J'ai commencé Le Memphis Belle le tout premier B17 qui a survécu à 25 missions en Europe. Son équipage l'avait baptisé "Memphis Belle" du nom de la compagne du lieutenant Robert K. Morgan. Après sa dernière mission il a été rappelé au USA avec son équipage. Par la suite il fut acheté par la ville de Memphis et il devenu un monument que l'ont peu visité, en 2004 il a subit une restauration complète , et aujourd'hui encore il reste accessible au public.
Le modèle présenté par revell n'a pas beaucoup de détail mais la qualité semble être au rendez vous. Je devais faire un dio pour mes Mirages que j'ai présenté dernièrement mais je trouve pas de personnel au 1 /48 si vous avez des tuyaux je suis preneur Merci d'avance
[...] Je devais faire un dio pour mes Mirages que j'ai présenté dernièrement mais je trouve pas de personnel au 1 /48 si vous avez des tuyaux je suis preneur [...]
Hi Kiki. As-tu déjà balayé les sites tels que Oups, 1001 Hobbies etc e.g. ICI ! ? Bon montage et je veille sur le dio de tes superbes Mirages...
_________________ Bien cordialement et à bientôt, Yves Chantier en cours : Le Pourquoi Pas? 1908 (1/75° Billing Boats) - Partie I : ICI ! - Partie II : ICI !
eh beh , un B-17 au 1/48 ca doit prendre de la place...
ca lui fait quelle envergure ?
_________________ Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie. Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. » Victor Hugo
Merci Yves pour ton tuyaux effectivement je n'avais pas fouillé. Merci Pelikan pour tes encouragements. Pour te répondre Yuth en envergure il fait 50 cm et en longueur 66 cm ça fait un beau bébé le problème c'est qu'il va falloir que je lui trouve une place. Mais çà se trouve.
Sa prend de la place en …… surtout quand accrocher à côté d’un Lancaster aussi au 1/48 Donc et suivre Tu as le modèle de 2012 quand ils l’ont un peut rajeuni
_________________ Charles Québec, Canada
Soyez gentil Mais construisez bien Une planche a la fois
Je continue mon Memphis Bell j'ai préparé plusieurs sous ensemble. Voici quelques photos
Voila les moteurs sont très peu détaillé je vais essayé d'améliorer la chose. Maintenant je vais attaquer le mastic la chose que je préfère le plus (c'est vraiment la chose que je déteste ). Sous le fuselage on aperçois la boule ventral il fallait en avoir pour s'installer la dedans.
Avec un vieux moule comme ça, il va t'en falloir du mastic... tu vas utiliser lequel ?
_________________ Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie. Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. » Victor Hugo
C'est plasto de Revell j'ai une petite combine maintenant je sais si c'est bon je met de l' acétone dedans je dilue un peu et je peux le travaillé un peu plus.
sinon tu as la bonne vieille technique (merci Kagou) des chutes de grappes diluées dans la colle liquide tamiya
_________________ Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie. Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. » Victor Hugo
Ca avance,et je constate que le mastiquage est aussi au 1/48... Ceci dit (n'étant pas marocain, bis),je ne connais pas de maquettiste qui aime mastiquer (que ce soit en plastique,en bois,en métal).
Oui ça avance doucement c'est le grand problème des retraités on est débordé
Oui je sait Je croyais avoir 1 année de plus de liberté mais la ministre travail de la maison à cause de la Covid Pauvre de moi c’est difficile de faire 4 ou 5 projets en même temps je doit me contenté de pas + que 2 en même temps
_________________ Charles Québec, Canada
Soyez gentil Mais construisez bien Une planche a la fois
J'espère que vous allez tous bien après une petite absence du forum me revoilà j'ai laissé tomber mon B17 depuis 4 mois parce que comme vous le savais les retraités sont débordé. J'ai travaillé sur support pour pouvoir bricoler plus facilement, j'ai mis mes anciens collègues a contribution et voilà le résultat en photo.
Donc voilà mon petit support qui peut s'adapter à plusieurs échelles comme on peu le voir j'ai fait faire des rainures pour pouvoir déplacer les supports suivant la taille de mes prochains modèles. Je me suis remis à travailler sur mon Memphis Bell, je suis toujours sur le masticage je vous redonnerai des nouvelles bientôt. Voilà bonne soirée à vous tous. Amitiés Kiki60
J'ai inauguré mes deux cabines peinture aujourd'hui c'est mon cadeau de noël. Cabine de la marque WILTEC très pratique facile de nettoyage une fois replié ça ne prend pas une pace énorme La puissance d'aspiration est bonne et ne fait pas trop de bruit. C'est quand même un investissement.
La cabine plié comme on peut voir c'est la taille d'une petite mallette très légère.
La cabine déplié Les deux cabines l'une à coté de l'autre parce que le B17 prend de la place Le B17 a l'intérieur ça manque un peu de profondeur le plateau ne tourne pas vu l'envergure dommage. Je passe la seconde couche de peinture demain. Amitié Kiki60
Bon vous allez me dire que j'avance pas vite mais qui ménage sa monture va loin a ce qui parait. La peinture est faite quelques retouchent à faire je pose les décalcomanies cet après-midi Voilà quelques photos
Voilà je vous souhaite une bonne après-midi Amitié KIKI60
Collision en vol avec un chasseur Allemand. En plus des dommages sur la photo, les deux moteurs de droite ne tournaient plus.
D'autres ici qui ont réussi à rentrer malgrés les "avaries"
Ce B-17 a pris un coup direct de la flak au dessus de Debrecen, Hungary. Trois membres d'équipage perdu.
Texte et photo source: Air Classics magazine, July 1972.
"Hang the Expense Again III" a été vue sévèrement endommagé piquant vers le sol au dessus de la France mais son pilote a réussi à le récupérer et le ramener à sa base. L'explosion a éjecté le mitrailleur de queue...Qui a survécu!
SOURCE: Flying Forts by Martin Caiden, additional material by Ray Cary
Thru Hel'en Hi Water a retourné à sa base après un coup direct sur l'empennage. Le mitrailleur de queue n'a rien eu....
Il était en train de vérifier la roulette de queue quand l'explosion a eu lieu.
SOURCE: Game manual for Microprose's "B-17 Flying Fortress" game
Ce B-17 a eu sa dérive et une partie de queue détruite par une hélice d'un autre B-17
SOURCE: Duel For the Sky by Herbert Molloy Mason, Jr.
Ce n'est pas toujours l'empennage arrière qui se faisait démolir sur les B-17!
15 octobre 1944. Un autre coup direct sur un 398th BG B-17 piloté par le Lt. Lawrence M. DeLancey de Corvallis, Oregon. Tout l'équipage rentre vivant sauf un, le "togglier" (bombardier) tué instantanément. L'histoire ici:
A German 88 anti-aircraft shell had exploded in the lap of the togglier.
Et puis cette histoire hors norme:
Le 20 décembre 1943, un jeune pilote de bombardier américain nommé Charlie Brown et son équipage se trouve quelque part au dessus de l'Allemagne, et lutte pour garder leur B17 en ligne de vol avec ses 2 moteurs et demi.
Ils reviennent de leur première mission, le bombardement réussie d'une usine allemande de munitions . Le B-17 et son groupe avait été attaqué par 15 chasseurs allemands et le B17 laissé pour perdu, et Brown lui-même avait été assommé lors de l'assaut, reprenant conscience juste à temps pour tirer le manche, l'avion s'étant engagé dans un piqué mortel..
Le mitrailleur de queue est mort et il y a six blessés, et 2ème lieutenant Brown est seul dans son cockpit, trois autres hommes indemnes s'occupent des blessés.
Vue d'artiste de la scène.
Se remettant de ses émotions, il aperçoit soudain un ME 109 à sa droite.
Brown pense alors à une hallucination. Il a fait cette chose que les gens font dans les films: Il ferma les yeux et secoua la tête..
Il regarda à nouveau sur la droite, l'Allemand solitaire était toujours là. Il vient maintenant le survolé sur la gauche de Brown . Le pilote lui fait des signes et des grimaces, exagérant ses expressions comme un personnage de dessin animé.
Brown, déjà en état de choc, est saisi par la peur. Qui est ce gars là?
Il se retourna et crie à son mitrailleur, de monter dans sa tourelle et de tirer sur le 109. L'Allemand fait alors quelque chose d'encore plus étrange: Il regarda Brown dans les yeux et lui donne un salut.
Puis il disparaît. Il ramène le B17 en Angleterre et le pose.
Qu'est il arrivé?
Cette question hantera Brown pendant plus de 40 ans. Longtemps après il se marie et a quitté le service et se réinstalle à Miami. Des cauchemars récurant vont hanter ses nuits et il va apprendre à vivre avec.
Franz Stigler a 26 ans quand il est enrôlé dans la Luftwaffe en 1942. Ancien pilote de l'aviation commerciale dont le père et le frère étaient morts en servant leur pays. Franz a été affecté à la JG27, et a d'abord été en poste en Libye.
Lors de son premier jour sur la base, il est pris à part par son commandant, le lieutenant Gustav Roedel, rencontre qui aura un impact profond sur sa vie pendant et après la guerre.
http://en.wikipedia.org/wiki/Gustav_R%C3%B6del
Avant sa première mission, Roedel parle au jeune pilote avant le décollage, "Prenez ça comme un avertissement", lui déclare Roedel. "L'honneur est tout ici.", "Chaque fois que vous combattrez, vous serez en infériorité numérique».
Stigler hocha la tête, mais ne dit rien.
Qu'est-ce que veut dire Roedel par là? Stigler est accablé.
Roedel insiste : "Que ferez-vous, par exemple, si vous vous trouvez devant votre ennemi suspendu à un parachute?".
Comment répondre?
"Je suppose que je n'y ai pensé que de loin", répond Stigler.
Roedel reprend: «Si jamais je vois ou que j'entends que vous avez tiré sur un homme en parachute, Je vous abattrais moi-même. Vous suivez les règles de la guerre pour vous - pas pour votre ennemi. Combattez dans les règles pour garder votre humanité ».
Roedel n'était pas le seul à prôner cette philosophie, et pas seulement chez les Allemands. La plupart de ces jeunes pilotes maintenant en guerre - américains, britanniques, allemand - avaient grandi nourri des histoires des pilotes de chasse de la première guerre mondiale : l'Américain Eddie Rickenbacker et Manfred von Richthofen, le Baron Rouge allemande.
C'étaient des hommes qui avait combattu avec un code, et qui n'auraient jamais mitraillé un avion ennemi qui était déjà abattu. Ils avaient appris qu'ils pourraient très bien survivre à la guerre et, si ils y arrivaient, ils avaient besoin de savoir qu'ils avaient combattu avec honneur, humanité autant que possible. Ça serait la seule façon de vivre avec eux-même en paix.
Franz Stigler est sur le terrain à Oldenburg, en Allemagne, en décembre 1943.
Il fume une cigarette pendant que son avion, un Messerschmitt 109, était en cours de ravitaillement. Au début, il y a eu un bruit au loin, puis ce bruit enfle, un avion volant à basse altitude, passa soudain à quelques kilomètres. puis il disparu sans lâcher de bombes. Personne ne dit un mot. Les rampants finirent le ravitaillement à la hâte, Franz ralluma sa cigarette, salua son sergent et disparu à la poursuite de l'appareil américain.
Si il pouvait descendre celui-ci, Stigler aurait sa 23ème victoire, et ainsi sa croix de chevalier, le plus grand honneur pour un soldat allemand pendant la Seconde Guerre mondiale et celui qui symbolise une bravoure exceptionnelle.
En quelques minutes, Stigler, seul, est dans la queue du B-17. Il a le doigt sur la gâchette, un œil fermé et l'autre visant à travers son collimateur. Il pointa et était sur le point de faire feu quand il réalisa ce qu'il voyait: l'appareil n'avait plus de stabilisateur gauche. La mitrailleur de queue était dans un sale état, probablement mort, son col en polaire rouge de sang, la mitrailleuse était également couverte de sang.
Stigler vole alors le long du fuselage , la carlingue est déchiqueté par les obus. Il remarqua à travers l’ouïe de la mitrailleuse latérale des jeunes gens terrifiés qui tentent de s'occuper de leurs blessés. Il passe sur l'avant et constate que le nez de l'avion a été emporté. Comment vole encore cette chose?
Dans un premier temps, Charlie Brown n'a pas remarqué le petit avion allemand à sa droite. Il pensait à leur sort. Il avait six hommes blessés dans le dos. Certains étaient en assez bon état pour sauter, mais les blessés graves ne survivrait jamais à la forêt allemande. Il allait devoir continuer à voler, et essayer de les ramener en Angleterre, mais les autres devrait sauter, les chances de ramener ce B17 était minuscule.
Le copilote de Brown, "Pinky", rentre dans le cockpit. "Nous restons," dit il. «Les gars ont tous décidé - vous allez avoir besoin de notre aide pour ramener cette fille à la maison."
Brown n'écoutait pas. Il regardait au delà de Pinky, terrifié. Pinky se tourne vers sa droite, et voit l'Allemand.
Brown dit: "Il va nous détruire".
Stigler, aussi, était pris de panique. Cet avion perdait de l'altitude, et son équipage était paralysé. Il pointe son pouce vers le sol, et, enfin, il y eu une réaction: Les Américains hochaient la tête. Ils préfèrent mourir dans les flammes que d'être fait prisonnier par les nazis.
Stigler était exaspéré. Dans cet situation, il risquait sa propre vie: tout le monde connaissait l'histoire cette femme allemande qui il a juste un an avant, avait été exécutée par les nazis pour avoir raconter une blague contre le IIIe Reich.
Si l'avion de Stigler devait être repéré par un civil aux côtés d'un B-17, et si ce civil transmettait le signalement du 109, il était comme mort.
Puis Stigler se souvint ce que Roedel lui avait dit, tirer sur l'ennemi lorsqu'il est en détresse allait à l'encontre du code de la chevalerie et de l'honneur. Stigler savait que ce qu'il faisait était juste.
Près du mur de l'Atlantique, les artilleurs de la flak ont repéré les deux avions en approchent, l'Américain et l'Allemand. Ils sont stupéfaits et n'ont jamais rien vu de tel. Deux appareils ennemis voler cote à cote , tous deux semblants voler de concert, aucun tir, aucune poursuite, esquive ou spirale.
Stigler pense à cela et fait demi-tour juste avant qu'il ne soit possible de le repérer. Il savait que ses compatriotes aurait identifié son 109, et qu'ils ne tiraient jamais sur l'un des leurs. Mais comment savoir ce qui pouvaient se passer exactement dans leurs esprits?
Pour les Américains, cependant, Stigler doit être descendu. Brown ne pouvait plus attendre, et cria à son mitrailleur de la tourelle de tirer. C'est à ce moment que l'Allemand a salué et a finalement disparu.
Contre toute attente, Brown a ramené son B-17 en Angleterre.
Il a servi jusqu'au début de la guerre du Vietnam et finit par s'installer avec sa femme à Miami.
Stigler, lui, après le 20 décembre 1943, a vécu dans la crainte d'avoir été découvert. Plus tard, il sera combattra sur ME 262. Il servi jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale et, il ne sentait plus chez lui en Allemagne, il déménagea à Vancouver, au Canada, en 1953.
Mis à part à leurs épouses, les deux hommes parleront rarement de cette histoire: Dans le cas de Stigler, c'était un acte de trahison, passible de mort.
Brown avait signalé les faits à son commandant, mais l'événement a été traité comme classé: Personne ne voulant humaniser l'ennemi.
BROWN Charles L 2nd - Lt Pilot LUKE Spencer G 2nd - Lt Co-Pilot SADOK Albert (NMI) 2nd Lt - Navigator ANDREWS Robert M 2nd Lt - Bombardier PECHOUT Richard A S/Sgt - Radio Operator/Gunner COULOMBE Bertrand O S/Sgt - Top Turret Gunner BLACKFORD Samuel W Sgt - Ball Turret Gunner JENNINGS Lloyd H Sgt - Right Waist Gunner YELESANKE Alex (NMI) Sgt - Left Waist Gunner ECKENRODE Hugh S S/Sgt - Tail Gunner ( - Tué en opération)
Brown, qui a était encore profondément traumatisé par l'incident, rechercha le pilote Allemand jusqu'à ce que finalement, en Janvier 1990, pensant que toutes les chances sont contre lui, il écrit une annonce dans un bulletin d'information pour les pilotes de chasse, intitulée "Qui a sauvé ma vie le 20 décembre 1943. ". Il garda pour lui l'information clé: "Lorsqu'un pilote allemand laissa échappé son B-17".
Dans sa maison à Vancouver, Stigler voit l'annonce. Il a crié à sa femme: «C'est lui! C'est celui que je n'ai pas abattu!". Franz s'était toujours demandé si le grand risque qu'il avait pris avait été utile, et si ces Américains étaient rentrés à la maison vivants . Brown s'était toujours pour quelle raison ce pilote allemand avait eu cette attitude, et pourquoi les avait il laissé s'échapper.
Il a immédiatement écrit une lettre à Brown.
Brown était trop impatient de vraiment lire lorsqu’il reçu le courrier. Il a appelé le numéro de Franz Stigler.
«Quand je vous ai laissé aller au dessus de la mer", a déclaré Stigler, «Je pensais que vous n'y arriverez pas."
"Mon Dieu", a déclaré Brown. "C'est vous."
Les larmes coulaient sur son visage. Stigler avait répondu à une des questions secrètes de Brown, sans avoir à lui demander.
Stigler, aussi, pleurait et lui expliqua tout expliquait tout: que Brown ne pouvait savoir à quel point l'appareil était endommagé et qu'il essayait de les escorter vers la sécurité et qu'il les a abandonnés quand il a vu que que la tourelle le pointait.
«Bonne chance», avait-il dit à Brown de son cockpit. "Vous êtes dans les mains de Dieu."
Il restèrent sept heures au téléphone.
Les deux groupes pensent qu'ils doivent raconter leur histoire à autant de personnes qui voudrait bien l'entendre, pas pour l'argent mais pour faire comprendre aux gens qu'il y a toujours une autre manière, que le monde pourrait être infiniment mieux que ce qu'il est.
Stigler et Brown sont tous deux décédés d'une crise cardiaque en 2008, à six mois d'intervalle. Stigler avait 92 ans; Brown, 87.
L'histoire racontée par ces deux pilotes.
«Higher call", le livre de Adam Makos et Larry Alexander, qui raconte l'histoire vraie incroyable de ces deux pilotes.
Nous avons 13335 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est MerlantNos membres ont posté un total de 625816 messagesdans 28525 sujets