Derniers Achats (3)

Bonsoir Julien,

je connais ce post, il y en a même une autre surprise faite par Banton. J'ai fait parti de ce forum, mais n'y suis pas resté, trop de cadors qui voulait imposer leur volonté, avec des jugements quelque fois cassants.

En ce qui concerne les motifs : tous les Kits ont leurs faiblesses et il faut se dire qu'aucun n'est juste. Ce bateau n'ayant en réalité jamais existé, ils se sont inspirés de documents du HMS Pandora, qui est à l'arrivée bien différent lui aussi. La Surprise est un gros chantier, je pense que tu peux te contenter de le construire comme il est proposé sur la notice, en corrigeant au fur à mesure avec les amis du forum les invraisemblances. Il y a beaucoup de connaisseurs des navires de cette époque et ils sont toujours de bons conseils. Je ne connais pas ton emploi du temps, mais sache que cela peut être une entreprise de plusieurs années. 

Bon week end,

Amitiés,

Thierry

Bonjour a tous je vous presenete mon dernier achat a savoir le prince of wales 1/350 de chez tamiya, avant le debut du chantier je compte acheter un kit upgrade soit eduard ou pontos car je veut qu'il soit vraiment complet voila une photo de la boite



et j'ai fait l'ouverture de boite ici si sa interresse quelq'un




au plaisir+

Bonjour Guillaume   un beau bateau que j'ai pris plaisir à réaliser au 700 je t'en souhaite un bon montage pour la PE je partirais sur la Pontos 

Bonjour,
Je suis tombé par hasard voici deux mois sur cette petite gamme d'accessoires navions au 72e et 48e, Small Stuff, que je ne connaissais pas :
https://www.hobbyeasy.com/en/category/AIR12345678/20/1/maker/SST.html?t=1574886793

Intéressé par le prix modique (12€) j'ai acheté le Wright R-975 Whirlwind car j'ai pensé qu'il rehausserait mes kits à venir du Curtiss Sparrowhawk (l'avion parasite des dirigeables USS Macon et Akron en 1936), ou, plus spectaculairement du fameux Ford Trimotor.

Le kit. Pièces conçues en 3D et impeccablement moulées sans bavures. Noter la petite pince à épiler fournie :



Il permet de réaliser un moteur parmi six versions et pour équiper une longue liste d'avions :



Les cylindres et les blocs moteur (il y a quatre variantes possibles) d'une précision stupéfiante :



Le principe très astucieux du moulage qui permet de protéger les pièces dans les manipulations et d'obtenir un moulage sans aucune bavure, identique à ce que donnerait une impression 3D directe pour beaucoup moins cher :



La notice de montage est très claire :





J'ai accumulé il y a trente ans une belle collection des premiers avions embarqués américains des années 20 et 30, à l'époque produits par Esoteric en plastique thermoformé, avec accessoire, dont un moteur un peu "brut" et faux en métal blanc. Avec l'apparition de la photodécoupe, et maintenant de ce genre d'accessoire (les moteurs n'avaient pas de capot et étaient bien visibles), je vois des perspectives intéressantes se profiler.

En tout cas, pour les amateurs de vieux navions je recommande cette marque.
_Bruno

Merci pour l'info mon tit Bruno 

Bonjour,

Le mois dernier, en visionnant des images sur les armes expérimentales nazies de 1944-45 je suis tombé sur le Bachem 349 "Natter" (Couleuvre). Je connaissais "de loin" ce curieux engin et je me suis dit "est-ce qu'il existe une maquette au 72e ?".

Bingo, après une dizaine de minutes de recherche je suis tombé sur un magnifique ensemble produit par BRENGUN, qui est en fait la partie "maquette" de la société Hauler, bien connue comme la meilleure pour la production de photo découpe (du moins en Europe).

L'ensemble se compose d'un kit plastique du Natter, très finement moulé, faisant penser à du Eduard récent :











Le kit est simple car l'avion était simple : un fuselage en bois propulsé par cinq fusées. Le fuselage était construit par des travailleurs forcés pris dans des camps de concentration...

Il s'agissait d'un intercepteur de bombardier : il décollait à la verticale, comme une fusée, le long d'une rampe qui pouvait être installée n'importe où. Avec une accélération de 3G, unique pour l'époque, il fonçait vers la flotte de bombardier en pilotage automatique, décochait les 19 rockets situées dans son nez dans une salve unique, puis amorçait une ressource, larguait ses quatre fusées d'appoint.
Ensuite il se mettait en piqué jusqu'à une altitude plus clémente (3000m) où son pilote le redressait, ouvrait la verrière vers l'arrière, ce qui agissait comme aérofrein et simultanément larguait la partie devant lui :  tout en même temps en tirant sur le manche. Le freinage de l'arrière avait pour effet d'éjecter le pilote qui continuait sous son propre parachute. La partie arrière, avec le moteur fusée principal Walter et les réservoirs descendait sous parachute et l'ensemble était récupéré.

Comme quoi, quand on est désespéré on imagine n'importe quoi.

Un vrai truc de dingue faisant prendre d'énormes risque au pilote. Quatre essais à vide furent réalisés, plus ou moins réussis et devant l'urgence de la situation, le 1er mars 1945 le jeune pilote Lothar Sieber monta dans le cockpit. 150m après le décollage l'avion sortit de sa trajectoire et à 500m on vit la verrière voler en éclat l'avion infléchit encore sa trajectoire et disparut dans les nuages jusqu'à l'arrêt de son moteur Walter, puis finit par s'écraser.
L'enquête révéla que la verrière, qui devait s'ouvrir à partir du manche avait commencé à le faire, probablement suite à un geste involontaire du pilote soumis à un choc de 3G (sans combinaison moderne). Dans son processus d'ouverture elle devait d'abord glisser vers l'arrière, entrainant l'appui-tête qui y était fixé. Vous imaginez ce que les cervicales du pauvre Sieber ont dû subir et il est probablement devenu inconscient, voire pire dès ce moment.

Ironie de la chose : Sieber fut le premier homme à décoller verticalement, 16 ans avant Gagarine.

Comme il s'agit d'un kit Hauler, il y a un deuxième composant qui est la tour de 20m en photodécoupe intégrale. Là, c'est du beau, du lourd, du Hauler et ceux qui fréquentent cette boite savent que question qualité de photo découpe les tchèques postent haut

Une grande planche A4 de 0,2mm :



Une planche A5 et les éléments du berceau de la couleuvre en résine :



Extraits de la notice :







L'ensemble m'a coûté 66€ avec le port.
_Bruno

Là mon tit Bruno tu allies avion et fusée ton kif   Beau kit je ne suis pas navion mais je reconnais qu'il est tentant   bon montage à toi 

Bonjour,
Hier j'ai reçu le dernier kit d'Orange Hobby : le cuirassé italien Caio Duillio au 700e, dans son état de 1941 :



Sister-ship de l'Andrea Doria cette paire de dreadnought a été construite pendant la Première Guerre Mondiale. Dans le courant des années trente les deux unités (ainsi que la paire précédente : Conte di Cavour et Giullio Cesare) ont été complètement reconstruites. A l'origine on pensait qu'une modernisation serait plus rapide et moins onéreuse que des constructions nouvelles, mais la somme des innovations et améliorations au final coûtèrent bien plus cher.

Ici deux silhouettes "avant, après" à la même échelle qui montrent l'ampleur des modifications :



Le kit est très complet et inclut les pièces en résine, en laiton tourné et de la PE ainsi qu'en petite planche de décals :



Revue de détail :

















La PE :





La notice (extraits) toujours aussi claire :









et tout ça pour 60€ avec les fdp !
_Bruno

chouette 

joli pour du 700

Beau tit modèle qui a l'air bien détaillé avec un prix très raisonnable 

Bien le bonjour 

petit cadeau de mon épouse pour nos 20 ans de vie commune 



un croiseur terrestre 

je fais une ouverture de boite plus tard

Cuirassé plus tôt 

Bien le bonjour 

oui en effet je me suis planté c'est la vieillesse 

achat d un 2eme petit uboot ,cette fois j ai pris un type 9B de chez bronco avec les périscopes et canon laiton ,et un peut de matos pour les dio : water texture etc...

les sous-marins ont intérêt de gagner j en ai trois a faire ,un type 7 un type 9 et le surcouf...le pire c est que j avais voté croiseur.....

j ai reçu ma commande black friday ,oupsmodel toujours aussi efficace

donc il y a le :
 le Surcouf hobby boss 
le type vii c 41 revell
le ching yuen bronco

tous ces modèles au 1/350 ,de prime abord tous pas vilains niveau détails, gravure et finesse ,si vous désirez une ouverture de boite pour un de ces modelés faites savoir

Bonsoir Dark,

yes moi ça m'intéresse , ça permet de rêver et de donner des idées. 

Amitiés,

Thierry

ok je fais ça des que possible

j ai encore craqué ,cette fois pour un type VIIC 41 avec schnorkel de chez AFV ,un type VIIb pour faire le u96 de das boot ,un schnellboot S100 de chez bronco ,un type IXc hobby boss ,une corvette class flower miragehobby .Le tout au 1/350

je pense faire la corvette Mimosa des FNFL avec la corvette class flower et peut être la réaliser en dio avec le SM Surcouf
pour le IXc lui coller un schnorkel aussi si je trouve de bonnes photos ou de la doc

L'achat imprévu du midi  : petit vinyle avec 16 chants de marins. Ca va mettre l'ambiance pendant que je travaille sur mes kits .

Bonjour,
Un gros et très beau livre qui vient de paraitre, consacré aux croiseurs anglais de la classe "Town" (villes).



Sur 315 pages on a droit à une étude exhaustive (design, modifications, rapports de dommages et refontes) des dix unités de cette classe de croiseurs légers conçus dans les années 1933-34 :
Groupe 1 : Southampton, Newcastle
Groupe 2 : Sheffield, Glasgow, Birmingham
Groupe 3 : Liverpool, Manchester, Gloucester
Groupe 4 : Belfast, Edinburgh



Le livre est abondamment illustré de photos en noir et blanc et couleur, certaines rares, certaines en pleine page ou double page pour montrer les plus petits détails.

On trouve aussi des schémas, des plans officiels, dont ce magnifique dépliant du profil interne du Southampton "as built", reproduction de l'original qui se trouve au NMM de Greenwich :





Les camouflages ne sont pas oubliés :



Ce livre complète et réactualise avec beaucoup de très belles photos et des plans de détail le chapitre sur ces navires dans le "monument" d'Alan Raven et John Roberts (British cruisers of WW2) paru en 1972 et toujours une référence, ainsi que le livre de Norman Friedman (British Cruisers) qui se concentre plus sur le design.
C'est le bouquin idéal si on veut scratcher l'une des unités à partir des kits existants (Sheffield 1940 et Birmingham 1940 chez WEM, Sheffield 1942 chez l'Arsenal 2.0, Belfast chez Airfix, Trumpeter, HP Models) et pourra servir de référence quand les fabricants de kits en injecté se décideront à produire ces très beaux croiseurs.

Et tout ça à un prix sympa :
https://www.amazon.fr/British-Town-Class-Cruisers-Southampton/dp/1526718855/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=british+town+class+cruisers&qid=1576257436&sr=8-1

_Bruno

Une bonne lecture pour les longues soirées d'hiver 

Hello Bruno,
Si tu as un profil couleur du Belfast en 1942 et 1943, je serais preneur d'une petite photo (un peu nette)...

DAGORNSON a écrit:

Hello Bruno,
Si tu as un profil couleur du Belfast en 1942 et 1943, je serais preneur d'une petite photo (un peu nette)...

Un truc comme ça ?



_Bruno

Bonjour,
Tout frais arrivé aujourd'hui, le dernier kit au 700e de Flyhawk : le cuirassé anglais HMS Agincourt, dans son état de 1916 (Bataille du Jutland)



Curieux destin pour ce gros cuirassé mis en chantier en 1911 en Angleterre sous le nom de Rio de Janeiro pour la marine brésilienne qui voulait "un cuirassé avec le plus de tourelles possible" pour avoir la supériorité sur les marines voisines, alors en froid avec ce pays.
Le navire ne comportait pas moins de 7 tourelles doubles de 305mm. Un cas unique dans les annales des cuirassés.

Ce fut le premier cuirassé conçu par Sir Eustace Tennyson d'Eyncourt, le grand architecte anglais qui révolutionna la construction navale militaire et commit également les Hood, Repulse, Renown, Nelson et Rodney ainsi que les croiseurs classe County dont nous voyons en ce moment plusieurs montages sur ce forum.

Durant la construction, la crise économique (le "crack du caoutchouc") toucha le Brésil et la tension montant avec l'Argentine voisine les anglais préférèrent vendre le navire inachevé aux turcs qui le nommèrent Sultan Osman I.
A la déclaration de guerre en 1914 les anglais saisirent le cuirassé, avec le cuirassé Resadiye (renommé Erin), pour compléter en urgence leur flotte. Les turcs protestèrent car ils avaient en partie payé les deux commandes et ne furent pas indemnisés. Ce camouflet fut déterminant dans la volonté des turcs de rejoindre le camp de l'Allemagne-Autriche-Hongrie. Merci Sir Winston Churchill, alors premier lord de la mer et f.. de m.. de première.

Il fut renommé Agincourt en l'honneur de la bataille d'Azincourt qui vit les chevaliers français défaits par les archers anglais. Trop grand pour les équipages standard il posait des problèmes de personnel et fut surnommé Gin Palace dans la Navy : un jeu de mot sur son nom, mais aussi sur le Gin qui était le cocktail à la mode chez les officiers de sa gracieuse Majesté.

Il s'illustra au Jutland en tirant 144 coups de 305mm sans qu'on sache jamais s'il avait atteint un but quelconque. Les témoins rapportèrent que lorsqu'il tirait une bordée de toutes ses 7 tourelles simultanément on avait l'impression qu'il avait pris feu (la poudre de l'époque dégageait beaucoup de fumée).
Il fut mis en réserve dès 1919 et ferraillé en 1924.

La maquette le représente dans son état de 1916, après suppression du grand pont volant au-dessus des tourelles centrales qui portait la drome.

Le kit Flyhawk est bien dans les standards de la marque. Moins de pièces qu'un Bismarck, mais les cuirassés de 1916 n'étaient pas bardés de canons AA et de radars.



La coque. Pas de carène... pour le moment. Flyhawk a annoncé une carène plus tard, soit en accessoire, soit sous la forme d'un kit "full hull". Dans l'intervalle un artisan chinois s'est dépêché de proposer une carène avec appendices en résine
https://item.taobao.com/item.htm?spm=a1z10.5-c.w4002-16519383877.64.3de1115cRgQOR6&id=609191488964







Les superstructures :









L'armement (2 grappes identiques) :



La drome :



La PE de la version Deluxe :



Les nombreuse pièces en laiton (canons et mâts) :



Un clin d’œil à l'histoire compliquée du bateau avec les pavillons de ses trois propriétaires. En réalité seul le White Ensign est cohérent pour 1916 : il a été vendu à la Turquie avant son achèvement et saisi par la RN avant sa mise en service.



La notice dans le plus pur style Flyhawk :





Enfin je me suis procuré en plus le pont en bois Flyhawk :



Bref, encore un très beau kit.
Pour les curieux, le prochain kit annoncé de Flyhawk sur le côté de la boite est le Gneisenau dans son état de 1940.

_Bruno