Voila, j'ai acquis sur ebay un New Jersey au 1/350 (que je vous présenterai bientôt) , je voulais, pour changer, le faire en waterline et peut-être faire un diorama avec un destroyer de classe "Spruance"
ma question est donc : comment couper proprement la coque ?
J'avais dans l'idée de me faire une "règle" à l'aide de scotch (tamyia oou autre) et y aller petit à petit au cutter, mais ca me semble un chouilla long et fastidieux...
Comment feriez-vous ?
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
ma question est donc : comment couper proprement la coque ?
J'avais dans l'idée de me faire une "règle" à l'aide de scotch (tamyia oou autre) et y aller petit à petit au cutter, mais ca me semble un chouilla long et fastidieux...
Comment feriez-vous ?
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo