Bonjour,
A la suite d'essais pompeusement (à cause de la pompe ?) appelés « flash steam et semi-flash steam », une réalisation qui donne un résultat appréciable puisqu'on n'a plus – hantise de bien des « vaporistes » – de chaudière classique à construire.
Le cœur du système : un serpentin de 1,15 m en tube de cuivre de 2 x 3 qu'il faudrait nommer « chaudière monotube ».
L'ensemble à tester : le wagon emmène une pompe (moteur électrique) alimentée par un réservoir double (environ 150 ml) ; fonctionnement à jet continu pour alimenter un réservoir-tampon installé sur la loco et qui régule le jet tout en apportant une légère surpression (moins de 0,5 bar). L'eau de ce réservoir est envoyée vers une vanne de type vanne-gaz qui injecte une faible dose au serpentin (environ 3 à 4 ml par minute) au serpentin. Ce dernier chauffé va envoyer de la vapeur au moteur (oscillant simple effet de 0,46 cm3). Un graisseur à déplacement l'aide dans cette tâche difficile …
A noter que la longueur du serpentin pourrait convenir à une cylindrée plus importante (0,75 cm3) pour un fonctionnement à 2 bars.
L'essai : malgré la faible cylindrée et une masse respectable de 1,8 kg, cela fonctionne à une vitesse réaliste en acceptant un inverseur qui permet la marche avant et la marche arrière ainsi, pour le démarrage, que le débrayage.
A suivre en donnant à la FlashJac une robe digne d'elle ...
_________________
Cordialement.
Jacques
Les voyages forment la jeunesse et le modélisme garde jeune ... c'est tout bon !
http://www.modelismeenpolynesie.com
http://www.vapeuretmodelesavapeur.com
http://www.modelesavapeur.com
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Le cœur du système : un serpentin de 1,15 m en tube de cuivre de 2 x 3 qu'il faudrait nommer « chaudière monotube ».
L'ensemble à tester : le wagon emmène une pompe (moteur électrique) alimentée par un réservoir double (environ 150 ml) ; fonctionnement à jet continu pour alimenter un réservoir-tampon installé sur la loco et qui régule le jet tout en apportant une légère surpression (moins de 0,5 bar). L'eau de ce réservoir est envoyée vers une vanne de type vanne-gaz qui injecte une faible dose au serpentin (environ 3 à 4 ml par minute) au serpentin. Ce dernier chauffé va envoyer de la vapeur au moteur (oscillant simple effet de 0,46 cm3). Un graisseur à déplacement l'aide dans cette tâche difficile …
A noter que la longueur du serpentin pourrait convenir à une cylindrée plus importante (0,75 cm3) pour un fonctionnement à 2 bars.
L'essai : malgré la faible cylindrée et une masse respectable de 1,8 kg, cela fonctionne à une vitesse réaliste en acceptant un inverseur qui permet la marche avant et la marche arrière ainsi, pour le démarrage, que le débrayage.
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