Bonjour mes amis,
merci de vos messages encourageants. Je ne fais pas de fausse modestie, car j'ai plus de 45 ans de maquettisme plastique derrière moi (et j'espère autant devant ...). J'admire les réalisations sur ce forum, et ne peux que me confronter et me maintenir au niveau!
Donc avant de passer aux catapultes, il faut terminer le rail de lancement, en particulier la portion amovible qui se trouve sous le chemin de roulement de la porte du hangar.
La pièce de base est posée, avec la plaque perforée bien visible sur les photos d'époque.
On ajoute le reste des rails dans la continuité du rail principal, en veillant au bon alignement en largeur et en hauteur pour que l'oeil ne détecte pas d'anomalie entre le rail dans le hangar et son raccord à l'extérieur. En revanche nous avons un peu exagéré l'écart vers le rail principal pour faire comprendre, sur un modèle statique, que cette pièce est amovible. La porte n'est pas encore collée.
Un coup d'oeil sur les deux ouvrages utilisés pour la partie avions.
Pour manipuler les chariots de catapulte (uniquement en carte, profilés plastique et fil plastique étiré) nous utilisons en guise d'étau miniature, un outil destiné à la manipulation des mécanismes de montres, dit "porte-mouvement" (environ 10 à 15 Euros). Cet outil est parfait pour assurer l'équerrage des petits montages. Il est ici utilisé sur sa tranche.
Les deux catapultes: version repliée dans le hangar (sur mon doigt) et version déployée pour le lancement.
La confirmation que les dimensions sont bonnes se fait sur le rail. Noter les différents "trous", reproduits selon photo.
Idem pour vérifier que l'avion est à la bonne hauteur et bien horizontal.
Même opération pour le Seiran qui sera présenté en configuration de stockage. On note ici l'intérêt d'avoir peint au fur et à mesure, les parties qui sont rendues de plus en plus inaccessibles par la construction et l'empilement des détails!
Prochaine étape: je ne sais pas encore, mais on approche du début de la fin!
A bientôt!
merci de vos messages encourageants. Je ne fais pas de fausse modestie, car j'ai plus de 45 ans de maquettisme plastique derrière moi (et j'espère autant devant ...). J'admire les réalisations sur ce forum, et ne peux que me confronter et me maintenir au niveau!
Donc avant de passer aux catapultes, il faut terminer le rail de lancement, en particulier la portion amovible qui se trouve sous le chemin de roulement de la porte du hangar.
La pièce de base est posée, avec la plaque perforée bien visible sur les photos d'époque.
On ajoute le reste des rails dans la continuité du rail principal, en veillant au bon alignement en largeur et en hauteur pour que l'oeil ne détecte pas d'anomalie entre le rail dans le hangar et son raccord à l'extérieur. En revanche nous avons un peu exagéré l'écart vers le rail principal pour faire comprendre, sur un modèle statique, que cette pièce est amovible. La porte n'est pas encore collée.
Un coup d'oeil sur les deux ouvrages utilisés pour la partie avions.
Pour manipuler les chariots de catapulte (uniquement en carte, profilés plastique et fil plastique étiré) nous utilisons en guise d'étau miniature, un outil destiné à la manipulation des mécanismes de montres, dit "porte-mouvement" (environ 10 à 15 Euros). Cet outil est parfait pour assurer l'équerrage des petits montages. Il est ici utilisé sur sa tranche.
Les deux catapultes: version repliée dans le hangar (sur mon doigt) et version déployée pour le lancement.
La confirmation que les dimensions sont bonnes se fait sur le rail. Noter les différents "trous", reproduits selon photo.
Idem pour vérifier que l'avion est à la bonne hauteur et bien horizontal.
Même opération pour le Seiran qui sera présenté en configuration de stockage. On note ici l'intérêt d'avoir peint au fur et à mesure, les parties qui sont rendues de plus en plus inaccessibles par la construction et l'empilement des détails!
Prochaine étape: je ne sais pas encore, mais on approche du début de la fin!
A bientôt!