Aller, cette fois on ne vas pas tenter le raid de Kessel en 12 parsecs
Voici donc le Faucon Millenium, au 1/144 développé par Bandai.
Il s'agit de la version présente dans la dernière trilogie (épisodes VII, VIII et IX)
La boite est épaisse et bien remplie !
La notice, très claire et facile à suivre :
Les planches de décals ET d'autocollants, Bandai reste un fabricant de jouets avec une vocation plus "large" qu'un fabricant de kits :
Passons aux grappes.
Le plastique est vraiment de qualité supérieure et avec un moulage assez fou de précision et de détails :
Les 2 demi-coques :
Le socle :
CONCLUSION :
Un superbe kit, dans une échelle raisonnable (on est plus sur du 72 là)
Les détails sont juste bluffants, j'ai rarement vu une telle qualité de moulage.
Seul bémol, Il s'agit de la version de la nouvelle trilogie, pas LE Faucon originel...
Sinon, le kit est cher, une bonne centaine d'euros, mais, pour des passionnés, il les vaut largement, et il n'a absolument pas besoin de kits d'améliorations.
Qualité des pièces : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Intérêt du sujet : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Notice : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Decals : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
TOTAL : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
_________________
Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
Voici donc le Faucon Millenium, au 1/144 développé par Bandai.
Il s'agit de la version présente dans la dernière trilogie (épisodes VII, VIII et IX)
La boite est épaisse et bien remplie !
La notice, très claire et facile à suivre :
Les planches de décals ET d'autocollants, Bandai reste un fabricant de jouets avec une vocation plus "large" qu'un fabricant de kits :
Passons aux grappes.
Le plastique est vraiment de qualité supérieure et avec un moulage assez fou de précision et de détails :
Les 2 demi-coques :
Le socle :
CONCLUSION :
Un superbe kit, dans une échelle raisonnable (on est plus sur du 72 là)
Les détails sont juste bluffants, j'ai rarement vu une telle qualité de moulage.
Seul bémol, Il s'agit de la version de la nouvelle trilogie, pas LE Faucon originel...
Sinon, le kit est cher, une bonne centaine d'euros, mais, pour des passionnés, il les vaut largement, et il n'a absolument pas besoin de kits d'améliorations.
Qualité des pièces : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Intérêt du sujet : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Notice : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Decals : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
TOTAL : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
_________________
Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo