosé.
SpaceX considère donc ce deuxième essai comme un succès. Le dernier signal télémétrique du lancement d'aujourd'hui a permis de situer l'altitude de Starship à 148 kilomètres, soit 91 miles, bien au-dessus de la limite de l'espace qui est de 62 miles (100 km).
"Honnêtement, c'est une journée incroyablement réussie, même si nous avons dû procéder à un "démontage rapide et imprévu" du propulseur Super Heavy et du vaisseau", a déclaré M. Tice. "C'est très bien. Nous avons recueilli un grand nombre de données, qui nous aideront à nous améliorer pour notre prochain vol."
Mais SpaceX pensait aussi qu'il se serait désintégré en rentrant dans l'atmosphère plus probablement. Tout simplement parce que le bouclier thermique n'est pas encore vraiment au point sur ce Starship S25 qui est déjà un peu "ancien". On a pu voir juste après décollage qu'il manquait des tuiles, elles ont tendances à se décoller, à cause des vibrations et des dilatations de l'inox avec le froid de la charge de carburant et son poids aussi.
Sur les prochains Starship, la fixation des tuiles va être testée une à une après collage avec une espèce de ventouse qui va tirer dessus. Les tuiles sont toujours un élément délicat, on l'a vu avec la navette spatiale US..
Les tuiles de la navette; démonstration du matériau, impressionnant:
Certaines personnes pensent qu'il s'est produit une fuite de combustible quelques dizaine de seconde avant l'explosion de Starship, si vous regardez la vidéo vous verrez que une des jauges des niveaux de carburant/comburant descend plus vite que l'autre. On ne sait pas si c'est normal pour le moment, c'est juste une supposition, ca dépend peut aussi peut être du ratio de carburant/comburant utilisé durant les phases du vol..
Il y avait eu des fuites lors du premier lancement sur le Booster, ce qui a entrainé en partie un mauvais fonctionnement des moteurs et un incendie.
Dans l'ensemble ce test est une réussite. Alors bien sûr certains médias et nous aussi voudraient que ça fonctionne de bout en bout comme sur des roulettes, mais le timing de "recherche et développement" n'est pas le même que timing des médias.
Ils sont plutôt durs et leurs articles reflètent pas la difficulté d'entreprendre des vols spatiaux.
On le voit avec la NASA, et la capsule de Boeing Starliner avec des problèmes à répétition depuis quelques années. https://www.usinenouvelle.com/article/boeing-reporte-le-vol-habite-de-la-capsule-starliner-a-2024-au-plus-tot.N2159517
Artemis n'est pas en reste: https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-sciences-du-week-end/la-mission-artemis-vers-la-lune-prend-du-retard_6038111.html
On le voit aussi avec le lanceur européen Ariane 6 qui peine à décoller, premier vol reporté en 2024, du coup c'est SpaceX qui a prit les marchés des satellites qui devaient être lancés de Kourou. Ariane a subi de nombreux déboires avant d'être fiable.
La bévue d'Ariane 5: https://youtu.be/t7pe1ph6EI0
La Falcon9 a réalisé 81 vols en 2023 sans incident. Un des boosters réutilisables a réalisé son 18 vols au début du mois.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Falcon_9
Il y a un mois, Lancement de Psyché ( 19/10/2023) Falcon Heavy, belles images sous différents angles, surtout à l'atterrissage des 2 boosters:
.../..."Ariane à du soucis à se faire." En effet, avec l'Europe qui, tel le village d'Astérix qui se fout sur la g...à longueur d'année, s'écharpe pour le plus grand plaisir des américains (et avec leur aide pernicieuse et sournoise...), Ariane a un avenir bien sombre... Car, aussi surprenant que cela puisse paraitre, les Européens sont non seulement tout à fait capable de faire aussi bien que "Space X", mais pourrait même mieux. J'en suis absolument persuadé. Mais tant que le "deep state" sera là (via la CIA/NSA/etc...) nous n'auront que les yeux pour pleurer... Vous ne me croyez pas ? ben regardez ce qui se passe avec le F-35...Et ce n'est que la face émergée de l'iceberg...
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Je crois surtout que tout le monde a bien rigolé quand SpaceX a commencé à exister et à lancer son projet de fusée réutilisable, la Nasa, Américains, Européens, Russes. Personne n'a vraiment prit au sérieux ces gars là. La méthode de mise au point n'était pas du goût des spécialistes du milieux, mais ça marche et à plus faible coût.
Les européens quant a eux ont raté ce coche, c'est un peu tard maintenant.
Docu d'il y a 7 ans, du regretté Bernard Chabbert.
Je crois surtout que tout le monde a bien rigolé quand SpaceX a commencé à exister et à lancer son projet de fusée réutilisable, la Nasa, Américains, Européens, Russes. Personne n'a vraiment prit au sérieux ces gars là. La méthode de mise au point n'était pas du goût des spécialistes du milieux, mais ça marche et à plus faible coût.
C'est ce que je dis depuis le début : https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/11/20/spacex-comme-toutes-les-start-up-elon-musk-progresse-par-echecs-successifs_6201267_3234.html
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[…] Mais tant que le "deep state" sera là (via la CIA/NSA/etc...) nous n'auront que les yeux pour pleurer... Vous ne me croyez pas ? ben regardez ce qui se passe avec le F-35...Et ce n'est que la face émergée de l'iceberg...
... La fusée atteint la vitesse de 24000km/h (à T~+8mn); or, son altitude diminue...Elle atteint à son apogée 149km quelques dizaines de secondes avant, puis, tout en accélérant, elle perd de l'altitude ! (148km quelques secondes avant l'explosion). Normalement l'accélération aurait dû la faire s'éloigner, donc augmenter son altitude...(>149km La seule (humble) explication que je trouve, est que la poussée vectorielle s'est faite vers la terre, au lieu d'être, au minimum, horizontale, et optimum, avec quelques degré vers "l’extérieur". Mais Pascal trouvera certainement une meilleure explication...
Probablement une réponse à ta juste remarque au sujet des variations d'altitude entre 18 et 149 kms
Starship 25 IFT-2:
On comprend mieux les halos successifs et les changements d'altitude en fin de course grâce à cette vidéo.
On voit que le contrôle de trajectoire est perdu.
"Voici les images traitées et stabilisées de @SpaceX l'explosion du vaisseau IFT-2, que j'ai filmée depuis les Florida Keys ! Assurez-vous de cliquer sur la longueur pour accéder à la version complète 4K, y compris les versions à contraste amélioré de la vidéo ! @DJSnM @Erdayastronaut"
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Re: Starship, SLS, Artemis, l'épopée vers la Lune puis MarsSam 26 Aoû 2023, 11:06
