Je me suis refais une vraie hache d'incendie ( voir la page d'avant ), elle était trop schématique.. J'ai posé les flexibles de soutage ou pour transférer de l'air comprimé.
Ces remorqueurs pouvaient amener des soutes à d'autres navires et aussi de l'air comprimé pour redémarrer en cas de problème.
Ce type de canot en métal semble correspondre au niveau forme à ce qui était utilisé sur ces remorqueurs, je vais simplement modifier la forme de la poupe et de la proue pour que ça corresponde au mieux à la photo et le raccourcir.
Un article sur le ST8 du Havre, je me souviens encore de le voir dans le port du Havre dans les années 70 remorquant des barges du PAH ( Port Autonome du Havre, on voit le sigle du PAH sur la cheminée bleu, un ami y était patron, décédé il y a peu.).
encore merci à Roland pur cet article de sa collection.
Pas tout à fait les même remorqueur que la classe Woban comme le Nokomis ou le Hoga, il est plus récent (1944).
"Le ST 8 est un remorqueur portuaire et côtier construit en 1944 par le chantier J.K. Welding & Co de Brooklyn (New York) sous le nom USST 488 pour les forces armées américaines.
Mis en service le 5 juillet 1944 il et est envoyé au Ecosse à bord d’un cargo. Il traverse ensuite la Manche au sein d’un convoi pour rallier le 9 octobre 1944 Le Havre et intégrer le 16e groupe portuaire de l’US Navy. Jusqu’en 1946, le remorqueur est utilisé au port du Havre mais aussi à Arromanches, pour assister des navires de guerre et de transport américains.
En 1947, il est acheté avec quatre autres remorqueurs du même type par le port autonome du Havre et prend alors le nom de ST 8 et sera utilisé jusqu’en 1979. Il est alors mis en réserve lors de l’arrivée du CAUX en 1981 et finalement désarmé en 1989 après 45 années de bons et loyaux services.
Il est enfin sauvé du démantèlement en 1993 et le le port autonome du Havre l’offre au Musée maritime qui le confie à l’Association remorqueur USST 488, créée en 1994 qui en assure la restauration et la remise en état d’origine.
L’équipage de ce remorqueur était de 6 hommes (1 commandant, 1 chef mécanicien, 1 membre d’équipage, 2 matelots et 1 graisseur). L’équipage logeait dans le rez-de-chaussée du bloc passerelle s’y trouvait aussi la cuisine et les sanitaires. Le logement du commandant se trouvait au premier étage du bloc passerelle
Oui, ce sont ceux là, Achetés chez, Steamboats and propeller ,dans l'Ohio, Site qui a disparu, je les ai tous mis au 1/33 et que je vous avais envoyé,avec le dossier photos Bateau sympa a construire et a naviguer, soit en version militaire ou version civil Michel
Ah, bon, C'est peut etre a Roland, en tout cas ce sont mes plans, il y a un plan de l'U R O, que j'avais trouvé chez un capitaine de remorqueur, dans son grenier.et je reconnais mes annotations. Roland m'avait envoyé les sites que vous nommez et récupéré les plans,le site des plans a disparu depuis, et photos J'avais acheté ces plans le 7 janvier 2004, chez Paddlewheels and props pas a celui cité plus haut, de mémoire,
Le tube des plans , Le site a disparu depuis. c'est dommage,il y avait des plans de qualité
Oui, certains site disparaissent avec le décès de leur concepteur et le reste avec..
Je suis à la recherche des plans du Porte-avions Hornet CV-8 aux USA , plans d'ensemble d'origines, le gars qui pouvait vendre des repros est décédé il y quelques années, du coup impossible de retrouver ces plans, j'en ai de très petits bouts inutilisables.
Votre père n'a pas navigué dans la Marine Marchande, à tout hasard?
Un exemple de fixation d'un ancre de rechange ici sur une cloison. Photo selfie perso, beaucoup plus jeune que maintenant, il y a 25 ans, mais la photo numérique existait déjà.
