Bonjour à tous et Merci Eric et Amiral71,
non, non je ne suis pas resté inactif ces derniers weekend, j'ai seulement été occuper à poser des dizaines de mètre de bande de masquage, les enlever, et les remettre etc...
c'est presque aussi pénible que de poser les lattes de pont. Mais bon, mon Rich commence enfin à ressembler à quelque chose (c'est à dire ci à quoi je pense qu'il devait avoir l'air en Octobre 1943). :twisted:
Quelques photos:
Les personnes qui suivent ce sujet, seront en mesure de voir le progrès de la peinture. C'est vrai que cela prend énormément de temps de faire cette version en particulier (plutôt que la version toute grise uniforme). Mais bon, je voulais un Richelieu en guerre, pas à la parade à Toulon.
J'ai également fini de peindre 90% des apparaux de ponts:
ils seront monté le week-end prochain.
il me reste à faire, dans l'ordre:
-faire les 6x bofors 40mm (façon Grovevel) et leurs télépointeurs Mk51
-faire les 27x Oerlikons de 20mm RB Model.
-poser les bastiguages
-reprendre quelques détails visibles de moi seul....
La bonne nouvelle, c'est que j'ai 10 jours de vacances qui arrivent....
Le bateau, assit sur le buffet, prend un air de plus en plus menaçant avec son camouflage. lorsque je passe dans la ligne de foi du navire, je m'attendant presque à prendre une volée de 380mm.
Je voudrais ici rappeler une phrase de l'introduction au "cahier" de Paul Kersaudy Second Maitre mécanicien du Richelieu de 1943 à 1946:
"A cet univers hostile (ndlr les chaudières) il faut ajouter la puissance de feu d'un navire d'exception, cuirassé promis aux plus intenses combats navals qui font vaciller la raison des plus forts, la peur étant omniprésente à chaque instantdu jour et de la nuit."Voilà qui permet de remettre un peu d'humain à la machine de guerre que fut ce navire. Mais c'est vrai que c'est un navire d'exception, tout modéliste qui s'attèle à sa construction rentre forcemment dans la tête des ingénieurs et s'en rend vite compte.
a+
Serge
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Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem. (Lucrèce)