IsKor a écrit: Vu les retours sur les BB Français, j'ai vraiment peur. Déjà que je hurle à chaque fois que je joue le Dunkerque, je sais pas si ça va être bon pour mes nerfs.
J'ai gagné le Bretagne, que je vais freepexer pour passer au Normandie. Les bateaux que j'aimerais garder dans la ligne sont le Lyon (fun avec ses 16 canons), le Richelieu (pour la gueule incroyable de ce bateau) et peut être l'Alsace.
Pour le moment je monte mon Charles Martel que j'aime de plus en plus, ce bateau est un foutu cancer.
J'ai eu récemment de bonnes parties avec le Queen Elisabeth aussi, j'aime énormément la puissance de ce bateau.
Alors, pour avoir fait une bon nombre de parties avec la Bretagne et la Normandie (gagnées toutes les deux), ils sont très sympas
La Bretagne se rapproche du New York, la Normandie est très sympa à jouer, avec des bordées de 12 obus, une bonne vélocité, je le vois plus comme un tueur de croiseur (3 citadelles d'un coup sur un Nürnberg) que plus spécialisée contre les BB
Le Martel est très plaisant, c'est pour ça que je ne l'ai pas revendu (d’ailleurs je les garde tous mes petits frenchies), Le Saint Louis est pas facile à apprivoiser, mais il a une belle allonge et un cooldown de seulement 8.8sec avec l'amélioration et une belle portée de 18.3km quand même...
Bref, je trouve les lignes françaises très sympa à jouer et relativement équilibrées (ça doit être mon coté chauvin
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo