on a la même carte nous
Tu sais que tu es Parisien quand :
- Tu trouves ça normal de payer 2000€ de loyer pour un 3 pièces
- Tu captes au minimum 50 réseaux wifi dans ton appartement
- Quand le feu est rouge tu klaxonnes quand même, on sait jamais
- Tu arrives à esquiver les merdes de chiens sans même les regarder
- Tu connais par coeur les 300 stations de métro (enfin c'est surtout ce que tu fais croire...)
- Tu n'as jamais pris un bateau-mouche, et la dernière fois que tu es monté sur la Tour Eiffel tu avais 6 ans
- Tu sais que tu pourras jamais oublier le "tilititite" des bornes navigos même atteint d'azheimer
- Tu te répètes souvent que de la chance de vivre dans la plus belle ville du monde... surtout quand tu déprimes
- Tu n'as aucune gêne à pousser les gens pour rentrer dans un wagon de métro même si tu sais qu'il est blindé
- Tu payes 12 euros pour deux cocas en terrasse
- Tu te fais un malin plaisir à regarder les étrangers galérer dans TA ville
- Tu sais s'il faut te mettre en queue ou en tête de train selon la station ou tu va descendre pour gagner du temps
- Tes potes te parlent d'une ville et que tu demandes si c'est au nord ou au sud de paris ?
- Tu apprécies la première bouffée d'air (polluée) que tu inspires sur le quai de la gare en rentrant de vacances
En savoir plus: http://www.cartesfrance.fr/insolite/cartes-france-vue-par/carte-france-vue-par-parisiens.html#ixzz3gao2HFCl
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo