Merci Marco !
Comme le SotS, la Caroline est un modèle exigeant, mais très gratifiant !
Pour Glénans, je me suis fendu illico d'un petit plan du socle qu''on voit sur quelques unes de mes dernières photos, et j'ajoute deux remarques importantes omises jusqu'ici :
1 - Il est bien de monter le modèle sur son ber définitif avant de coller la mâture et de ne pas attendre qu'il soit fini : c'est plus simple de le manipuler lors des ajustements, et il est facile alors de bien jauger la verticalité de la mâture, qui est le juge de paix de l'esthétique finale d'un modèle - faire l'inverse (installer la mâture, ensuite l'installer sur son support, risque de se révéler finalement beaucoup plus compliqué pour obtenir un résultat bien aligné)
2 - Ma remarque A ci-dessus : laisser une large marge sous la quille, et plutôt plus que pas assez : un bateau un peu plus haut perché gagne en élégance, le regard se glisse mieux le long des lignes d'eau de la carène, alors qu'affalé sur son socle, il se confond avec lui, et prend un aspect de navire échoué
Surtout, avec du vent sous la quille, on peut ajouter une plaque gravée avec le nom et l'année de lancement du vaisseau, qui donne selon moi un cachet supplémentaire
Beaucoup de modélistes chevronnés dressent leurs bateaux sur des pylônes de laiton : pas mal non plus, mais il faut le prévoir dès la pose des couples sur la quille, puisque des renforts cachés et des percements pour des tiges filetées doivent être incorporés à la structure dès le début du chantier
Cette dernière façon de faire s'apparente à la technique du "porte-manteau", déjà suggérée par ailleurs, mais qui comporte la même contrainte de préparation en amont
Amitiés,
Christian
Comme le SotS, la Caroline est un modèle exigeant, mais très gratifiant !
Pour Glénans, je me suis fendu illico d'un petit plan du socle qu''on voit sur quelques unes de mes dernières photos, et j'ajoute deux remarques importantes omises jusqu'ici :
1 - Il est bien de monter le modèle sur son ber définitif avant de coller la mâture et de ne pas attendre qu'il soit fini : c'est plus simple de le manipuler lors des ajustements, et il est facile alors de bien jauger la verticalité de la mâture, qui est le juge de paix de l'esthétique finale d'un modèle - faire l'inverse (installer la mâture, ensuite l'installer sur son support, risque de se révéler finalement beaucoup plus compliqué pour obtenir un résultat bien aligné)
2 - Ma remarque A ci-dessus : laisser une large marge sous la quille, et plutôt plus que pas assez : un bateau un peu plus haut perché gagne en élégance, le regard se glisse mieux le long des lignes d'eau de la carène, alors qu'affalé sur son socle, il se confond avec lui, et prend un aspect de navire échoué
Surtout, avec du vent sous la quille, on peut ajouter une plaque gravée avec le nom et l'année de lancement du vaisseau, qui donne selon moi un cachet supplémentaire
Beaucoup de modélistes chevronnés dressent leurs bateaux sur des pylônes de laiton : pas mal non plus, mais il faut le prévoir dès la pose des couples sur la quille, puisque des renforts cachés et des percements pour des tiges filetées doivent être incorporés à la structure dès le début du chantier
Cette dernière façon de faire s'apparente à la technique du "porte-manteau", déjà suggérée par ailleurs, mais qui comporte la même contrainte de préparation en amont
Amitiés,
Christian