pour les photos que j'ai vue, j'ai eu la même impression, mais en farfouillant un pu, il me sembl qu'il s'agit d'un trompe l'oeil ou d'un effet d'optique, mais à priori, il n'y et pas.
Coagulant soi (comm disait Vlad de Transylvie) je vais le mettre sur le mien, le pont enbois ne me permettant pas de m'en psser, ou alors ce serait vilain comme tout, et ça me permettra de travailler ma technique (sic) du pliage de PE
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
Coagulant soi (comm disait Vlad de Transylvie) je vais le mettre sur le mien, le pont enbois ne me permettant pas de m'en psser, ou alors ce serait vilain comme tout, et ça me permettra de travailler ma technique (sic) du pliage de PE
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo