Et oui vous ne revez pas ! encore un modèle fini
Voici donc l'Akagi au 1/700 avec son pont en bois qui m'a donné bien du fil à retordre pour la pose des décals...
Problème résolu en badigeonnant abondamment le pont avec de la colle à bois diluée...
Pas de parc aérien, il est en transit et j'ai prévu d'essayer de l'intégrer dans un dio le représentant le 06/12/1941...
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
Voici donc l'Akagi au 1/700 avec son pont en bois qui m'a donné bien du fil à retordre pour la pose des décals...
Problème résolu en badigeonnant abondamment le pont avec de la colle à bois diluée...
Pas de parc aérien, il est en transit et j'ai prévu d'essayer de l'intégrer dans un dio le représentant le 06/12/1941...
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo