Fabien L a écrit: Bravo pour ton modèle très original effectivement.
Décidément il n'y avait pas que les allemands qui avaient des problèmes de communication (le mot est faible) entre Kriegsmarine et Luftwaffe
Depuis que Goëring avait annonçé : "Tout ce qui vole est à moi" il est certain que cela avait du jeter un froid...
D'où, je pense, comme sur les bateaux italiens, ces immenses svastikas sur les ponts des navires allemands.
Les anglais n'avaient pas ces problèmes me semble t'il... ???
Je plussoies avec mes petits camarades pour demander des photos plus détaillées... si possible ! bien sûr !
Fabien
ca vient aussi de la différence de théatre d'opération...
la guerre passant, les allemands et les italiens ont du se restreindre à naviguer près des côtes, là ou l'aviation était plus présente.
Au large dans l'atlantique où les navires de surface de l'axe étaient on ne peut plus rares, les alliés n'avaient a craindre quer les sous-marins.
(et leurs communications étaient aussi meilleures)
Dans le pacifique, la taille des différents théatres n'ont pas imposé ce genre de marquage.
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo