Petit témoignage de l'héritage familial de Dahlia, en attendant la poursuite de la rénovation du Corse.
Ce modèle (en plomb) n’a pas d’œuvres vives : il est donc water line (d’origine).
Il représente, au 1/1250, un torpilleur français de 610 tonnes de la classe LA MELPOMÈNE (1931-37). Il s’agit de la Bombarde.
On remarquera sans peine que le modèle a perdu ses mâts (principal et arrière)… (mais a conservé les canons de ses deux tourelles de 100mm !) ; et qu’il a connu la même mésaventure qu’un de ses sisterships (bateau frère ?) de la série : le (vrai) Branlebas. La réparation (par soudure) est visible entre les cheminées. Je ne suis pas sûre que cette réparation n'ait pas accru (un peu) sa longueur.
La peinture est également très défraîchie (elle est d'époque) mais c'est probablement le gris authentique réglementaire.
Un peu fatigué, donc, mais précieux, car offert par un de ses anciens commandants (vers 1941-42), plus tard devenu commandant du bâtiment de ligne Jean Bart.
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Ce modèle (en plomb) n’a pas d’œuvres vives : il est donc water line (d’origine).
Il représente, au 1/1250, un torpilleur français de 610 tonnes de la classe LA MELPOMÈNE (1931-37). Il s’agit de la Bombarde.
On remarquera sans peine que le modèle a perdu ses mâts (principal et arrière)… (mais a conservé les canons de ses deux tourelles de 100mm !) ; et qu’il a connu la même mésaventure qu’un de ses sisterships (bateau frère ?) de la série : le (vrai) Branlebas. La réparation (par soudure) est visible entre les cheminées. Je ne suis pas sûre que cette réparation n'ait pas accru (un peu) sa longueur.
La peinture est également très défraîchie (elle est d'époque) mais c'est probablement le gris authentique réglementaire.
Un peu fatigué, donc, mais précieux, car offert par un de ses anciens commandants (vers 1941-42), plus tard devenu commandant du bâtiment de ligne Jean Bart.
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