Tout d'abord un grand merci à tous ceux qui m'ont aidé au cours de ce long montage. Je me rends compte que cela fait tout juste deux ans que j'ai engagé ce projet. Une petite année pour la coque, et un peu plus, pour le gréement.
Tout d'abord, quelques informations (glanées sur internet) à propos de l'original.
Yoann GUI m'a indiqué une très belle monographie de ce vaisseau écrite par Adrian SOROLLA & Fermin URTIZBEREA publiée chez Ancre. Je regrette de ne pas l'avoir consultée avant d'engager cette construction, le rendu aurait sans doute été meilleur.
Vous trouverez ci-après quelques photos du modèle achevé. J'ai conservé toutes les photos du montage (il y en a quelques unes dans le forum "Arsenal et Gréement" et si vous avez des questions je tenterai d'y répondre.
Encore merci à tous, et merci aux animateurs de ce site de faire vivre une passion parfois un peu rare.
Longbow.
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La Diana, vue d'ensemble. Ne tenez pas compte du petit adhésif sur la quille ; il s'agit d'un repère placé pour la préparation du berceau que j'ai oublié d'enlever pour la séance photo.
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J'ai refait les cadènes (le plan propose un simple fil recourbé aux deux extrémités).
Pour rire, j'ai ajouté des tirants pour les sabords (cux-ci sont métalliques, une vraie galère à percer)...
Le tableau arrière est d'une pièce. J'ai percé les emplacements des fenêtres pour donner un peu plus de profondeur...
J'avoue que pour le gréement, je me suis régalé...
Détails des voiles, ici la grande hune, avec les garcettes de ris (il n'y pas pas de nœuds coté poupe)...
encore merci à tous pour votre aide.
Tout d'abord, quelques informations (glanées sur internet) à propos de l'original.
La Diana, frégate de la classe « Mahonesa » était une frégate légère de 5ème rang de 43 mètres de longueur. Elle faisait partie d'une série de six frégates légères construites au chantier naval de Mahon (Minorque), sur les plans de Joseph Romero de Landa. Leurs noms respectifs étaient Mahonesa, Esmerelda, Diana, Venganza, Ninfa and Proserpina.
La Diana fut lancée le 06 mars 1792.
Elle était armée de 28 canons de 12 livres et 12 canons de 6 livres, avec un équipage de 270 hommes, qui, en cas de guerre, pouvait atteindre plus de 400.
Très moderne, inspirée des meilleures constructions britanniques et françaises, elle était considérée comme l’une des meilleures et de plus rapide frégates de la marine espagnole de l’époque. Elle prit part à la bataille du cap de St Vincent qui vit la victoire de la flotte britannique.
Après sa mise hors service actif en 1822, elle fut désarmée en 1833 à l'arsenal de Carthagène. Il existerait une très belle maquette en bois et ivoire au musée de la Marine de Madrid.
Pour ce qui concerne le kit, il est bon, surtout pour la partie coque qui est un vrai bonheur à assembler. Les instructions sont assez claires, et les coupes de qualité. Je n'ai pas conservé les bouteilles du Kit car elles étaient dissymétriques ; j'ai refait toute la poupe et la chambre en bois.
Par contre, j'ai trouvé qu'il y avait trop de pièces en résine (poulies et colonnettes) que j'ai changées en partie.
Pour le gréement les accessoires sont très jolis, mais j'ai changé toutes les poulies, il n'y avait qu'une taille en résine, et les cordages qui ne me semblaient pas adaptés. J'ai aussi cousu un jeu de voiles complet, avec des ralingues plus approchantes que le surfilage proposé. A noter que les voiles fournies dans le kit sont très jolies et d'une superbe texture, mais j'ai trouvé les laizes de 2cm.Yoann GUI m'a indiqué une très belle monographie de ce vaisseau écrite par Adrian SOROLLA & Fermin URTIZBEREA publiée chez Ancre. Je regrette de ne pas l'avoir consultée avant d'engager cette construction, le rendu aurait sans doute été meilleur.
Vous trouverez ci-après quelques photos du modèle achevé. J'ai conservé toutes les photos du montage (il y en a quelques unes dans le forum "Arsenal et Gréement" et si vous avez des questions je tenterai d'y répondre.
Encore merci à tous, et merci aux animateurs de ce site de faire vivre une passion parfois un peu rare.
Longbow.
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La Diana, vue d'ensemble. Ne tenez pas compte du petit adhésif sur la quille ; il s'agit d'un repère placé pour la préparation du berceau que j'ai oublié d'enlever pour la séance photo.
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J'ai refait les cadènes (le plan propose un simple fil recourbé aux deux extrémités).
Pour rire, j'ai ajouté des tirants pour les sabords (cux-ci sont métalliques, une vraie galère à percer)...
Le tableau arrière est d'une pièce. J'ai percé les emplacements des fenêtres pour donner un peu plus de profondeur...
J'avoue que pour le gréement, je me suis régalé...
Détails des voiles, ici la grande hune, avec les garcettes de ris (il n'y pas pas de nœuds coté poupe)...
encore merci à tous pour votre aide.