machinerie de type Gems SUZOR

Bonsoir,

Cette machine de Gems Suzor a enfin quitté le carton des projets :


Mon montage :


On ne la reconnaît pas car il s’agit de son petit frère modifié pour faire 1.35 cm3 … Par contre le fonctionnement de la machinerie est identique à celle de la vaporisation instantanée telle que Gems SUZOR la décrivait : deux pompes dont l’une assure le démarrage, une autre couplée au moteur qui prend le relais et alimente le moteur selon ses besoins.
La vanne by-pass est le seul ajout que je me sois permis. Mais elle sert surtout de sécurité pour un arrêt rapide.

Le serpentin est long de 3 mètres et enroulé en forme de 8, un brûleur à 3 tubes de 45 trous de 1.8 de diamètre et un gicleur de 0.3, soit 140 g/h. Si on pousse au maximun, le tube vide rougit très très vite … A éviter.

Ce moteur tourne entre 2800 et 3000 trs/mn, pas assez régulièrement à mon goût. La pression atteinte estimée avec des calculs que je préfère taire car peut être farfelus, doit être d’environ 3 bars absolus.

Il peut tourner beaucoup plus vite (voir la toute demière partie de la vidéo) mais je ferai de nouveaux essais le jour où je lui aurais donné une pompe adaptée.

Une bien belle mécanique, bravo !

Bien le bonjour 

je regarde avec toujours autant de plaisir tes montages et essais

Bonsoir,
C'est toujours un plaisir de lire vos commentaires.

Bonjour, 

Une année qui s’est bien terminée avec le fonctionnement de cette machinerie :




Un fonctionnement plus régulier grâce à l’IDEE de Michel S. qui m’a suggéré d’installer un réservoir de vapeur comme sur le générateur SCOTT, ce réservoir de vapeur disposé dans la cheminée va compléter la surchauffe et va uniformiser le flot de vapeur . De plus son volume complète celui du serpentin et le rapport minimum de 1/10 entre V du serpentin et V du moteur est respecté.
Ce fonctionnement serait bien plus performant si … je reconstruisais ce moteur qui a tourné des heures dans des conditions pas toujours acceptables et parfois sans huile … (petit graisseur à déplacement qui se vidait sans m’avertir !).
Ainsi, démontage et vérification du piston qui ne fait plus que 11, 94 au lieu de 12. Nouveau piston mais il est certain que la cylindre a lui aussi souffert.
Aventure terminée.

Bonsoir,
"Ingénieur", comme tu y vas ... Dommage que mon instituteur de l'époque où je me préparais péniblement (surtout ne pas faire 5 fautes en dictée ) au concours d'entrée en 6ème, ne puisse plus lire cela. L'une de ses réflexions qui m'ont marqué à cette époque : "Toi tu feras un bon ingénieur des travaux finis." Bof ... je suis quand même allé en ème ... au Lycée technique de Boulogne-sur-mer.