L'ancien a écrit: Compte tenu du fait que le site appartient au musée de la marine, j'ai demandé au Directeur de relations publiques l'autorisation de publier le reportage, j'attends son accord.... De ce fait en attendant je l'ai passé dans la corbeille, il en ressortira dès accord !Voici le message envoyé à Mr PINTAT Directeur.
De Michel L'ancien à Monsieur PINTAT
monsieur,
Suite à notre entretien téléphonique de ce jour, en tant que modérateur d'un forum dénommé la ROYALE.
site : http://naval.forumactif.fr/forum.htm
J'ai l'honneur de vous demander l'autorisation de publier des photos de votre diorama et d'indiquer sur celui-ci à l'aide de chiffres l'emplacement des photos prises.
Nous ne publierons pas l'intérieur du musée.
Pourrons nous publier l'ancre devant laquelle est photographié le visiteur ?
Je vous remercie de bien vouloir donner une suite favorable à ma requête et dans l'attente vous prie d'accepter mes remerciements anticipés.
Michel l'ancien modérateur du forum la Royale.
Amicalement à tous, @
la démarche est louable
et d'un extreme correction
(et qui sait, ca nous fera peut etre une bonne pub)
mais était-elle vraiment nécessaire ?
Il n'y avait pas de démarche commerciale (faire un bouquin par exemple), Koz nous a fait partager des photos privées qu'il a prise lors d'une de ses visites...
Bref, faut voir la réponse qu'il va nous donner...
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo