[GÉNÉRIQUE] Actualités Maritimes

Iceman29 a écrit:

c'est triste pour les ouvriers dans les chantiers...

mais honnêtement, cette barre HLM flottante déguelasse...... je ne vais pas pleurer de ne pas la voir à flot...

bref, j'aime PAS le tourisme de masse

pour la situation en Ukraine, j'aime bien les vidéos d'Ate :


Y a pas de quoi être optimiste...

Yuth a écrit:

Iceman29 a écrit:

c'est triste pour les ouvriers dans les chantiers...

mais honnêtement, cette barre HLM flottante déguelasse...... je ne vais pas pleurer de ne pas la voir à flot...

bref, j'aime PAS le tourisme de masse

Un air de ressemblance ? 



Ok je connais la sortie 

Une affaire étrange et plutôt inquiétante:

Extrait: plus ici https://www-thedrive-com.translate.goog/the-war-zone/44231/navy-releases-timeline-for-2019-uas-swarm-involving-warships-off-california?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

La marine US publie la chronologie du mystérieux «UAS Swarm» 2019 impliquant des navires de guerre au large de la Californie.

Une présentation officielle non expurgée montre comment une rencontre avec l'essaim d’objet s'est déroulée, ainsi qu'une image infrarouge censée montrer les véhicules.



Dans une mise à jour précédente sur notre enquête sur une série d' incidents d'essaims de drones en 2019 , The War Zone a publié une diapositive d'information intrigante, mais fortement expurgée . Étrangement, avant que notre appel ne puisse être entièrement traité, nous et d'autres déclarants FOIA avons reçu des versions complètement non expurgées de la même diapositive jointe à des demandes distinctes. La version non expurgée de la diapositive fournit plusieurs nouveaux détails, à savoir une chronologie des interactions entre le destroyer de classe Arleigh Burke de l'US Navy, l'USS Paul Hamilton , et plusieurs objets désignés par "UAS" ou systèmes aériens sans pilote. À notre connaissance, il s'agit du premier document accessible au public à utiliser le terme « essaim » en relation avec l'incident.

De plus, le matériel nouvellement publié comprend une image infrarouge de trois des objets. La qualité est trop faible pour montrer les caractéristiques d'identification des objets.

Quant à cette nouvelle chronologie, elle montre que l'incident a commencé vers 2 h 56, heure de Zulu, également connue sous le nom de Greenwich Mean Time , le 17 juillet, ou 19 h 56, heure locale, le 16 juillet. Les données de la Garde côtière américaine indiquent séparément que l'USS Paul Hamilton a cessé de diffuser sa position via le système d'identification automatique (AIS) environ 10 minutes plus tôt à 19h47, heure locale. Les navires de la marine américaine ne sont pas tenus de diffuser via AIS et désactivent parfois leur transpondeur pour réduire leur signature électronique globale dans des situations de sécurité accrue.

Bien que les journaux de pont n'indiquent pas pourquoi l'USS Paul Hamilton a désactivé son AIS, d'autres navires dans des circonstances similaires ce mois-là ont noté qu'ils avaient désactivé les transpondeurs AIS spécifiquement en raison d'une éventuelle activité UAS. De plus, les journaux indiquent que l'événement a commencé juste après l'allumage des feux de navigation.

Au début de l'incident, la chronologie indique qu'un UAS a été repéré à une distance d'environ un mille nautique. Vingt minutes plus tard, la chronologie indique que deux UAS ont été vus et que l'un d'eux est tombé à l'eau. À 20 h 26, heure locale, plusieurs UAS ont été repérés. La chronologie indique également que le pont a pu voir des feux rouges clignotants.

À 20 h 50, heure locale, la chronologie indique un « essaim d'UAS ». À 21h11, la chronologie indique que l'un des objets était directement au-dessus de la tête à 2 000 pieds. Juste une minute plus tard, tous les objets ont semblé changer de cap et s'éloigner du navire à 60 nœuds, soit 69 milles à l'heure. Cependant, huit minutes plus tard, des drones ont de nouveau été aperçus derrière le navire. Le dernier événement noté sur la diapositive est le moment où l'un des UAS a traversé le navire à environ 2 000 pieds. Au total, l'événement a semblé durer de 19h56 heure locale jusqu'à 22h39, soit un total de deux heures et 49 minutes……

… En ce qui concerne les journaux de pont plus généralement, les registres d'autres navires, tels que l' USS Omaha , sont incomplets, apparemment parce qu'ils n'ont jamais été créés en premier lieu. Pour un événement aussi majeur qui a abouti à une enquête et au briefing du chef des opérations navales, le fait que les journaux de pont n'aient même jamais été conservés ou récupérés sur l'un des navires impliqués est déroutant.

Alors que la dernière version fournit une image supposée des objets, elle est si peu claire qu'elle n'ajoute pratiquement rien à notre compréhension. On ne sait toujours pas dans quelle mesure la Marine elle-même comprend ces incidents, malgré la gravité d'être envahie à plusieurs reprises par des avions inconnus à proximité des eaux territoriales. Compte tenu de la vaste gamme de capteurs déployés à bord d'une flotte de leurs navires de guerre les plus avancés qui ont été impliqués dans ces événements, il y a probablement une énorme quantité de données qu'ils ne diffusent pas au public et ne commentent même pas de manière anecdotique.

Nous continuerons à enquêter et à tenir les lecteurs informés de ce que nous apprenons sur ces événements étranges et sur la réponse de la Marine à ceux-ci.

[#CLEMENCEAU22]

Le 07/02, le BCR Marne a effectué un ravitaillement à la mer combiné avec l’USS Ross. Une manœuvre logistique exigeante qui traduit le haut niveau d’interopérabilité entre la Marine nationale et l'US Navy.

Hello,
Superbes photos, on reconnait la FREMM Normandie, et sur les 2 dernières photos, ce n'est plus l'USS Ross, mais le Juan de Bourbon...

Merci pour les photos !

Iceman29 a écrit:

Le porte-avions Charles de Gaulle a pris la mer ce mardi 1er février pour la mission #Clemenceau22. […]
[…]

Amusant ? le pétrolier Marne accompagné de la frégate (FDA) Marne (??)
Qui donc a rédigé le texte de ce dessin ? Avec l'accent aigu sur le nom de Clemenceau ?

Un Rafale Marine effectue un atterrissage d'urgence, Malte.
[…]
Un Dassault Systèmes Rafale M de la Marine Nationale (Marine française) actuellement embarqué sur le porte-avions français Charles de Gaulle s'est dérouté vers l'aéroport international de Malte hier soir après que la buse de la sonde de ravitaillement s'est rompue et que le chasseur de première ligne de la Marine française n'a pas pu recevoir de carburant pour retourner au transporteur. […]

« Dassault Systèmes » ? Pas plutôt « Dassault Aviation » ?
« transporteur » ? Traduction (servile) de « carrier » ?

[…] Le Charles de Gaulle est le vaisseau amiral de la Marine française. […]

Expression pour dire que c'est le plus gros bâtiment ? Mais ce n'est pas le seul à avoir les capacités d'embarquer un amiral, et de conduire une Task Force.
De plus, la Marine française n'est pas une force opérationnelle (et, qui plus est, unique).
Elle est constituée plusieurs Forces maritimes : FAN ; ALAVIA ; FOST ; ALFUSCO etc. qui sont des entités organiques.

[…] Le navire est le dixième porte-avions français […]. Elle porte le nom de l'homme d'État et général français Charles de Gaulle.[…]

En français, le navire (ou le bâtiment) n'est pas du genre féminin ; au contraire de l'anglais.

Dernière édition par DahliaBleue le Dim 13 Fév 2022 - 14:14, édité 1 fois

Bien vu DahliaBleue 

Une petite mise au point nécessaire, effectivement.

Bonsoir les marins.
Je lis ci-dessus qu'il y a eu 10 PA Français....
Or une simple analyse sur la toile ne m'en montre que 8 (PA d'escadre) et 1 d'escorte
Quel serait ce mystérieux dixième ?...

Pour les erreurs de traductions Google vous corrigerez par vous même, comme vous le faite, bien sûr, car je n'en ai pas le temps parfois, les articles font parfois plusieurs milliers de caractères.. Je veux bien faire ça bénévolement, mais faut pas exagérer non plus.   Merci.

Quant aux erreurs sur la photo, vous pouvez toujours envoyer vos doléances à l'auteur ( Belge, je crois ) qui a publié l'article sur le site Air Et Cosmos:

https://air-cosmos.com/article/dmonstration-de-force-pour-le-porte-avions-charles-de-gaulle-et-son-escorte-25856

Armée française - Opérations militaires / EtatMajorFR

Djibouti | Depuis 2 semaines, un Atlantique 2 ( ATL2 ) est déployé aux @FFDJ ( Forces Françaises stationnées à Djibouti) effectue des missions au profit de  EUNAVFOR ATALANTE de lutte contre la piraterie au large de la Somalie.

Une mission qui contribue à la sécurité de cette zone et à l’appréciation autonome de situation.

D'autres photos de Clemenceau 22:

MOSCOU, 12 février (Reuters) - Plus de 30 navires de la flotte russe de la mer Noire ont entamé des exercices d'entraînement près de la péninsule de Crimée dans le cadre d'exercices navals de plus grande envergure, a rapporté samedi l'agence de presse RIA en citant la flotte, alors que les pays occidentaux mettent en garde contre le risque d'une guerre en Ukraine à tout moment.

Le croiseur à missiles guidés Moskva et la frégate Admiral Grigorovich de la marine russe avant le défilé de la Journée de la marine dans le port de Sébastopol, en Crimée, sur la mer Noire, le 23 juillet 2021. REUTERS/Alexey Pavlishak


Les mouvements militaires de la Russie font l'objet d'un examen minutieux, car le rassemblement de troupes près de l'Ukraine et une volée de discours bellicistes ont ébranlé l'Occident et suscité des inquiétudes quant à son intention d'envahir l'Ukraine. Moscou nie tout plan d'invasion, affirmant qu'elle maintient sa propre sécurité contre l'agression des alliés de l'OTAN.

RIA a déclaré que plus de 30 navires russes ont quitté les ports de Sébastopol et de Novorossiisk "conformément aux plans des exercices" près de la Crimée, que la Russie a annexée à l'Ukraine en 2014.

RIA a déclaré que l'objectif des exercices était la défense de la côte de Crimée, des avant-postes de la flotte de la mer Noire ainsi que du secteur économique et des communications navales.

La Russie a annoncé le mois dernier que sa marine organiserait une vaste série d'exercices impliquant toutes ses flottes ce mois-ci et le mois prochain, du Pacifique à l'Atlantique, dernière démonstration de force dans le cadre d'une montée en puissance de l'activité militaire pendant le bras de fer avec l'Occident.

Reportage de Vladimir Soldatkin Rédaction de Frances Kerry

(c) Copyright Thomson Reuters 2022.

Hello, 
Tes photos sont superbes !   et oui, ne t'inquiètes pas, on fait tous des copier/coller sans prendre le temps d'approfondir, mais rein de grave, au contraire ça nous permet d'analyser ces infos et trouver les incohérences... Part contre, pour l'auteur en question, il pourrait un peu mieux se renseigner... 
Bon plaisanterie mis à part, on peut enfin identifier cette fameuse frégate grecque qu'il n'a pas réussi  à identifier:
F459, classe Elli, c'est donc l'Adrias (mer adriatique en grec) , c'est une classe basée sur la classe Kortenaer hollandaise...

Splendide collection de photos !
Bien joué pour Air&Couscous !

Iceman29 a écrit:

Une affaire étrange et plutôt inquiétante:

Extrait: plus ici https://www-thedrive-com.translate.goog/the-war-zone/44231/navy-releases-timeline-for-2019-uas-swarm-involving-warships-off-california?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

La marine US publie la chronologie du mystérieux «UAS Swarm» 2019 impliquant des navires de guerre au large de la Californie.

Une présentation officielle non expurgée montre comment une rencontre avec l'essaim d’objet s'est déroulée, ainsi qu'une image infrarouge censée montrer les véhicules.



Dans une mise à jour précédente sur notre enquête sur une série d' incidents d'essaims de drones en 2019 , The War Zone a publié une diapositive d'information intrigante, mais fortement expurgée . Étrangement, avant que notre appel ne puisse être entièrement traité, nous et d'autres déclarants FOIA avons reçu des versions complètement non expurgées de la même diapositive jointe à des demandes distinctes. La version non expurgée de la diapositive fournit plusieurs nouveaux détails, à savoir une chronologie des interactions entre le destroyer de classe Arleigh Burke de l'US Navy, l'USS Paul Hamilton , et plusieurs objets désignés par "UAS" ou systèmes aériens sans pilote. À notre connaissance, il s'agit du premier document accessible au public à utiliser le terme « essaim » en relation avec l'incident.

De plus, le matériel nouvellement publié comprend une image infrarouge de trois des objets. La qualité est trop faible pour montrer les caractéristiques d'identification des objets.

Quant à cette nouvelle chronologie, elle montre que l'incident a commencé vers 2 h 56, heure de Zulu, également connue sous le nom de Greenwich Mean Time , le 17 juillet, ou 19 h 56, heure locale, le 16 juillet. Les données de la Garde côtière américaine indiquent séparément que l'USS Paul Hamilton a cessé de diffuser sa position via le système d'identification automatique (AIS) environ 10 minutes plus tôt à 19h47, heure locale. Les navires de la marine américaine ne sont pas tenus de diffuser via AIS et désactivent parfois leur transpondeur pour réduire leur signature électronique globale dans des situations de sécurité accrue.

Bien que les journaux de pont n'indiquent pas pourquoi l'USS  Paul Hamilton a désactivé son AIS, d'autres navires dans des circonstances similaires ce mois-là ont noté qu'ils avaient désactivé les transpondeurs AIS spécifiquement en raison d'une éventuelle activité UAS. De plus, les journaux indiquent que l'événement a commencé juste après l'allumage des feux de navigation.

Au début de l'incident, la chronologie indique qu'un UAS a été repéré à une distance d'environ un mille nautique. Vingt minutes plus tard, la chronologie indique que deux UAS ont été vus et que l'un d'eux est tombé à l'eau. À 20 h 26, heure locale, plusieurs UAS ont été repérés. La chronologie indique également que le pont a pu voir des feux rouges clignotants.

À 20 h 50, heure locale, la chronologie indique un « essaim d'UAS ». À 21h11, la chronologie indique que l'un des objets était directement au-dessus de la tête à 2 000 pieds. Juste une minute plus tard, tous les objets ont semblé changer de cap et s'éloigner du navire à 60 nœuds, soit 69 milles à l'heure. Cependant, huit minutes plus tard, des drones ont de nouveau été aperçus derrière le navire. Le dernier événement noté sur la diapositive est le moment où l'un des UAS a traversé le navire à environ 2 000 pieds. Au total, l'événement a semblé durer de 19h56 heure locale jusqu'à 22h39, soit un total de deux heures et 49 minutes……

… En ce qui concerne les journaux de pont plus généralement, les registres d'autres navires, tels que l' USS Omaha , sont incomplets, apparemment parce qu'ils n'ont jamais été créés en premier lieu. Pour un événement aussi majeur qui a abouti à une enquête et au briefing du chef des opérations navales, le fait que les journaux de pont n'aient même jamais été conservés ou récupérés sur l'un des navires impliqués est déroutant.

Alors que la dernière version fournit une image supposée des objets, elle est si peu claire qu'elle n'ajoute pratiquement rien à notre compréhension. On ne sait toujours pas dans quelle mesure la Marine elle-même comprend ces incidents, malgré la gravité d'être envahie à plusieurs reprises par des avions inconnus à proximité des eaux territoriales. Compte tenu de la vaste gamme de capteurs déployés à bord d'une flotte de leurs navires de guerre les plus avancés qui ont été impliqués dans ces événements, il y a probablement une énorme quantité de données qu'ils ne diffusent pas au public et ne commentent même pas de manière anecdotique.

Nous continuerons à enquêter et à tenir les lecteurs informés de ce que nous apprenons sur ces événements étranges et sur la réponse de la Marine à ceux-ci.

Cela me fait penser à l'affaire du Nimitz en date du 14 novembre 2004.
La 3AF a été chargée de mener une enquête.
Descendre jusqu'à la page 15 du fichier PDF ci-dessous.
https://www.3af.fr/global/gene/link.php?doc_id=4339&fg=1

Merci Pastaga.

Sept morts et 14 disparus dans une tragédie maritime au large du Canada.

AFP
Mardi, 15 février 2022 08:44
MISE À JOUR Mardi, 15 février 2022 13:07

Sept marins ont péri et 14 sont portés disparus après le naufrage d’un chalutier espagnol au large du Canada, dans l’Atlantique, où des opérations de secours pour trouver des survivants étaient en cours mardi.

Un total de 24 membres d’équipage se trouvaient à bord de ce bateau, le «Villa de Pitanxo», lorsqu’il a fait naufrage mardi vers 04H30 GMT (00H30 localement) à 450 kilomètres au sud-est de Terre-Neuve.



Trois ont pu être secourus, sept ont été retrouvés morts et 14 sont portés disparus, a précisé Brian Owens, porte-parole canadien du centre de coordination et de sauvetage, qui gère les recherches.

Il a assuré que les secours canadiens avaient espoir de retrouver d’autres survivants dans la zone de recherche, malgré des conditions météorologiques défavorables.

«Le fait que nous ayons déjà trouvé trois survivants dans un canot de sauvetage nous donne l’espoir que d’autres aient pu enfiler leur combinaison de survie, monter dans un canot et quitter le bateau», a déclaré à l’AFP Brian Owens, un porte-parole des services de secours canadiens.

Le «Villa de Pitanxo», un chalutier de 50 mètres de long ayant pour attache le petit port de Marín, dans la province de Pontevedra, en Galice (nord-ouest de l’Espagne), n’a, à ce stade, toujours pas été retrouvé, a précisé ce porte-parole.

«Accident»

Selon les secours en mer espagnols, l’équipage était composé de 16 Espagnols, cinq Péruviens et trois Ghanéens. Parmi les marins espagnols, beaucoup venaient de Galice.

Le bateau a eu un «accident» et «a envoyé un signal de détresse», et deux navires sont venus à son secours, a déclaré à la presse Rosa Quintana, la responsable des Affaires maritimes du gouvernement régional galicien.

C’est un autre bateau espagnol, le «Playa Menduina Dos», qui a finalement retrouvé vers 09H30 GMT (05H30 locales) les corps des quatre victimes, ainsi que trois rescapés dans un canot de sauvetage, a précisé le ministère.

Ces trois marins, dont la nationalité n’a pas été précisée, ont été évacués en état d’hypothermie par un hélicoptère des secours en mer canadiens, a précisé Mme Quintana.

Selon la sous-préfète de Pontevedra, Maica Larriba, quatre canots de sauvetage au total ont été repérés par les secours, qui ont retrouvé plusieurs gilets de sauvetage et de nombreux objets sur les lieux du naufrage.

Les secours ont pu s’approcher de «trois d’entre eux: deux étaient vides, complètement vides», a-t-elle expliqué, ajoutant que les trois survivants ont été retrouvés dans le troisième canot.

«Une tragédie»

Selon le ministère des Transports espagnol, les causes de l’accident ne sont actuellement «pas connues». Les conditions météorologiques étaient néanmoins mauvaises, avec «du vent» et une «visibilité réduite», a-t-il précisé.

«La météo en ce moment complique nos recherches. Les vagues sont d’environ quatre mètres de haut et la visibilité est réduite à environ un quart de mile nautique», a confirmé Brian Owens, ajoutant que les recherches continueraient «quel que soit le temps».
Les secours canadiens ont déployé un hélicoptère, un avion militaire, un navire de la garde côtière et plusieurs bateaux pour mener les recherches au large de Saint-Jean de Terre-Neuve, la province canadienne la plus à l’est du pays.

«Nous suivons avec inquiétude les missions de recherche et de sauvetage de l’équipage du navire galicien», a réagi sur Twitter le premier ministre espagnol Pedro Sánchez, en manifestant «(son) amitié à leurs familles».

Le maire de Pontevedra, Miguel Anxo Lores, a fait part, lui aussi, de son «inquiétude», précisant que des marins des environs de cette ville étaient à bord du chalutier.
«C’est une tragédie», a confié, en larmes, la tante de l’un des marins du «Villa de Pitanxo», Jonathan Calderón, au quotidien galicien La Voz de Galicia. Âgé de 39 ans, ce dernier est père de deux enfants, a-t-elle précisé.

Le «Villa de Pitanxo», un chalutier d’une cinquantaine de mètres battant pavillon espagnol, appartient au groupe de pêche Nores, qui compte huit chalutiers frigorifiques et 300 employés, selon son site internet.

Contacté par l’AFP, le groupe n’était pas joignable mardi après-midi.

Avec la pandémie, une vague de faillites a fait sérieusement tanguer le secteur des croisières.

Conséquence : nombreux sont les géants des mers à avoir récemment fait une ultime traversée direction la ferraille. C’est ainsi qu’à Aliaga, en Turquie, les navires qui ne sont plus rentables sont désossés. Dans le même temps, des paquebots flambant neuf pouvant accueillir pas moins de 5000 passagers continuent de voir le jour.

C'est le cas aux chantiers navals de Papenburg, port fluvial allemand à la frontière avec les Pays-Bas.

Témoin de ces paradoxes, "ARTE Regards" a suivi à la fois la mise à la ferraille d’anciens palaces flottants et le convoyage jusqu’en mer du Nord de l’AIDAcosma. Ce navire est un des plus imposants et les plus modernes jamais construits.

Arte, 14 février 2022.

https://www.youtube.com/watch?v=q9HXnMGe7wU

Un cargo en feu est à la dérive au milieu de l'Atlantique sans équipage
Barry Hatton  | Associated press.

il y a 4 heures

Lisbonne, Portugal – Un navire de transport de voitures en feu a dérivé jeudi au milieu de l'Atlantique après l'évacuation des 22 membres d'équipage de l'énorme navire en raison de l'incendie, a annoncé la marine portugaise.

La navigation dans la région a été avertie que le Felicity Ace de 200 mètres de long (650 pieds de long) était à la dérive près des îles portugaises des Açores après le décollage de l'équipage mercredi, a déclaré le porte-parole de la marine portugaise, le Cmdr. a déclaré José Sousa Luís.

Le Felicity Ace peut transporter plus de 17 000 tonnes métriques (18 700 tonnes) de fret. En règle générale, les navires de transport de voitures transportent des milliers de véhicules sur plusieurs ponts dans leur cale.



Le groupe Volkswagen a déclaré dans un bref communiqué que le Felicity Ace transportait aux États-Unis des véhicules produits par le constructeur allemand. La société a refusé de commenter les conséquences que l'incident pourrait avoir pour les clients américains ou le groupe VW.

L'opérateur du navire, le japonais Mitsui OSK Lines, a déclaré dans un e-mail à l'AP qu'il ne pouvait pas fournir d'informations sur la cargaison.

Un navire de la marine portugaise a navigué vers le transporteur de véhicules, qui naviguait d'Emden en Allemagne vers le port de Davisville dans l'État américain du Rhode Island, selon des traqueurs de navires en ligne. Un communiqué de la marine a déclaré que le feu brûlait toujours et a montré une photographie de gros nuages ​​​​de fumée blanche qui s'échappaient.

Le navire de la marine devait vérifier si le cargo risquait de couler ou de causer de la pollution, a déclaré Sousa Luís à l'Associated Press.

Le propriétaire du navire cherche un remorqueur océanique, mais il est peu probable que le Felicity Ace soit remorqué vers un port des Açores au Portugal en raison de sa taille, a déclaré Sousa Luis.

L'équipage a été emmené par hélicoptère mercredi sur l'île de Faial dans l'archipel, à environ 170 kilomètres (100 miles) de là, et séjourne dans un hôtel là-bas. Aucun d'eux n'a été blessé.

Le Marin:

Le navire, exploité par Mol, doit lui être remorqué. Si l’incendie, qui se serait déclaré au niveau d’un pont garage, n’a pu totalement être maîtrisé, il n’y aurait pas de foyer de pollution selon la marine portugaise. Un de ses navires, le patrouilleur océanique NRP Setubal, stationne sur zone pour suivre l’évolution de la situation.
Battant pavillon panaméen, le Felicity Ace avait quitté Emden en Allemagne le 10 février pour rejoindre Davisville dans le Rhode Island, aux États-Unis, où il était attendu le 23. D’une capacité de charge de près de 18 000 tonnes, le navire de 200 mètres de long a été construit au Japon et livré en 2005.



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Le Chantier Naval Russe Sevmash Annonce qu'il Livrera L'amiral Nakhimov En 2022.

https://www.navalnews.com/naval-news/2022/02/russias-sevmash-shipyard-says-it-will-deliver-admiral-nakhimov-in-2022/



Le chantier naval Sevmash prévoit d'achever la livraison du croiseur à propulsion nucléaire de classe Kirov (projet 11442M) Admiral Nakhimov à la flotte russe du Nord en 2022.


Le croiseur lance-missiles lourd à propulsion nucléaire du projet 11442M, l'amiral Nakhimov, devrait devenir le navire de surface le plus puissant de la marine russe après ses réparations et sa mise à niveau au chantier naval de Sevmash.

Une fois tous les travaux terminés, le navire prendra la mer où l'équipe d'essai et l'équipage vérifieront le navire dans tous les modes opérationnels, a ajouté le bureau de presse.
Le chantier naval Sevmash effectue les réparations et la mise à niveau du croiseur Project 11442M sur son quai. Des travaux internes à grande échelle ont commencé à bord du navire de guerre. En particulier, les spécialistes sont le montage d'équipements, de systèmes, de peinture et d'isolation de compartiments, a précisé le bureau de presse.
Les constructeurs de navires chargeront et installeront plus de 5 000 équipements et plus d'un million d'articles divers sur le navire. Environ 200 km de canalisations et 1 800 km de câbles seront posés sur le futur fleuron de la Flotte du Nord. Tous les travaux d'installation électrique sont effectués par des spécialistes de l'entreprise Arktika. Le bureau de conception de Severnoye a créé un modèle 3D du navire pour l'élaboration de la documentation, a indiqué le bureau de presse.
Le PDG de Sevmash, Mikhail Budnichenko, a déclaré plus tôt que les travaux à bord du croiseur lance-missiles lourd de classe Orlan du projet 11442M, l'amiral Nakhimov, se déroulaient dans les délais. Selon lui, le navire de guerre devrait être livré à la marine russe en 2022.
L'amiral Nakhimov est en réparation au chantier naval de Sevmash depuis 1999. De vrais travaux sur le navire sont effectués depuis 2013.
La mise à niveau a considérablement amélioré les capacités de frappe du croiseur. En particulier, le navire de guerre emportera 10 lanceurs embarqués polyvalents pour huit missiles de croisière Kalibr-NK ou Onyx. À l'avenir, l'amiral Nakhimov emportera des missiles hypersoniques Tsirkon.

Note de la rédaction:

Les affirmations du PDG de Sevmash selon lesquelles le navire sera livré à la marine russe cette année semblent optimistes. Le directeur général adjoint du chantier naval a déclaré il y a six mois que les essais en mer post-modernisation commenceraient en 2023.

Pour la petite histoire, le « Admiral Nakhimov » (Projet 1144 « Orlan ») a été nommé « Kalinin » jusqu'en 1992. Il a été mis en chantier le 17 mai 1983 au chantier naval de la Baltique. Lancé le 25 avril 1986 et mis en service dans la marine soviétique le 30 décembre 1988. Le 22 avril 1992, il a été rebaptisé "Amiral Nakhimov".
Le navire est arrivé de Severomorsk à Severodvinsk au chantier naval de Sevmash pour subir des réparations et une modernisation en 1997. Le 14 août 1999, le navire a été officiellement accepté pour réparation et modernisation au chantier naval. Cependant, les travaux n'ont pas commencé pendant un certain temps et ce n'est qu'en septembre 2008 que le combustible nucléaire usé a été déchargé.

En 2012, le projet technique de modernisation du navire dans le cadre du projet 11442M a été achevé. Le 13 juin 2013, Sevmash a signé un contrat avec le ministère russe de la Défense d'une valeur de 50 milliards de roubles pour la réparation et la modernisation du croiseur, avec un délai contractuel pour son retour à la flotte en 2018. Le 24 octobre 2014, le croiseur a été introduit dans la piscine/cale sèche de Sevmash, après quoi les travaux de modernisation proprement dits ont commencé. Le navire a été remis à l'eau  en août 2020.

Les flammes engloutissent Un Ferry de Grimaldi voyageant de la Grèce vers l'Italie. Des passagers sont signalés piégés, disparus.

Mike Schuler

18 février 2022



ATHÈNES/ROME, 18 février (Reuters) - Onze passagers étaient portés disparus après qu'un incendie a ravagé un ferry reliant la Grèce à l'Italie tôt vendredi alors qu'une opération était en cours pour tenter de sauver deux personnes coincées dans le garage du navire, ont déclaré les garde-côtes grecs. .

Au total, 239 passagers et 51 membres d'équipage se trouvaient à bord de l'Euroferry Olympia battant pavillon italien lorsque l'incendie s'est déclaré, et des navires de sauvetage avaient emmené la plupart d'entre eux sur l'île de Corfou où les attendaient des ambulances.

L'incendie brûlait toujours vendredi après-midi et des images aériennes diffusées par les garde-côtes montraient des rangées de camions brûlés sur le pont noirci après que les flammes aient balayé le ferry de 183 mètres (600 pieds) qui avait fait un voyage de neuf heures dans la nuit. .

"Le pire, c'est que les voitures dans le garage sont collées les unes à côté des autres, il n'y a pas d'issue de secours", a déclaré un camionneur grec, qui n'a pas donné son nom, après son arrivée à Corfou.

Un hélicoptère était en attente pour transporter par avion deux passagers piégés dans le garage du navire, ont indiqué les garde-côtes, tout en confirmant que 11 passagers étaient portés disparus alors que les pompiers tentaient d'éteindre les flammes.

La cause de l'incendie fait toujours l'objet d'une enquête, ont indiqué les autorités grecques.

Au moins 10 personnes avaient été transportées dans un hôpital de Corfou, la plupart avec des problèmes respiratoires, a déclaré un responsable du ministère grec de la Santé à la télévision d'État, et il n'y a eu aucun rapport immédiat de blessures graves.

Plus tôt vendredi, des passagers se sont blottis dans des couvertures jaunes sur un navire de sauvetage italien alors que d'énormes panaches de fumée se déversaient du ferry, a montré une vidéo. Le mot "MAYDAY" retentissait à plusieurs reprises dans les haut-parleurs, dans les images téléchargées sur le site d'information grec Proto Thema.

Le ferry partait d'Igoumenitsa, le plus grand port de l'ouest de la Grèce, et se dirigeait vers le port italien de Brindisi. Il transportait 153 véhicules, dont de nombreux camions, a déclaré Grimaldi Lines, le propriétaire du navire.

L'incendie s'est déclaré alors que le navire se trouvait près de Corfou dans la mer Ionienne. Quelques heures après le déclenchement de l'alarme, le navire était toujours en feu, dérivant dans les eaux albanaises, a déclaré Grimaldi Lines.

Le porte-parole de Grimaldi Lines, Paul Kyprianou, a déclaré à Reuters qu'il y avait des indications que l'incendie s'était déclaré dans l'une de ses cales. La compagnie met tout en œuvre pour aider les passagers – la plupart venant de Bulgarie, de Roumanie et de Turquie – à rentrer chez eux, a-t-il ajouté.

"Les flammes étaient incroyablement hautes, nous étions à quelques kilomètres du ferry quand c'est arrivé", a déclaré le colonel Felice Lodovico Simone Cicchetti de la police financière italienne, qui a participé à l'opération de sauvetage.

"Le feu était si grand et si rapide qu'en cinq minutes, il est devenu ingérable pour les personnes à bord."

En 2014, 10 personnes ont été tuées lorsque le car-ferry Norman Atlantic transportant 466 passagers et membres d'équipage a pris feu alors qu'il naviguait de la Grèce vers l'Italie.

(Reportage supplémentaire de Karolina Tagaris, Renee Maltezou et Lefteris Papadimas à Athènes et Giulia Segreti à Rome; Écriture de Karolina Tagaris; Montage par Alison Williams)

Un grand coup de chapeau pour ce suivit de l'actualité maritime, encore !
Jean