Début du dessin du guindeau qui est un peu spécifique avec une chaine d'ancre qui passe sous le barbotin au lieu de passer au dessus comme la plupart de guindeau. La chaine est guidée par une extension du tuyau de descente au puit aux chaines.
Il y a aussi 2 petites bittes d'amarrage qui sont peut être montées probablement sur un bras mobile, mais je n'ai pas assez de détails, ça servirait pour rediriger dans l'axe de la poupée du guindeau une aussière venant du chaumard avant. C'est ingénieux.
Pour le reste on distingue le moteur électrique avec un électrofrein qui a été rajouté pour s'exonérer du moteur à vapeur toujours présent mais déconnecté.
Les deux bras servaient probablement à commander le moteur à vapeur et les soupapes de commande, à virer ou à dévirer.
Là aussi c'est ingénieux, car un seul homme peut remonter l'ancre et voir ce qui se passe au niveau de l'écubier, voir lorqu'on léve l'ancre, dans quelle direction part la chaine, bâbord ou tribord, et ainsi dire à la passerelle si il faut mettre la barre à bd ou td, moteur opposé en avant très lente, afin d'aider le guindeau et éviter de racler le dessous de la coque ou l'étrave avec la chaine.