Installation des bras de cacatois et de perroquet de misaine. Les plans font allègrement passer les cordages de tous les bras au milieu des voiles après des renvois improbables au niveau des étais... Seul le montage du bras de la grand voile de misaine ressemble à ce que l'on retrouve sur d'autres plans mais un bout de la corde n'arrive nulle part...
Par contre il est impossible de faire atterrir ces bras au pied du mât qui est surbooké.
J'ai utilisé une poulie double sur le grand mât au dessus du hunier pour renvoyer à la fois le perroquet et le cacatois vers le cabillot prévu sur le râtelier mélangeant un peu les plans des livres (qui arrivent en pied de mât) et les plans du kit (qui passent par les étais)...
Ca fait du monde mais le passage est relativement fluide à ce niveau.
L'étape suivante consiste à entortiller le départ des cordages sur les cabillots. Comme je les ai très mal positionné contre le bastingage il est très difficile d'attraper le dessous des cabillots.
Le fil est passée par la poulie et une pince fait contre poids (derrière le mât) pour garder celui-ci en tension dans la bonne direction pendant qu'on entortille laborieusement le cabillot (c'est celui qui est tout seul au milieu).
Les 2 bras sont fixés des deux côtés :
Les 4 bras sont tendus simultanément avec des petits poids en haut des vergues :
Ca permet de tout bien équilibrer et tendre alors que si on utilise la technique pourtant naturelle de tendre au niveau des cabillots, en plus d'être très difficile on ne peut pas régler les 4 fils simultanément.
Ils sont finalement collés définitivement (l'étai tout détendu est facile à enlever, je le remplacerai à la fin quand il y aura enfin des cordages qui tirent un peu vers la poupe)
Il me reste à trouver une solution pour le hunier de misaine, la grand voile de misaine et les vergues du grand mât.
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Qui n’a pas vécu dans les années voisines de 1780 n’a pas connu le plaisir de vivre.
Par contre il est impossible de faire atterrir ces bras au pied du mât qui est surbooké.
J'ai utilisé une poulie double sur le grand mât au dessus du hunier pour renvoyer à la fois le perroquet et le cacatois vers le cabillot prévu sur le râtelier mélangeant un peu les plans des livres (qui arrivent en pied de mât) et les plans du kit (qui passent par les étais)...
Ca fait du monde mais le passage est relativement fluide à ce niveau.
L'étape suivante consiste à entortiller le départ des cordages sur les cabillots. Comme je les ai très mal positionné contre le bastingage il est très difficile d'attraper le dessous des cabillots.
Le fil est passée par la poulie et une pince fait contre poids (derrière le mât) pour garder celui-ci en tension dans la bonne direction pendant qu'on entortille laborieusement le cabillot (c'est celui qui est tout seul au milieu).
Les 2 bras sont fixés des deux côtés :
Les 4 bras sont tendus simultanément avec des petits poids en haut des vergues :
Ca permet de tout bien équilibrer et tendre alors que si on utilise la technique pourtant naturelle de tendre au niveau des cabillots, en plus d'être très difficile on ne peut pas régler les 4 fils simultanément.
Ils sont finalement collés définitivement (l'étai tout détendu est facile à enlever, je le remplacerai à la fin quand il y aura enfin des cordages qui tirent un peu vers la poupe)
Il me reste à trouver une solution pour le hunier de misaine, la grand voile de misaine et les vergues du grand mât.
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Qui n’a pas vécu dans les années voisines de 1780 n’a pas connu le plaisir de vivre.