Un paysan dont le poulailler n' avait plus qu'un vieux coq pour honorer ses poulettes se décida à acheter un jeune et joli coq.
Revenant du marché il le lâche dans la cour, le bestiau se trémousse pour gonfler ses plumes, pousse son cri de guerre.
Le vieux coq s'approche alors de lui, en claudiquant.
Il lui propose de lui céder tout le pouvoir à la condition qu'il le rattrape avant la clôture s'il lui laisse 2 mètres d'avance au départ.
Le jeune accorde sans problème ce handicap, et fort de sa jeunesse pense ne faire qu'une bouchée de ce vieillard impotent …
Quand le paysan voit son jeune coq partir à la poursuite du vieux , il sort son fusil et le flingue.
la semaine suivante c'est le même cinéma , il remange du coq au vin.
Au troisième achat , il apostrophe sa femme :
- Il y en a marre , chaque fois je me fais refiler un coq pédé...
_________________
À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" pour refaire, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
Revenant du marché il le lâche dans la cour, le bestiau se trémousse pour gonfler ses plumes, pousse son cri de guerre.
Le vieux coq s'approche alors de lui, en claudiquant.
Il lui propose de lui céder tout le pouvoir à la condition qu'il le rattrape avant la clôture s'il lui laisse 2 mètres d'avance au départ.
Le jeune accorde sans problème ce handicap, et fort de sa jeunesse pense ne faire qu'une bouchée de ce vieillard impotent …
Quand le paysan voit son jeune coq partir à la poursuite du vieux , il sort son fusil et le flingue.
la semaine suivante c'est le même cinéma , il remange du coq au vin.
Au troisième achat , il apostrophe sa femme :
- Il y en a marre , chaque fois je me fais refiler un coq pédé...
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À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" pour refaire, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.