Au cimetière
Un paysan va sur la tombe de sa femme pour la fête de la Toussaint.
– Ah, Marie ! pleurniche-t-il, tu n’imagines pas comme tu me manques ! Sans toi je ne suis plus rien, je n’ai goût à rien. Je m’occupe à peine des bêtes, j’ai perdu l’appétit, je ne vais même pas au bistrot ! Si seulement je pouvais te retrouver, si seulement tu pouvais revenir avec moi, je serais tellement heureux…
À ce moment là un léger tremblement de terre remue le sol et soulève de quelques centimètres la dalle funéraire.
Alors le paysan s’écrie :
– Marie ! Arrête tes conneries ! Je disais ça pour rire…
_________________
À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" pour refaire, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
Un paysan va sur la tombe de sa femme pour la fête de la Toussaint.
– Ah, Marie ! pleurniche-t-il, tu n’imagines pas comme tu me manques ! Sans toi je ne suis plus rien, je n’ai goût à rien. Je m’occupe à peine des bêtes, j’ai perdu l’appétit, je ne vais même pas au bistrot ! Si seulement je pouvais te retrouver, si seulement tu pouvais revenir avec moi, je serais tellement heureux…
À ce moment là un léger tremblement de terre remue le sol et soulève de quelques centimètres la dalle funéraire.
Alors le paysan s’écrie :
– Marie ! Arrête tes conneries ! Je disais ça pour rire…
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À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" pour refaire, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.