un nouveau point au niveau du TITANIC , a savoir si c'est vraiment vrai ....
Rédaction online | 23.09.2010 | 12:29
Dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le Titanic sombre après avoir heurté un iceberg, aperçu trop tard par les hommes de quart. Jusqu'à aujourd'hui, cette histoire ne faisait aucun doute. Pourtant...
Lady Louise Patten, la petite-fille du commandant en second Charles Lightoller, conteste ce scénario. Selon son grand-père, l'iceberg aurait été vu largement à temps pour que le timonier puisse changer de cap. Mais, sous l'effet de la panique, il aurait viré la barre du mauvais côté.
La faute au progrès
A l'époque du Titanic, la navigation était en pleine mutation. Et le paquebot aurait été l'un des premiers navires équipés d’un système de gouvernail qui permettait de virer dans le sens où l'on tourne la barre à roue, comme sur le volant d'une voiture. Sous la pression, le timonier aurait ainsi répondu à un vieux réflexe en tournant la barre du mauvais côté.
Peu après le drame, le grand-père de Louise Patten, rare membre d'équipage a avoir survécu au naufrage, aurait préféré se taire pour éviter la faillite à sa compagnie. Mais c’était sans compter sur sa petite-fille. «Tout devait demeurer secret. Ma mère a insisté pour que tout reste à l'intérieur de la famille», a-t-elle confié au «Telegraph». «Près de quarante ans plus tard, je me suis rendu compte que j'étais la dernière personne vivante à savoir ce qui s'est réellement passé sur le Titanic», écrit Louise Patten dans son livre «Good as Gold».
Rédaction online | 23.09.2010 | 12:29
Dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le Titanic sombre après avoir heurté un iceberg, aperçu trop tard par les hommes de quart. Jusqu'à aujourd'hui, cette histoire ne faisait aucun doute. Pourtant...
Lady Louise Patten, la petite-fille du commandant en second Charles Lightoller, conteste ce scénario. Selon son grand-père, l'iceberg aurait été vu largement à temps pour que le timonier puisse changer de cap. Mais, sous l'effet de la panique, il aurait viré la barre du mauvais côté.
La faute au progrès
A l'époque du Titanic, la navigation était en pleine mutation. Et le paquebot aurait été l'un des premiers navires équipés d’un système de gouvernail qui permettait de virer dans le sens où l'on tourne la barre à roue, comme sur le volant d'une voiture. Sous la pression, le timonier aurait ainsi répondu à un vieux réflexe en tournant la barre du mauvais côté.
Peu après le drame, le grand-père de Louise Patten, rare membre d'équipage a avoir survécu au naufrage, aurait préféré se taire pour éviter la faillite à sa compagnie. Mais c’était sans compter sur sa petite-fille. «Tout devait demeurer secret. Ma mère a insisté pour que tout reste à l'intérieur de la famille», a-t-elle confié au «Telegraph». «Près de quarante ans plus tard, je me suis rendu compte que j'étais la dernière personne vivante à savoir ce qui s'est réellement passé sur le Titanic», écrit Louise Patten dans son livre «Good as Gold».