Me baladant innocemment à la fnac pour ma pause déjeuner, je suis tombé par inadvertance sur ce livre (bon, pas tout à fait par hasard, je suis toujours fourré au rayon histoire...)
Il est très agréable à lire (pas toujours évident pour des livres d'Histoire...) et me permet de découvrir un de nos plus grand marins
La couverture :
Avec vos affaires, je vais bien finir par en faire un de navire du XVIIIeme
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
Il est très agréable à lire (pas toujours évident pour des livres d'Histoire...) et me permet de découvrir un de nos plus grand marins
La couverture :
Avec vos affaires, je vais bien finir par en faire un de navire du XVIIIeme
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo