![[Revue] Croiseur léger EMDEN (Classe Dresden) 1/700 (1914) [FLYHAWK] Empty](https://2img.net/i/empty.gif)
Dernière sortie de la marque chinoise Flyhawk, voici le célèbre petit croiseur SMS Emden de la marine impériale allemande, dans une réalisation au 700e et dans son état de 1913-1914
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Second et dernier croiseur de la classe Dresden, complété en 1906, l'Emden se trouvait en 1914 basé à Tsingtao, la concession allemande en Chine, dans l'escadre d'Extrême-Orient de l'amiral von Spee.
Rien de bien original à dire de la maquette qui est bien dans le style et la qualité Flyhawk, à présent bien connue. Je vais donc vous narrer l'extraordinaire histoire de ce célèbre navire.
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Narrons, donc :
Lors de la déclaration de guerre, von Spee reçut l'ordre de rallier l'Allemagne par le Cap Horn avec toute son escadre sans l'Emden. Celui-ci fut envoyé faire diversion en écumant l’Océan Indien pour s'attaquer au commerce maritime anglais, mais aussi australien et néo-zélandais.
Le 5 août 1914 l'Emden fut détaché de l'escadre de von Spee suivant la suggestion de son commandant Karl von Müller, afin de mobiliser les forces britanniques et japonaises à sa poursuite et faciliter ainsi le raid de von Spee à travers le pacifique jusqu'au Cap Horn. L'Emden fut choisi car c'était avec son sistership Dresden le navire le plus rapide de la flotte allemande.
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Le raid dans l'Océan Indien :
Partant de l'île de Pagan dans les Mariannes, l'Emden, de la mi-août au début de novembre 1914, accomplit une croisière de raid assez extraordinaire, interceptant 21 navires. A chaque fois les équipages étaient regroupés à bord d'une des prises et les autres étaient coulées. Les britanniques se concentrèrent sur les charbonniers ravitailleurs de l'Emden afin de lui "couper les vivres" mais von Müller contourna le problème en capturant des charbonniers anglais.
Les alliés tentèrent de l'intercepter, envoyant le croiseur HMS Yarmouth et le croiseur protégé japonais Chikuma à sa poursuite, sans succès. Petit rappel : pendant la Grande Guerre le Japon était du côté des alliés.
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L'Emden se paya même le luxe d'aller bombarder le port de Madras le 20 septembre, détruisant des réservoirs de fuel. Début octobre il se paya d'audace en allant radouber et réparer ses machines à Diego Garcia, base britannique... qui n'était pas encore au courant de l'état de guerre entre la Grande Bretagne et l'Allemagne et accueillit chaleureusement le croiseur !
Le bombardement de Madras :
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Enfin, suprême humiliation, l'Emden attaqua par surprise dans la nuit du 27 octobre le port de Penang, en Malaisie britannique, coulant le vieux croiseur russe Zhemchug à bout portant (270m) à la torpille au beau milieu du port. Le torpilleur français Mousquet tenta de répliquer, mais mal préparé il fut coulé et son équipage récupéré par l'Emden. En sortant de la rade l'Emden intercepta un cargo anglais pour y transférer les marins français après leur avoir fait signer l'engagement de ne plus prendre part aux combats contre la flotte allemande ( !).
Cette dernière attaque était celle de trop. L'amirauté décida d'interrompre tout trafic entre l'Australie et l'Inde ou l'Europe et de mobiliser toutes les unités combattantes pour en finir une fois pour toute avec ce petit croiseur bien enquiquinant.
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La Bataille des îles Cocos :
Dans la nuit du 8 au 9 novembre 1914 von Müller décida d'attaquer les îles Cocos, petit archipel au Sud de Java, en plein Océan Indien et qui était une station de ravitaillement et un relais stratégique de radio et câble sous-marin entre l'Australie et l'Europe.
Comme il n'y avait pas de navire britannique dans le lagon, von Müller envoya une escouade de marins commandés par son second, le premier lieutenant von Mücke, pour s'emparer de la station et détruire les installations de communication. Malgré le brouillage radio néanmoins, la station put donner l'alarme en signalant l'attaque.
Direction Island dans les îles Cocos. Le "commando" de von Mücke quitte la station après l'attaque pour embarquer sur l'Ayesha, visible à l'arrière plan dans le lagon :
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Par chance un convoi de troupes australiennes fortement escorté à destination de l'Europe passait à un peu plus de 52 miles et le croiseur léger HMAS Sydney fut détaché pour "régler son compte" à l'Emden.
Les deux adversaires vinrent au contact à 9h le 9 novembre au nord de l'archipel et un combat inégal s'engagea car les 152mm du Sidney avaient une portée plus grande que les 105mm de l'Emden. 2h20 plus tard von Mûller ordonna d'échouer l'Emden dévasté sur North Keeling Island, à l’extrémité nord des Cocos. Le croiseur avait sa superstructure ravagée et comptait déjà 134 morts et 61 blessés.
Après l'échouage le pavillon allemand ne fut pas abaissé tout de suite, incitant le commandant John Glossop du Sidney à rouvrir le feu à bout portant. Finalement le pavillon fut abaissé et une chemise blanche hissée en signe de reddition.
L'épave de l'Emden échouée devant North Keeling Island :
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L'archipel des Cocos :
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North Keeling Island. La flèche indique la fouille où se trouvait l'épave. Vue satellite Google Earth de 1996 :
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Les marins survivants débarquèrent sur North Keeling Island, un îlot désert et durent attendre le lendemain pour que le Sidney revienne et apporte une assistance médicale aux blessés. Puis les allemands furent conduits à bord et le croiseur rallia son convoi vers Colombo. Le 12 novembre les allemands furent transférés à bord d'un cargo, puis von Müller et ses officiers furent emprisonnés à Malte et les marins dans des camps en Australie.
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L'épopée de Von Mücke :
Restaient von Mücke et les 50 marins de l'équipe de sabotage, abandonnés sur l'île principale, au milieu de nulle part. Von Mücke réquisitionna l'Ayesha, un vieux schooner ancré dans le lagon et la petite équipe décida de rallier Java à bord de ce navire pourri qui prenait l'eau avant que le Sidney ne se pointe à nouveau, non sans avoir confisqué la moitié des provisions de l'île pour le voyage. Devant le risque de se faire interner par les autorités néerlandaises à Padang, l'Ayesha repartit vers le Sud pour un rendez-vous secret avec le cargo Choising. La petite troupe embarqua sur le vapeur et saborda l'Ayesha.
Le Choising déposa von Mücke et son équipa à Hodeida au Yemen, à l'autre bout de l'Océan Indien en février 1915, puis la petite troupe se rendit à Sanaa. Les 50 hommes entreprirent alors un long et périlleux voyage pour rejoindre la ligne de chemin de fer Constantinople-Damas-Djeddah dont von Mücke avait entendu parler, sans savoir qu'à l'époque elle n'était pas terminée et ne s'avançait pas autant au Sud. Revenus à Hodeida, il louèrent deux sambouks pour remonter la Mer Rouge, mais l'un d'entre eux s'échoua après quelques jours de navigation côtière de nuit dans ces eaux mal cartographiées.
A Kunfunda, von Mücke loua un navire plus gros et rallia Al Lith près de la Mecque. Arrivés sous escorte turque et arabe à Djeddah fin mars 1915 il reprirent un bateau pour Al Wajh et enfin atteignirent la ligne de chemin de fer et de là jusqu'à Constantinople le 23 mai 1915 après une odyssée de plus de six mois !
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Épilogue :
Rentrés en Allemagne et acclamés pour leur exploit, la plupart des officiers et marins furent incorporés dans l'armée et périrent dans la boucherie des tranchées.
Von Mücke adhéra aux mouvements conservateurs après le Traité de Versailles, jusqu'à entrer dans le parti nazi en 1926. Mais effrayé par la personnalité d'Hitler il versera bientôt dans l'opposition et sera emprisonné brièvement en 1936 puis de façon permanente en 1939. En raison de ses états de service et de sa santé il sera libéré peu après à l'insu d'Hitler et discrètement installé avec sa famille sur l'île de Föhr en Frise du Nord, où il mourut en 1957.
