Merci Philippe, tu peux nous dire où tu l'a trouvé?
Merci,
Christian
_________________
Merci,
Christian
_________________
maqars a écrit:Super souvenir .
Et une fois encore, je ne peux de m’empêcher de constater que les gens de cette époque avaient une belle calligraphie !
Iceman29 a écrit:Photo rare du Dunkerque, lors de cette revue, merci du Partage !
J'ai trouvé celle ci sur le Dunkerque pour cette revue navale de 1937, quasi le même angle, mais de jour, en très bonne qualité:
"Le cuirassé français Dunkerque au large de Spithead pour le couronnement du roi George VI, mai 1937. À bâbord (à droite du cadre) se trouve le cuirassé HMS Nelson. Rodney est coincé dans la photo de gauche. Le Dunkerque était le navire le plus récent de la flotte française à l'époque, puisqu'il n'avait été mis en service que le 1er mai, et il n'était même pas encore complètement équipé. Il a traversé la Manche pour cette visite du 17 au 23 mai, puis a repris ses essais et est retourné à Brest pour deux mois de travaux supplémentaires.
Les canons principaux de 330 mm (13") sont clairement visibles ici, groupés en paires distinctes de part et d'autre de chaque tourelle quadruple. Pour réduire la taille de la tourelle, chaque paire de canons partageait un berceau commun. Ils étaient séparés par une cloison interne blindée, ce qui a bien servi au Dunkerque lorsque la moitié tribord de la salle d'armes de la tourelle II a été touchée par un obus britannique de 15 pouces lors de l'attaque du 3 juillet 1940 sur Mers-el-Kébir. Les incendies qui en résultèrent asphyxièrent l'équipage de cette moitié de la tourelle, mais la moitié bâbord put continuer à fonctionner.
On reproche souvent à l'armement principal de la classe Dunkerque, entièrement tourné vers l'avant, de ne pas permettre une puissance de feu suffisante à l'arrière, ce qui est encore aggravé par les effets de souffle sur sa haute tour centrale, qui empêchent les canons d'utiliser tout leur champ de tir. Malheureusement pour le Dunkerque, la seule occasion qu'il eut d'utiliser sa batterie principale en colère fut de l'amarrer avec sa poupe à la mer dans un mouillage amical, ce qui entrava sérieusement l'utilisation de la batterie principale (bien qu'elle ait été mise à contribution et qu'elle ait riposté). En mer, sa vitesse de 28,5 nœuds et sa manœuvrabilité, ainsi que les douze canons de 130 mm placés à l'arrière, suffisent amplement à repousser un poursuivant rapide, car le poids des obus secondaires équivaut à celui de la bordée entière d'un croiseur léger.
Le vrai défaut du Dunkerque était sa longue proue légèrement construite, qui offrait une cible substantielle et pouvait sérieusement limiter la capacité de manœuvre du navire en cas d'de voie d'eau. Cette conception de la proue était également un peu trop fragile pour des opérations soutenues dans l'Atlantique.
HD:
Dommage, il n'est pas sur ce film:
Extrait du journal télévisé britannique Movietone News, vendu par Kodak pour un usage domestique, ce film montre la revue de la flotte de la Royal Navy à Spithead en 1937. Cette revue a eu lieu le 20 mai 1937 dans le cadre du couronnement. Après les débuts modestes de la puissance aéronavale lors de la revue de 1912, cinq porte-avions étaient présents cette fois-ci. Le seul représentant de la marine américaine était l'USS New York, qui avait fait traverser l'Atlantique à l'amiral Hugh Rodman, le représentant personnel du président pour le couronnement. L'Allemagne était représentée par le nouveau cuirassé de poche Graf Spee. Une revue de la flotte est un rassemblement traditionnel de navires d'une marine donnée, observé par le monarque régnant ou son vice-roi, une pratique qui remonterait au XVe siècle. Cet événement n'a pas lieu à intervalles réguliers et, à l'origine, il ne se produisait que lorsque la flotte était mobilisée pour la guerre ou pour une démonstration de force visant à décourager des ennemis potentiels. Toutefois, depuis le XIXe siècle, ils sont souvent organisés à l'occasion du couronnement ou de jubilés royaux particuliers. En effet, depuis Édouard VIII, elles sont régulièrement organisées à l'occasion de chaque couronnement, bien que celle prévue au Royaume-Uni pour le jubilé d'or de la reine Élisabeth II ait été annulée en raison de son coût. En outre, depuis le 19e siècle, les revues de flotte incluent de plus en plus souvent des délégués d'autres marines nationales.
pastaga a écrit:Je fais le tri dans l'album de famille et je suis tombé sur une photo du Dunkerque qui a été prise par mon père alors qu'il servait à bord en 1937.
J'ai regardé sur la toile et il s'agit de la revue navale de spithead, et non spitead, pour le couronnement de George VI.