Fallait pas être pressé pour mouiller sur ces remorqueurs, mais ils mouillaient rarement d'après le copain Tom, qui a navigué sur ce type de remorqueur.
"Quand j'étais à bord de ces bateaux, nous n'avons jamais jeté l'ancre, même une fois. "
D'après Tom, les oreilles des ancres pouvaient être percés d'une fente pour pouvoir être saisies solidement à la cloison ou sur le pont.
Tom m'avait posté cette image. Je vais en tenir compte.On a rien trouvé dans le manuel du marin de US Navy concernant le saisissage.
J'ai dessiné les râteliers de manches incendie, reste les lances des manches à dessiner, fixées sur la cloison.
Bonjour Iceman J'avais vu chez Shapeways, des petites chaines en impression, 3D, En meme temps que mes Oerlikons au 1/32, j'avais acheté une chaine pour voir l'aspect, elle a une maille de cinq mm, il en existe des trois mm, et une ancre US Navy, vendues par deux,
Canons de 20 mm, au 1/32,impression 3D de Shapeways; La boite est celle des memes canons a la meme échelle,,de marque espagnole Talhoer en métal blanc, de trés bonne facture Michel
Merci pour la photo de ces ancres qui sont calquées sur la photo que j’ai posté.
Quant à Shapeways, j’ai fait un test chez eux et je n’ai pas réussi à faire imprimer mes pièces car mes dessins au niveau définition peuvent descendre à 0,25 mais généralement à 0,3.
Chez Shapeways, on est limité à 0,6 mm, ce qui réduit drastiquement la précision des pièces imprimées. C’est très visible sur tes Oerlikons même au 1/33, alors imagine ce canon au 1/200, ou 1/350 avec ce type résolution, la simplification du dessin ne serait pas exploitable pour un modéliste à ces échelles courantes.
La résolution d’impression des imprimantes résines grand public est nettement meilleur que les productions de Shapeways, et ça s’améliore d’année en année. Sinon de mois en mois. Shapeways est un peu largué à ce niveau sur les impressions résine, je ne parle pas des prix pratiqués.. Donc j’ai oublié, j’imprime moi-même, ça permet de tout maîtriser.
Je dois dessiner et imprimer un Oerlikon simple pour Georges (Barnouic) pour ses projets au 1/33. Ça fera un type de canon en plus dans ma collection, j’en ai dessiné quelques un déjà pour mes projets.
Le dessin doit être adapté à l’échelle voulue parfois.
Petit affût quadruple de 13,2 mm / Mitrailleuses Hotchkiss 1/72:
Pas trop avancé aujourd'hui, je tacherais de me rattraper demain.
J'ai dessiné les deux échelles pour accéder au pont passerelle. Puis je me suis interessé au mat de charge qui est costaud sur ce petit navire. La forme de la corne n'est pas conique comme souvent, c'est un simple tube droit, facile à fabriquer à l'époque. A modifier.
Le mat supporte aussi le projecteur éclairant la manoeuvre arrière, plus certains feux de navigations sur le plan du moins, le feux de route arrière blanc est fixé au bastingage arrière comme souvent, on peut le voir sur la photo.
Il est prévu pour le 1/100 et 1/350, mais rien n'empêche de l'imprimer au 1/33 ( 90 cm de long et 23 cm de large ), il serait découpé en 5 tranches sur la longueur, elles même divisée en deux sur la largeur.
Ca ferait un beau bébé.. Il faudrait bien gérer les épaisseurs à cause du poids.
Il suffirait de faire une petite adaptation des dessins pour avoir des détails plus précis au 1/33.
C'est ce que j'ai déjà réalisé avec le pétrolier T2 Pamanset au 1/200, 80 cm de long, et 14 blocs au total ( 8 tranches sur la longueur).
Je n'avais pas mon imprimante de maintenant à l'époque qui a une bien meilleur precision et capacité d'impression que la Photon S.
J'avais aussi bien moins d'expérience..
Je me pose toujours la question de savoir pourquoi je me suis lancé dans un projet aussi complexe pour un premier navire construit avec cette technique.. Le premier confinement a bien aidé..
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