Bonsoir à tous,
Il restait quelques petits travaux à faire sur le CS,
1°) La mise en place des voiles de misaine et grand voile sur place. Ca ne me paraissait pas simple, mais le gain en accessibilité était énorme, j'en ai vraiment eu conscience au niveau du mât d'artimon ou la voile barrée était déjà installée. En fait, ca a été beaucoup plus simple que je ne le pensais.
2°) Mise en place et fixation des cabines sur le pont
3°) mise en place des cargues et manœuvres des deux voiles : c'est là qu'on est confronté au manque d'accessibilité
4°) tour du propriétaire pour les détails restant et un peu de chasse à la poussière.
Voilà, c'est fini (JL Aubert dixit) j'ai mis 14 mois pour monter ce Cs ( plus 5 mois de pause pour cause de travaux) avec des moments de galère, mais surtout des moments de plaisir .
Ce que j'en retire:
Ce n'était pas une maquette pour débutant loin de là
Je ne pense pas refaire un jour une maquette MANTUA: en effet à part la structure de la coque, le premier bordé les mâts et une grosse partie de l'accastillage j'ai tout remplacé: 2° bordé en acajou, lattage du pont, l 'ensemble des bâtiments du pont, les voiles, la totalité des cordages (merci Fred) et des chaines (12 mètres)
J'ai appris énormément de choses, trucs et astuces de votre part à tous au cours de ce montage et vous remercie tous de votre soutien inconditionnel et constant, avec une mention spéciale pour Fred dont le post sur le Cs qui est une référence, m'a permis de penser qu'avec un tel guide ce ne serait pas impossible.
Le CS va maintenant vivre sa vie, mais avant de quitter ce post, quelques photos faites au soleil dans le jardin
Les focs m'ont donné un peu de fil à retordre pour ressembler à quelque chose
Une petite vue du gréement grand mât-artimon
Au revoir le
Cutty Sark et bon vent.
Je vous retrouve très rapidement pour le montage d'un classe J, l'Endeavour au 1/35° de chez Amati, il me semble qu'il n'y en pas encore à cette echelle sur le forum
Bonne soirée à tous et à très bientôt
Amicalement Georges
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le talent sans travail n'est qu'une sale manie (G. Brassens)