Décoration pour la période 1907-1914 :
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Décoration pour le Raid de l'Océan Indien :
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La notice PE pour la version Deluxe :
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En mars 2010 notre ami Chris a réalisé un très beau diorama en scratch intégral au 600e de l'épave sur North Keeling Island :
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Le pazapas ici :
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_Bruno
Dernière édition par bgire le Mer 18 Oct 2023, 14:49, édité 2 fois
_________________
Hi Bob!
C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases
Si Vis Pacem Parafilmum
La sous-couche, c'est un apprêt que l'on met avant
Si on bricolait plus souvent on aurait moins la tête aux bêtises
Omnes stulti, et deliberationes non utentes, omnia tentant
Une journée au cours de laquelle on n'a pas ri est une journée perdue
Espérons que le fond de la mer est étanche
Oh, ça c'est le Quacta qui se moque du Stifling
Telle est la Voie !
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Second et dernier croiseur de la classe Dresden, complété en 1906, l'Emden se trouvait en 1914 basé à Tsingtao, la concession allemande en Chine, dans l'escadre d'Extrême-Orient de l'amiral von Spee.
Rien de bien original à dire de la maquette qui est bien dans le style et la qualité Flyhawk, à présent bien connue. Je vais donc vous narrer l'extraordinaire histoire de ce célèbre navire.
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Narrons, donc :
Lors de la déclaration de guerre, von Spee reçut l'ordre de rallier l'Allemagne par le Cap Horn avec toute son escadre sans l'Emden. Celui-ci fut envoyé faire diversion en écumant l’Océan Indien pour s'attaquer au commerce maritime anglais, mais aussi australien et néo-zélandais.
Le 5 août 1914 l'Emden fut détaché de l'escadre de von Spee suivant la suggestion de son commandant Karl von Müller, afin de mobiliser les forces britanniques et japonaises à sa poursuite et faciliter ainsi le raid de von Spee à travers le pacifique jusqu'au Cap Horn. L'Emden fut choisi car c'était avec son sistership Dresden le navire le plus rapide de la flotte allemande.
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Le raid dans l'Océan Indien :
Partant de l'île de Pagan dans les Mariannes, l'Emden, de la mi-août au début de novembre 1914, accomplit une croisière de raid assez extraordinaire, interceptant 21 navires. A chaque fois les équipages étaient regroupés à bord d'une des prises et les autres étaient coulées. Les britanniques se concentrèrent sur les charbonniers ravitailleurs de l'Emden afin de lui "couper les vivres" mais von Müller contourna le problème en capturant des charbonniers anglais.
Les alliés tentèrent de l'intercepter, envoyant le croiseur HMS Yarmouth et le croiseur protégé japonais Chikuma à sa poursuite, sans succès. Petit rappel : pendant la Grande Guerre le Japon était du côté des alliés.
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L'Emden se paya même le luxe d'aller bombarder le port de Madras le 20 septembre, détruisant des réservoirs de fuel. Début octobre il se paya d'audace en allant radouber et réparer ses machines à Diego Garcia, base britannique... qui n'était pas encore au courant de l'état de guerre entre la Grande Bretagne et l'Allemagne et accueillit chaleureusement le croiseur !
Le bombardement de Madras :
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Enfin, suprême humiliation, l'Emden attaqua par surprise dans la nuit du 27 octobre le port de Penang, en Malaisie britannique, coulant le vieux croiseur russe Zhemchug à bout portant (270m) à la torpille au beau milieu du port. Le torpilleur français Mousquet tenta de répliquer, mais mal préparé il fut coulé et son équipage récupéré par l'Emden. En sortant de la rade l'Emden intercepta un cargo anglais pour y transférer les marins français après leur avoir fait signer l'engagement de ne plus prendre part aux combats contre la flotte allemande ( !).
Cette dernière attaque était celle de trop. L'amirauté décida d'interrompre tout trafic entre l'Australie et l'Inde ou l'Europe et de mobiliser toutes les unités combattantes pour en finir une fois pour toute avec ce petit croiseur bien enquiquinant.
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La Bataille des îles Cocos :
Dans la nuit du 8 au 9 novembre 1914 von Müller décida d'attaquer les îles Cocos, petit archipel au Sud de Java, en plein Océan Indien et qui était une station de ravitaillement et un relais stratégique de radio et câble sous-marin entre l'Australie et l'Europe.
Comme il n'y avait pas de navire britannique dans le lagon, von Müller envoya une escouade de marins commandés par son second, le premier lieutenant von Mücke, pour s'emparer de la station et détruire les installations de communication. Malgré le brouillage radio néanmoins, la station put donner l'alarme en signalant l'attaque.
Direction Island dans les îles Cocos. Le "commando" de von Mücke quitte la station après l'attaque pour embarquer sur l'Ayesha, visible à l'arrière plan dans le lagon :
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Par chance un convoi de troupes australiennes fortement escorté à destination de l'Europe passait à un peu plus de 52 miles et le croiseur léger HMAS Sydney fut détaché pour "régler son compte" à l'Emden.
Les deux adversaires vinrent au contact à 9h le 9 novembre au nord de l'archipel et un combat inégal s'engagea car les 152mm du Sidney avaient une portée plus grande que les 105mm de l'Emden. 2h20 plus tard von Mûller ordonna d'échouer l'Emden dévasté sur North Keeling Island, à l’extrémité nord des Cocos. Le croiseur avait sa superstructure ravagée et comptait déjà 134 morts et 61 blessés.
Après l'échouage le pavillon allemand ne fut pas abaissé tout de suite, incitant le commandant John Glossop du Sidney à rouvrir le feu à bout portant. Finalement le pavillon fut abaissé et une chemise blanche hissée en signe de reddition.
L'épave de l'Emden échouée devant North Keeling Island :
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Restaient von Mücke et les 50 marins de l'équipe de sabotage, abandonnés sur l'île principale, au milieu de nulle part. Von Mücke réquisitionna l'Ayesha, un vieux schooner ancré dans le lagon et la petite équipe décida de rallier Java à bord de ce navire pourri qui prenait l'eau avant que le Sidney ne se pointe à nouveau, non sans avoir confisqué la moitié des provisions de l'île pour le voyage. Devant le risque de se faire interner par les autorités néerlandaises à Padang, l'Ayesha repartit vers le Sud pour un rendez-vous secret avec le cargo Choising. La petite troupe embarqua sur le vapeur et saborda l'Ayesha.
Le Choising déposa von Mücke et son équipa à Hodeida au Yemen, à l'autre bout de l'Océan Indien en février 1915, puis la petite troupe se rendit à Sanaa. Les 50 hommes entreprirent alors un long et périlleux voyage pour rejoindre la ligne de chemin de fer Constantinople-Damas-Djeddah dont von Mücke avait entendu parler, sans savoir qu'à l'époque elle n'était pas terminée et ne s'avançait pas autant au Sud. Revenus à Hodeida, il louèrent deux sambouks pour remonter la Mer Rouge, mais l'un d'entre eux s'échoua après quelques jours de navigation côtière de nuit dans ces eaux mal cartographiées.
A Kunfunda, von Mücke loua un navire plus gros et rallia Al Lith près de la Mecque. Arrivés sous escorte turque et arabe à Djeddah fin mars 1915 il reprirent un bateau pour Al Wajh et enfin atteignirent la ligne de chemin de fer et de là jusqu'à Constantinople le 23 mai 1915 après une odyssée de plus de six mois !
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Rentrés en Allemagne et acclamés pour leur exploit, la plupart des officiers et marins furent incorporés dans l'armée et périrent dans la boucherie des tranchées.
Von Mücke adhéra aux mouvements conservateurs après le Traité de Versailles, jusqu'à entrer dans le parti nazi en 1926. Mais effrayé par la personnalité d'Hitler il versera bientôt dans l'opposition et sera emprisonné brièvement en 1936 puis de façon permanente en 1939. En raison de ses états de service et de sa santé il sera libéré peu après à l'insu d'Hitler et discrètement installé avec sa famille sur l'île de Föhr en Frise du Nord, où il mourut en 1957.
Décoration pour la période 1907-1914 :
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Hi Bob!
C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases
Si Vis Pacem Parafilmum
La sous-couche, c'est un apprêt que l'on met avant
Si on bricolait plus souvent on aurait moins la tête aux bêtises
Omnes stulti, et deliberationes non utentes, omnia tentant
Une journée au cours de laquelle on n'a pas ri est une journée perdue
Espérons que le fond de la mer est étanche
Oh, ça c'est le Quacta qui se moque du Stifling
Telle est la Voie !
