Il s'agit de l'amiral ISOROKU YAMAMOTO (Yamato était son navire amiral)
Stratège éclairé qui avait prédit avec acuité que la supériorité nippone ne pouvait durer plus de 6 mois face aux USA...
je vous renvoie à sa biographie sur wikipedia pour plus d'info :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Isoroku_Yamamoto
l'article est plutot bien fait
_________________
Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
Stratège éclairé qui avait prédit avec acuité que la supériorité nippone ne pouvait durer plus de 6 mois face aux USA...
je vous renvoie à sa biographie sur wikipedia pour plus d'info :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Isoroku_Yamamoto
l'article est plutot bien fait
_________________
Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo