Je vous présente ce soir le Maya, croiseur lourd de la classe Takao.
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La notice :
Les demi-coques :
Les bulges anti-torpilles :
Les pièces de la cheminée :
Les pièces de l'aéronavale :
L'artillerie principale :
Les superstructures :
Les canots :
Les ponts :
Les mats :
des détails et lance-torpilles :
La (toute) petite planche de PE mais au moins avec le radar
Le socle :
Dernière édition par Yuth le Ven 13 Oct 2023, 22:46, édité 6 fois
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo
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Wikipedia a écrit:Le croiseur Maya (摩耶) a été la quatrième et dernière unité la classe Takao mise sur cale pour la Marine impériale japonaise. Il a incorporé l'expérience acquise par les premières unités de cette classe. Il a eu une carrière très active au cours de la guerre du Pacifique, dans la campagne des îles Aléoutiennes, et devant Guadalcanal. Il a subi un importante refonte fin 1943-1944, et a fini, torpillé par un sous-marin américain, dans les parages de Palawan, le 23 octobre 1944, à la veille de la bataille du golfe de Leyte.
Conçue dans le cadre du Programme de Renforcement de 1927, la classe Takao, quatrième classe de croiseurs japonais à être soumise aux stipulations du Traité de Washington de 1922, a incorporé, sur des coques ayant des dimensions très proches de celles de la classe Myōkō, un certain nombre d'améliorations voulues par le haut-commandement naval japonais, qui ne devaient pas officiellement conduire à outrepasser le déplacement maximal autorisé de 10 000 tonnes.
Mis sur cale le 4 décembre 1928 aux Chantiers navals Kawasaki de Kobe, lancé le 8 novembre 1930, le Maya été armé le même jour que le Chokai le 30 juin 1932. Il a reçu dix canons de 200 mm 2GÔ (Mark II) comme les trois précédentes unités de sa classe. Mais l'idée d'utiliser les tourelles de type E, ayant une élévation maximale de 70°, pour un usage anti-aérien, avait déjà fait long feu, car il s'était révélé difficile de les utiliser à plus de 55°, de sorte que le Maya a été doté de tourelles de type dit E1, qui étaient équipées d'un double système de levage des obus et des charges comme les tourelles E, mais dont l'élévation était limitée à 55°. Mais cependant son artillerie secondaire a été réduite à quatre pièces simples de 120 mm3, comme sur les trois autres unités de sa classe.
Le blindage de ceinture, incliné et intérieur au bordé comme sur la classe Myōkō, avait 125 mm d'épaisseur à hauteur des magasins de munitions1. Il avait, sur le pont supérieur, quatre plates-formes lance-torpilles orientables doubles de 610 mm. Le bloc passerelle, massif, pour accueillir les équipements de direction de tir et de communications1, était de forme pyramidale, pour réduire l'accroissement de poids dans les hauts. Si la similitude des dimensions de coque et le léger accroissement de la puissance des machines permettait une vitesse maximale équivalente à celle de la classe Myōkō (35,5 nœuds), le déplacement réel était de 11 350 tonnes, supérieur au déplacement autorisé par le traité de limitation des armements navals de 1922.
Lorsque l'Empire du Japon n'a plus été soumis aux stipulations du traité de Washington, le Takao et son sister-ship, l'Atago, ont été modernisés, en 1939-40, avec leur grand-mât déplacé vers l'arrière pour améliorer l'efficacité des antennes radio, leur massif central réaménagé6, leur artillerie de 120 mm remplacée par quatre tourelles doubles de 127 mm type 897, leurs plates-formes lance-torpilles doubles remplacées par des plates-formes quadruples. Le maitre-bau a été porté de 18 m à 20,7 m par l'implantation d'un bulge, le déplacement accru de 2 000 tonnes et donc la vitesse maximale réduite à 34¼ nœuds.
Comme le Chokai, le Maya n'a pas connu une telle refonte, avant la guerre. Ce n'est qu'à la fin de 1943, au moment où il a fallu le réparer des graves dégâts subis lors du bombardement de Rabaul, le 5 novembre 1943, que son artillerie secondaire de 120 mm a été remplacée par une batterie de 127 mm Type 89. Mais le Maya a alors été doté de six et non de quatre tourelles doubles de ce calibre, les deux tourelles supplémentaires étant installées à la place de la troisième tourelle double de 203 mm.
La notice :
Les demi-coques :
Les bulges anti-torpilles :
Les pièces de la cheminée :
Les pièces de l'aéronavale :
L'artillerie principale :
Les superstructures :
Les canots :
Les ponts :
Les mats :
des détails et lance-torpilles :
La (toute) petite planche de PE mais au moins avec le radar
Le socle :
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Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie.
Platon, La République
« La mer, compliquée du vent, est un composé de forces. Un navire est un composé de machines. Les forces sont des machines infinies, les machines des forces limitées. C’est entre ces deux organismes, l’un inépuisable, l’autre intelligent, que s’engage ce combat qu’on appelle la navigation. »
Victor Hugo