eh beh j'en rate des jolis montages pendant mes vacances !!!
Pour ton problème de coque, je suis d'accord avec tous les excellents conseils qui ont été prodigués, mais j'ai une autre idée...
en rajoutant une couche de peinture par dessus après avoir poncé légèrement les bords du massacre, ca aurait pu ajouter à ta patine...
Je m'explique, pour avoir vu de près des patrouilleurs de la Gendarmerie ou des Affaires maritimes cet été à Arcachon, je me suis rendu compte que le vieil adage marin :
"Peinture sur saleté = propreté" était toujours en vigueur, donc les coques ne sont jamais lisses...
Alors un PT-boat en temps de guerre dans un endroit aussi "dur" pour les coques que le Pacifique ça n'aurait pas été choquant, surtout au 1/35... (au 1/700 ma remarque n'est plus valable, mais allez faire ce bateau au 1/700 aussi !
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo