tu peux aussi utiliser son dernier camouflage de Juillet 1944 comme le mien avec les superstructures en gris très très pâle (presque blanc) et la coque en gris foncé.
Ce n'est pas un camouflage que l'on voit partout et il est facile à faire
pour les différences tu peux aller voir cet excellent site :
http://www.bismarck-class.dk
ils ont des dossiers trèèèèès détaillés avec des plans en couleur.
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
Ce n'est pas un camouflage que l'on voit partout et il est facile à faire
pour les différences tu peux aller voir cet excellent site :
http://www.bismarck-class.dk
ils ont des dossiers trèèèèès détaillés avec des plans en couleur.
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo