Dans un train régional, un contrôleur aborde un voyageur pour lui demander son titre de transport.
Le contrôleur lui dit en voyant son billet :
– Vous descendez à Espira de l’Agly ? Vous vous êtes trompés de train ! Depuis le mois dernier, ce train ne s’arrête plus à Espira de l’Agly. Vous auriez du prendre celui de 7h45 et non pas celui de 7h15 !
Le gars affolé lui répond :
– C’est pas possible ! Je DOIS descendre à Espira de l’Agly sinon je ne pourrai pas retrouver la femme que j’aime… Si je ne descend pas, elle croira que je ne l’aime pas et c’en sera fini de notre amour. Jamais plus je n’aurai l’occasion de la revoir.
Le gars insiste tellement que le contrôleur, un sentimental, s’attendrit et finit par dire :
– Bon d’accord. Je vais en parler au conducteur du train.
Quand il revient il lui explique :
– Il ralentira suffisamment en arrivant dans la gare de Espira de l’Agly pour que vous puissiez descendre en courant. Ça devrait aller, mais il faudra que vous courriez très vite dès que vous quitterez le marchepied du train car le train n’ira jamais moins vite que 30 km/h. Pour vous donner toutes vos chances, je vous tiendrai en l’air en vous tenant par dessous les bras avant de vous lâcher…
Alors, lorsque le train arrive en vue de la gare de Espira de l’Agly, le contrôleur ouvre la porte.
Il prend le voyageur sous ses aisselles et lui demande de commencer à courir dans le vide…
Et le voyageur court, de plus en plus vite alors que le train ralentit.
Finalement, le contrôleur descend le voyageur au niveau du quai de gare en lui criant de continuer à courir le long du train pendant quelques secondes sinon c’est la chute assurée.
Ce que fait notre gars…
Jusqu’à ce qu’un passager du train, debout à la porte du wagon suivant n’aperçoive cet homme en train de courir pour attraper son train et ne l’attrape par le col de sa veste pour le hisser dans le train en lui disant :
– T’as de la chance que j’ai été là pour te faire monter, ce train ne s’arrête même pas à Espira de l’Agly !
_________________
À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" pour refaire, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
Le contrôleur lui dit en voyant son billet :
– Vous descendez à Espira de l’Agly ? Vous vous êtes trompés de train ! Depuis le mois dernier, ce train ne s’arrête plus à Espira de l’Agly. Vous auriez du prendre celui de 7h45 et non pas celui de 7h15 !
Le gars affolé lui répond :
– C’est pas possible ! Je DOIS descendre à Espira de l’Agly sinon je ne pourrai pas retrouver la femme que j’aime… Si je ne descend pas, elle croira que je ne l’aime pas et c’en sera fini de notre amour. Jamais plus je n’aurai l’occasion de la revoir.
Le gars insiste tellement que le contrôleur, un sentimental, s’attendrit et finit par dire :
– Bon d’accord. Je vais en parler au conducteur du train.
Quand il revient il lui explique :
– Il ralentira suffisamment en arrivant dans la gare de Espira de l’Agly pour que vous puissiez descendre en courant. Ça devrait aller, mais il faudra que vous courriez très vite dès que vous quitterez le marchepied du train car le train n’ira jamais moins vite que 30 km/h. Pour vous donner toutes vos chances, je vous tiendrai en l’air en vous tenant par dessous les bras avant de vous lâcher…
Alors, lorsque le train arrive en vue de la gare de Espira de l’Agly, le contrôleur ouvre la porte.
Il prend le voyageur sous ses aisselles et lui demande de commencer à courir dans le vide…
Et le voyageur court, de plus en plus vite alors que le train ralentit.
Finalement, le contrôleur descend le voyageur au niveau du quai de gare en lui criant de continuer à courir le long du train pendant quelques secondes sinon c’est la chute assurée.
Ce que fait notre gars…
Jusqu’à ce qu’un passager du train, debout à la porte du wagon suivant n’aperçoive cet homme en train de courir pour attraper son train et ne l’attrape par le col de sa veste pour le hisser dans le train en lui disant :
– T’as de la chance que j’ai été là pour te faire monter, ce train ne s’arrête même pas à Espira de l’Agly !
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À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" pour refaire, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.