migou31 a écrit: […]Je n'avais pas pensé à la tente Bédouine mais je crois que Abdallah, qui ressemble furieusement à mon petit fils, va trouver sa place ! ; ) : drunken:[…]
On constatera là encore que les sols ne présentent aucun détail qui permette d'en connaître la composition (carrelage ? parquet ? lino ?). En tout cas, les poignards plantés y tiennent droit.
Quelque chose me dit qu'aujourd'hui les Ligues de protection de la Diversité exigeraient la censure d'une telle scène.
Tout comme la scène de la rencontre entre le cargo
Ramona, et l'embarcation du négrier (vers la fin du récit).
[…]Il faut lire l'iconographie d' Hergé et les différents bouquins s'y rapportant.[…]
Judicieuse recommandation. Et aussitôt suivie
et mise en application.
[…] A la fin des années 45/46, Jacobs a demandé à cosigner les albums de Tintin, tellement sa participation était devenue importante. Hergé a refusé ce qui a déclenché le départ de Jacobs.[…]
…
départ de la collaboration d'avec Hergé ? Mais pas totalement du journal de Raymond Leblanc (dont Hergé fut le directeur artistique)…
[…] A l'époque, les premiers albums de Jacobs rapportaient plus d'argent à l'éditeur que ceux d'Hergé ![…]
Bilan à nuancer : Les albums de Jacobs étaient édités par le Lombard ou Dargaud, alors que ceux d'Hergé l'étaient par Casterman.
Du coup j'ai mené une petite recherche graphique, en lien avec l'identité des collaborateurs attachés aux décors. Dans
Coke en Stock, je me demande si le DC3 et la
Shéhérazade sont de Leloup ou de Jacques Martin.
Que ce soit l'un, ou l'autre, ou même Hergé soi-même, j'y ai repéré des petits défautrs, que je vais bientôt mettre en ligne.
Puisque nous sommes dans un forum ou les bateaux et les avions sont prioritaires, j'escompte que ma réflexion y soit tout à fait à sa place.
Donc,
à suivre (comme on dit…)